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Les commentaires de Arturo ZAPATA



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 2 mars 2017 17:54

    @non667
    Le problème de ces thèses réside dans le fait qu’elles ont beau être cohérentes, elles sont impossible à vérifier. Concernant votre propos, « ....que chaque population reste sur son sol », ce n’était pas vrai avant que n’existe les frontières. Depuis lors, effectivement, c’est est position défendu à juste titre par certains politiques clairvoyant, Melenchon et d’autres.



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 2 mars 2017 17:47

    @Gandalf

    Je ne crois pas qu’il soit légitime d’induire un lien direct entre mes interrogations sur la démographie et une pulsion génocidaire. Mon propos consiste à m’interroger sur la place qu’occupe la démographie dans l’idéologie dominante (il faut que le taux de natalité dépasse deux, on est les meilleurs en Europe, c’est indispensable pour l’économie etc…).

    Ma propos est plutôt d’analyser les effets délétères de la démographie sur la biosphère, on a le droit de regarder ailleurs, mais on peut aussi essayer de s’interroger sur les fondements de cette idée (ce que je n’ai pas fait de façon exhaustive).

    La démographie mondiale a des effets négatifs sur la planète, certes, mais elle a aussi des effets l’équilibre sociologique autrement dit la paix sociale. Les scores du FN indiquent que l’immigration a un certain nombre d’effets induits, que l’on associe souvent, je pense à juste titre, au phénomène de communautarisation, l’idéologie multiculturaliste aboutie au multicommunautarisme en réalité. Tout cela est dû à la politique menée par les élites sans le consentement du peuple. C’est pourquoi j’insiste sur les habitants du VIème arrondissement de Paris, le M2 vaut 12500€ çà limite le nombre de voisin au RSA. Le fait que d’une part ils ne subissent aucune des conséquences de la délinquance violente et que d’autre part, l’idéologie mondialiste, humaniste, universaliste, marchéiste etc s’accorde parfaitement avec leurs intérêts économiques explique que les choses aient dérivées à ce point sans prêter plus d’attention que cela à l’avertissement des émeutes de 2005.

    Cet article n’était pas l’occasion d’exposer mon point de vue sur un modèle économique pertinent. Réinventer le Zaï etc, j’y suis parfaitement favorable j’ai d’ailleurs eu l’occasion d’exposer mon point de vue dans une réponse plus haut, je me cite : « Il me semble clair qu’il est nécessaire de changer de paradigme, pourquoi pas la deep ecology qui pourrait probablement bien s’intégrer dans un modèle économique tel que celui de Michel Bauwens, le P2P qui reste mon modèle socio-économique de référence. […]Je préfère le P2P qui se fonde sur un modèle proche de l’anarchisme et qui prône la coopération dans l’horizontalité. »

    Je m’intéresse à tout ce qui permet de démontrer au reste du monde qu’il est possible de développer un modèle socio-économique coopérant qui se fonde sur un certain nombre de prérequis, de briques de base : une monnaie indépendante, cela pourrait démarrer avec une monnaie locale ou une cryptomonnaie, une modèle d’organisation, l’holacracy et le P2P de Bauwens, l’autonomie energétique (des maisons autonomes reliées en smartgrid), l’autonomie en eau (de pluie), en ressources aliemntaires (aquaponie notamment) etc…



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 2 mars 2017 13:41

    @Pseudonyme
    On est d’accord que sur ce sujet, la liberté d’expression est très relative. Là où çà devient intéressant c’est quand il s’agit de traiter ce thème du point de vue de l’écologie voire de la deep ecology. Les écologistes revendiquent évidemment leur humanisme alors que la deep écology est taxée d’antihumanisme. Un débat sur ce sujet s’est initié lors de la sortie d’un ouvrage de Luc Ferry dans lequel il prenait violemment position contre la deep ecology, mais il conviendrait de remettre ce type de débat à l’ordre du jour. Cette écologie rejette l’anthropocentrisme, alors que dans le même temps, je remarque que ce qui ressemble à un fort égo chez ce philosophe prêche pour cet anthropocentrisme. L’abcès devra être percée, un jour ou l’autre...dans un débat public si possible. 



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 2 mars 2017 11:29

    @Cadoudal
    Je place cette vidéo au dessus de ma liste... je la regarderais dès que possible.



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 1er mars 2017 19:21

    @Montdragon
    Il me semble qu’il ne faut effectivement pas prendre le titre à la lettre, je n’ai rien d’un technicien du sujet et l’article est publié en tribune libre. Par contre, je pense que l’usage qui en est fait, notamment dans la bouche des économistes, n’est pas approprié. La démographie ne sauvera pas la planète, d’une certaine façon, je ne fais que paraphraser Levi-Strauss. En ces temps tumulteux qui s’annoncent, le sujet risque de se faire de plus en plus polémique et épineux... 



  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 10 avril 2016 11:58

    @Deneb

    Désolé, personnellement, je n’ai pas creusé cet aspect. D’une façon générale, attendons pour faire le bilan, peut en saurons nous plus dans quelques semaines afin d’évaluer à qui profite cette fuite...


  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 10 avril 2016 11:56

    @Shawford
    Etant un « fan » inconditionnel de Denis Robert, J’ai pu me rendre compte via ses ouvrages que le système financier fait parti intégrante de la sphère politique. Pour ne citer que deux noms : on se souvient du banquier Pompidou comme on connait le banquier Macron.

    Le système de défiscalisation off-shore est international et institutionnel. Les politiques s’appuient dessus pour édifier leur carrière politique. Il leur est nécessaire (on l’a vu ô combien concernant les campagnes de Sarkozy, la fragilité du montage Bygmalion ne fait que rendre encore plus nécessaire les dissimulations off-shore). 
    C’est pourquoi, il me semble que l’élément de réflexion important revient à l’exigence de la transparence qui est fondamentale s’agissant de coopération. On peut également comme je le fais s’interroger sur les luttes intestines comme l’est peut-être l’affaire des Panama Papers afin d’en évaluer l’usage géopolitique.
    Bien à vous.


  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 8 avril 2016 18:07

    @Shawford @Gatinais33
    Dans l’article je reprenais une citation d’Edgar Morin qui adopte (me semble t-il) la position de Shawford selon laquelle , je cite : « l’information sans tenir compte de la conscience est quelque chose de vain » et qui associe ontologiquement l’information à la conscience. Ce débat, comme cela a déjà été dit dans les commentaires me semble ne jamais pouvoir être arbitré. La conscience peut-elle être à la fois le guide et la finalité de l’information ? Peut-on faire l’hypothèse d’une information comme je le fais d’une information essentiel pour l’inerte et tout aussi essentiel pour le vivant conscient ? Cette idée d’une « lignée » ou cette continuité supposée de l’information qui baigne l’univers est-elle pertinente ? Je n’en sais rien, mais l’idée me plait et j’accueillerais avec délectation qui pourra apporter une démonstration sur ce sujet, dans un sens ou un autre. Mais je crois que cette espérance est vaine. On en est réduit à une vue utilitariste de l’information qui consiste à nous demander comment faire en sorte que l’humanité en profite, il est nécessaire pour cela que soit symétrique et non, comme je le formulais dans un article, « panoptique » et utilisé par certains pour asservir les plus faibles.

    Bien à vous.


  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 5 avril 2016 00:22

    @Taverne

    Je n’ai pour ainsi dire fait qu’effleurer le champs politique et sociale. Je ne saurais dire si le dualisme est au centre de ce sujet, je ne pense pas de prime abord car il me semble que les raisonnements dans tout ce qui touche le monde du vivant doivent être issus d’une analyse systémique. 
    De René Girard, j’ai un peu effleuré son travail sur les mythes, les bouc émissaire, le mimétisme... à voir s’il peut m’apporter une aide dans mes recherches.
    Bien à vous.


  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 5 avril 2016 00:15

    @Alexis Toulet
    Je n’ai personnellement aucune prétention de philosophe. Par ailleurs, personne n’est contraint à lire, de même si on n’aime pas les émissions d’Hanouna, on change de chaine. Si d’aventure au moins une personne pouvait le trouver intéressants, çà suffirait à me convaincre qu’il était pertinent de l’écrire. J’ai déjà été critiqué (peut être par vous d’ailleurs) sur l’usage d’un certain vocabulaire, mon frère également m’a fait cette remarque. A celà j’opposerais simplement que s’informer coûte du travail, j’ai d’autant plus de plaisir à énoncer cette vérité qu’elle est en droite ligne avec le propos de l’article. L’information s’acquiert moyennant un effort (et même de l’énergie consommée par nos cellule grise et peut être de l’énergie physique pour aller chercher son Larousse). Effort que j’ai fait en préalable d’écrire l’article. A contrario, une information redondante est facilement assimilée mais ne nous apporte rien. 

    On peut effectivement passer plus de temps que je ne le fait à rédiger des périphrase explicatives des mots peu usités, c’est faire oeuvre de pédagogue, ce que je ne suis pas. On me critique d’ailleurs parfois dans la vie courante sur ce travers. Mais reconnaissons que les mots complexes sont aussi des synthèses en soi, ils permettent de simplifier, un peu comme dans un exercice de math, on simplifie des formulations inutilement longues.Sur le fond du texte, j’ai eu l’occasion de répondre sur certains points. La première partie est plutôt classique à mon sens pour ceux qui ont eu l’occasion de s’intéresser aux auteurs qui ont théorisés sur l’information (Shannon, Wiener, Turing, Susskin, Atlan, Progogine, Vlatko Vedral...) ainsi que sur l’auto-organisation. Etendre celà à la vie s’agissant de l’intuition de Schrodinger puis aux relations sociales est plus délicat, quoique s’y est aventuré Robert Escarpit avec sa Théorie de l’information et pratique politique dans laquelle il fait ce lien. Je me suis de mon côté risqué du côté des nouvelles technologies avec le sujet de la blockchain pour laquelle je suis convaincu que « le principe néguentropique trouve dans cette technologie une colonne vertébrale permettant d’entrevoir l’émergence d’une nouvelle forme de politique sans frontière géographique...« . Je pense effectivement que cette invention peut changer la face de nos sociétés. Ensuite, il est toujours possible de s’opposer et de critiquer sur bien des points le propos, mais de préférence sous une forme qui permette d’apprécier de la légitimité de la critique, c’est à dire en démontant soient les arguments soient l’enchainement de ceux-ci qui pourrait sembler faible et non démontré.
    Bien à vous. 


  • Arturo ZAPATA Arturo ZAPATA 4 avril 2016 08:21

    @Taverne
    Bonjour,

    Que signifie, selon votre point de vue, la « triangulation » à laquelle vous faites référence ?
    Cordialement.


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 3 avril 2016 11:13

    @JL
    Par la force des choses, je me suis intéressé à la néguentropie en essayant d’aborder le sujet dans sa dimension physique, ce sujet est vaste et complexe, mon ambition se borne à tenter un avis qui serait exempt de contre-sens flagrants. J’ai encore beaucoup de chemin pour me forger un point de vue pertinent sur le changement de paradigme que j’indiquais entre la néguentropie de l’inerte et celle de l’humain pour laquelle rentre en jeux la conscience et la cognition. La complexité est encore supérieure puisqu’on rentre alors de plain pied dans l’anthropolgie, la psychologie, la sociologie etc... et je devrais probablement m’attarder sur la dynamique des groupes restreints qui me semble assez fondamental dans le propos.

    Bref, votre piste est certainement pertinente, mais je sortirais peut être trop loin de mon champs de compétence et préterais le flanc plus encore aux critiques... smiley
    Ceci dit, d’autres sujets sont assez proches, la notion de bruit chez Atlan, ou les réarrangements atomiques qui doivent raisonner de mieux en mieux avec les sources de travail mécaniques , electromagnétiques ou chimiques selon J.England etc...Sans parler de ce qui tourne autour des fractales, des principes holographique (Sussking...). Bref beaucoup d’éléments disparates difficiles à intégrer... 


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 3 avril 2016 10:04

    @JL
    cf mes autres commentaires plus généraux postés ce jour.

    Cet article est une tentative de synthèse d’un essai en cours de rédaction. Il me semble que la plus grande difficulté de la réflexion concernant le « néguentropisme » est de trouver un lien vraiment argumenté entre toutes ses formes plus ou moins théorique s’agissant de l’inerte (principe d’auto-organisation) du vivant (l’intuition de Shrodinger ) et de « l’administration » de l’information concernant la dimension psycho-sociale (toutes les formes de sociétés humaines de la tribu aux Etats-nations. La question fondamentale est celle-là : « peut-on se risquer à relier entre-eux tous ces néguentropismes ? » (s’appuyer essentiellement sur Shannon n’aurait pas de sens selon moi).
    Bien à vous.


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 3 avril 2016 09:52

    Rebonjour à tous,

    J’oubliais de revendiquer l’influence de l’ouvrage de Robert Escarpit qui s’intitule « Théorie de l’information et pratique politique » Ed. Seuil de 1981.


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 3 avril 2016 09:47

    Contrairement à ce que propose Alexis Toulet, je ne m’aventure pas à ce genre de critique radicale vis à vis desquelles il est assez difficile de répondre dans la mesure où elle ne propose pas d’arguments en réponse, que ce soit à des points précis de l’article ou à l’articulation de ceux-ci. 

    Je suis pourtant fortement demandeur de telles critiques qui permettent d’avancer.
    Par ailleurs, l’article est une tribune libre, il me semble que ce format permet une certaine liberté. Pour revenir rapidement sur l’article, les éléments relatifs à l’information et donc à la néguentropie me semble plutôt classique compte tenu de travaux déjà plutôt anciens sur « l’information » effectués par de nombreux chercheurs (Shannon, Wiener, Turing...jusqu’à aujourdhui avec Vlatko Vedral et son « Decoding Reality » dont je revendique l’influence, et la liste est longue). Le lien entre néguentropie et blockchain semble également un champs d’étude plutôt évident du côté de L’IRI avec Bernard Stiegler et Christian Faure (cf les réflexion de ce dernier sur la blockchain). J’ai moi-même depuis maintenant plus de deux ans rédigé un petit opercule sur ce sujet à une époque où Ethereum n’avait pas encore lancé son appel à investissement. Donc cet article n’a rien d’excessivement original et d’hétérodoxe, ce que je souhaite c’est qu’il permette de prendre conscience de l’importance pour le futur de cet outil que constitue la blockchain, qui est probablement la voie d’avenir la plus enthousiasmante qui soit pour fonder une nouvelle société régie par des principes politiques et économiques vraiment démocratique. 


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 9 février 2016 10:44

    @macarel
    Merci pour le 5/5, il est clair que je vais reprendre quelques passages sur la forme (qui ne pourront figurer sur Agoravox malheureusement car on ne peux revenir sur un article publié), j’ai noté des virgules manquantes, des répétitions (ce qui est moins problématique) qui complique la compréhension. Par contre, l’usage de mots compliqué me semble intéressant pour tout le monde, évidemment, ils compliquent la lecture quand on ne les connait pas, mais in fine, ils me paraissent importants pour éviter des périphrases plates (comme pour le mot anomie...mais j’en passe).

    Cordialement.


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 9 février 2016 10:38

    @eric
    Je ne vous suis pas s’agissant de votre critique d’Onfray, mieux vaut parler de sa ligne idéologique tant il est difficile de parler de ligne politique car celle-ci n’existe pas en réalité dans le paysage politique français contemporain, à savoir une forme d’anarchisme identitaire, de municipalisme voire de minarchisme dont l’on peut voir poindre mon appétence dans la conclusion de l’article. 



  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 29 janvier 2016 13:55

    @Solon le Jeune
    Je me suis effectivement basé sur le débat Todd/Stiegler organisé par Médiapart sur la montée du FN pour élaborer cet article. Il y faisait montre, comparativement à Stiegler, d’un optimisme réjouissant. Dans un autre commentaire sur Agoravox, la critique a été faite sur ce point. Il est clair que Todd était nettement plus optimiste au moment de la sortie de son « Mystère Français ». Je reconnais l’erreur sur ce point, il aurait été plus pertinent de situer Alain Minc dans le camp des optimistes avec son ouvrage :« Un Français de tant de souches ».



  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 10 janvier 2016 13:08

    @Crab2

    Personnellement, je ne m’aventure pas à poser la prédominance d’un facteur plutôt qu’un autre, probablement parce qu’inculture et pauvreté s’avèrent souvent localisés dans les milieux péri-urbains ou en campagne profonde et qu’il me semble difficile de les dissocier et de déterminer le fait majeur.
    De même djihadisme et religion musulmane sont factuellement mêlé dans la mesure où les tenants du premier revendiquent leur appartenance à cette religion, de ce fait, le débat théologique qui se développe dans la communauté musulmane qui ne veut pas être ostracisée peut paraitre secondaire.
    De mon point de vue la laïcité ne pourra rester bien longtemps un rempart permettant d’adoucir les clivages liés aux ethnocentrismes qui se durcissent.
    Bien à vous.


  • Arturo ZAPATA ARTURO ZAPATA 9 janvier 2016 18:29

    @Crab2
    Je ne peux que vous suivre concernant l’importance de l’éducation et de la culture pour pallier à la « régression » religieuse. On peut également faire réference à la situation économique générale et aussi spécifique du péri-urbain plutôt mal en point à en juger le taux de chômage des jeunes. Cette jeunesse se sentant rejettée, le mouvement religieux (extrêmisme mis à part) en est la suite logique. Concernant les universalistes, je ne suis pas tendre avec eux car leur posture est confortable. Elle ne prend pas en considération et ne permet pas d’expliquer les difficultés des quartiers où la communautarisation et la paupérisation est difficile à vivre. Pour conclure, je dirais que les phénomènes de dissension inter-communautaires sont consubstantielle de l’anthropologie, effectivement cela se « soigne » par l’éducation dans la limite de ce qui peut être supporté car il me semble admissible de penser que certaines situations conflictuelles ne peuvent trouver leur résolution que par des heurts plus ou moins violents voire dans une scission des communautés.Cordialement.