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Juan Asensio

Juan Asensio

Juan Asensio est un essayiste et critique littéraire français (Valeurs actuelles, Le Spectacle du Monde, La Revue des deux Mondes), spécialiste de Georges Bernanos et auteur de plusieurs ouvrages :
- Essai sur l’œuvre de George Steiner :
La Parole souffle sur notre poussière, L’Harmattan, 2001.
- La Littérature à contre-nuit
, A Contrario, 2005 ; Éditions Sulliver, 2007. (Essais sur le démoniaque et la littérature, Trakl, Bernanos, Rops, Goya, Hello, Gadenne, McCarthy, Maistre, etc.).
- La Critique meurt jeune
, Le Rocher, 2006. (Essais sur Scholem, Steiner, Dantec, Bernanos, Bloy, Dick, Broch, Faulkner, Tarkovski, Boutang, Conrad, Dostoïevski, etc.).
- Maudit soit
Maudit soit Andreas Werckmeister !, La Nuit, 2008.
À paraître : La Chanson d’amour de Judas Iscariote.
Il est également l’auteur d’un blog érudit et polémique, Stalker - Dissection du cadavre de la littérature.

Tableau de bord

  • Premier article le 04/05/2009
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Derniers commentaires



  • Juan Asensio Juan Asensio 4 mai 2009 14:50

    Pardon Docdory, nos messages se sont croisés : non, vous n’avez je le crains pas compris ma note.
    Vous n’avez compris que son versant sociologique, du reste inexistant ou bien parodique, puisque j’écris noir sur blanc que certains petits imbéciles tenteront à tout prix, lors de son procès, d’expliquer les gestes de YF par l’habituelle batterie du mal de vivre, de la ségrégation, etc.
    Je ne dédouane en rien YF et, à mon sens, il mériterait d’être exécuté publiquement.
    J’affirme simplement qu’il est le produit des mensonges de la France et du pourrissement du langage qu’elle emploie pour désigner (ou refuser de le faire) ses maux.
    J’affirme encore autre chose, pourtant bien visible : cette haine de YF pour Ilan Halimi est haine métaphysique de l’être juif, partant, de sa langue.
    Cordialement.



  • Juan Asensio Juan Asensio 4 mai 2009 14:46

    Bonjour.
    Que vous le vouliez ou pas, YF est français, au moins autant que vous et moi (tout basque espagnol d’origine que je suis).
    Que YF soit une ordure et un chien, je suis le premier à le dire : cela n’enlève absolument rien à sa nationalité.
    Je constate en outre l’indigence profonde de vos commentaires, si tant est que l’on puisse employer un tel mot à propos de certaines petites crottes que je viens de renifler.
    Pour de vrais commentaires, ayant compris les enjeux de mon texte, allez donc sur Stalker.
    Je reviendrai ici lorsque je lirai quelque chose d’intéressant sous vos plumes.
    Cordialement.



  • Juan Asensio Juan Asensio 21 février 2009 21:39

    Apprenez donc à faire moins de fautes de français, nous verrons pour le reste.



  • Juan Asensio Juan Asensio 21 février 2009 12:47

    Armand, vous semblez ne pas bien lire les réponses que l’on vous donne, à moins que vous ne sachiez pas lire du tout.
    Pour un donneur de leçons comme vous semblez l’être, je m’amuse beaucoup à goûter le sens que vous donnez au mot dialogue...
    Passons, puisqu’il faut encore redresser vos gauchissements.
    Je n’ai jamais prétendu qu’Agoravox était une excroissance de mon blog.
    Si vous avez quelque plainte à formuler, adressez-vous à ses patrons, qui m’ont, eux, demandé de reproduire (reproduire, vous avez bien lu ?) ce texte paru chez moi (chez moi, vous avez bien lu ?).
    Je vous remercie de me laisser, en effet, maître chez moi.



  • Juan Asensio Juan Asensio 21 février 2009 12:23

    Ce n’est pas un raisonnement mais bien plus qu’un raisonnement, ARmand (au cas où cette réponse se promènerait ailleurs que sous votre intervention) : la vérité qui ridiculise vos petites prétentions au raisonnement car enfin, on ne peut pas clairement désigner, selon vos termes, le danger, et se contenter d’ouvrir sa petite bouche de freluquet souverainste à longueur de colonne.
    Prenez donc les armes, allez vous battre contre les fous de Dieu : nous vous reconnaîtrons tous grâce à votre barbichette, une fois votre devoir accompli, lorsque votre tête sera fichée sur une pique.
    Mais vous n’aurez fait là que ce que vous devez faire, si j’ai bien lu chacune de vos déclarations, assez peu argumentées, de foudre de guerre, monsieur le degré zéro de la simple mise en accord des actes et des paroles.

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