Bonjour, Papi.
Je ne demande pas mieux que vous nous fassiez part de votre expérience personnelle.
La mienne, certes insuffisante, est basée sur les nombreux contacts que j’ai eu (et continue d’avoir) avec ma soeur et mon beau-frère, assistants familiaux reconnus et respectés dans leur département, ainsi qu’avec les nombreux enfants dont ils ont eu et ont encore la charge, et pour lesquels j’éprouve une grande sympathie et parfois même de l’affection.
Eclairez-nous, Papi !