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Les commentaires de Chupa chups



  • Chupa chups Chupa chups 26 octobre 2012 19:10

    Vous connaissez la Panarchie Morpheus ? (Personnellement je ne suis pas pour la démocratie, mais je conçois qu’il s’agisse d’un système politique parfaitement envisageable.)



  • Chupa chups Chupa chups 26 octobre 2012 13:35

    Et si les employeurs décident de licencier car l’économie traverse une crise, cela va créer du chômage ? Comme les charges vont augmenter, les employeurs (surtout les PMEs) vont encore plus licencier, ce qui va faire augmenter les charges, etc ...

    Ah mais oui j’oublais, c’est à cause du MEDEF ...



  • Chupa chups Chupa chups 26 octobre 2012 13:29

    C’est bien monsieur Dugué ... Et pourriez-vous me signaler où vos études d’économie ont été effectués pour que vous soyez si sûr de la bêtise que de personnes passant des heures à travailler sur des concepts que vous n’avez pas l’air de fort bien connaître.

    Alors je sais ce que vous allez me répondre : « si nous pouvons plus rien critiquer, où vas le monde. ». Pas de soucis, mais critiquer le métier d’économiste en lui même est ridicule et puéril. Critiquez les concepts, et nous pourrons discuter.



  • Chupa chups Chupa chups 19 octobre 2012 15:33

    "Le con absolu, le con de chez Con, le con à vomir. Et malheureusement, ce type de con risque de ne plus être isolé dans notre société pour cause d’une dérive à l’américaine portée par l’individualisme et les valeurs de l’ultralibéralisme si chers aux plus enragés sarkozystes, alignés sur le comportement de leur ex-patron."

    Vous me faites rire vous. Premièrement Sarkozy n’était pas libéral. Une preuve simple, aisément reconnaissable, est que, sous sa présidence, les dépenses publiques et les impôts ont augmentés. Ce n’est en aucun cas une idéologie libérale.

    De plus vous critiquez l’individualisme (à l’américaine ? L’individualisme date des lumières et est européen.) sans réellement savoir de quoi il en retourne. Lisez un bon coup Ayn Rand ou Hayek pour voir que, certes vous pouvez critiquer cette pensée, mais au moins en sachant de quoi il en retourne.



  • Chupa chups Chupa chups 8 octobre 2012 17:25

    En 1910 déjà, le bureau des mines prévoyait la fin des ressources pétrolières dans le monde et préconisait de ne pas penser utiliser cette ressources afin de créer tout ce que nous connaissons aujourd’hui.

    Au XIXéme siècle, Stanley Jevons, grand économiste marginaliste, écrivait dans The coal question que la croissance anglaise ne pourrait durer plus longtemps car celle-ci était uniquement basée sur l’utilisation de cette ressources rare qu’était le charbon.

    Au XIIIéme siècle, Thomas Malthus prévoyait une paupérisation des classes populaires à cause de la raréfaction des ressources naturelles, et de l’expansion de la démographie.

    Durant le règne de Louis XIV, beaucoup de ces conseillers prévoyaient une raréfaction massives des ressources en bois en France à cause de la surexploitation des forêts.

    Et cætera ...

    Mais bon forcement aujourd’hui vous avez raison, c’est pas pareil hein ...



  • Chupa chups Chupa chups 8 octobre 2012 17:10

    Merci Spartacus pour ces précisions.



  • Chupa chups Chupa chups 30 septembre 2012 00:46

    Oh non, moi, vous savez, me faire du mal tout seul, j’ai arrêté depuis longtemps. Mais vous ...



  • Chupa chups Chupa chups 29 septembre 2012 23:40
    Fils d’un avocat, élevé par sa grand-mère et deux tantes, il fait des études au collège d’Arras puis à Louis-le-Grand et fait son droit. Avocat à Arras, il participe aux concours des académies et se montre un disciple de Jean-Jacques Rousseau. Il mène une existence terne et respectable où la passion n’a pas sa place. Il ne supporte ni désordre dans la tenue ou les sentiments ni la vulgarité ni aucune forme d’exhibition  ; sur ce plan, la Révolution ne devait rien changer à cet homme «  insupportablement honnête » (Büchner).

    Ses opinions avancées en font un député du Tiers État de l’Artois en 1789. La chandelle d’Arras n’est guère éloquente mais comme le souligne Mirabeau il croit tout ce qu’il dit. Son langage est celui de la prédication et de l’Inquisition : il se fait le dénonciateur inlassable d’intrigues et de conjurations. Il prononce plus de 170 discours à l’Assemblée tout en s’imposant au club des Jacobins dont il devient le principal animateur. Il dénonce le suffrage censitaire et l’exclusion des citoyens passifs du droit de pétition : Je défendrai surtout les plus pauvres. Plus un homme est malheureux et faible, plus il a besoin du droit de pétition. Il acquiert un poids politique important car l’hostilité qu’il doit affronter dans l’Assemblée nourrit sa popularité en dehors de celle-ci : il fait régner le «  despotisme d’opinion » (Louvet). La Constituante suit sa proposition de non-réélection des députés sortants à la Législative. Porté en triomphe lors de la séparation de la Constituante, accusateur public auprès du Tribunal criminel de Paris, il conserve une grande influence au club des Jacobins. Il s’oppose à la guerre révolutionnaire défendue par les Girondins par crainte de voir Louis XVI utiliser l’armée à son profit.

    Au Comité de salut public

    Membre de la commune insurrectionnelle lors de la chute de la Monarchie (août 1792), il se montre très prudent lors des massacres de Septembre : il théorise la Révolution plus qu’il ne participe aux événements. Il est le mieux élu des députés de Paris à la Convention (338 voix sur 525 votants) et devient l’un des chefs de la Montagne. Il vote pour la mort de Louis XVI (La clémence qui compose avec la tyrannie est barbare) et provoque la chute des Girondins dont il a été le principal accusateur le 31 mai 1793. Membre du Comité de salut public, il frappe sur sa gauche les hébertistes avec l’appui de Danton en mars 1794 avant de se retourner sur sa droite contre les Indulgents et dantonistes. Après la chute des factions, il se trouve l’homme le plus influent de la Révolution : membre du Comité de salut public, maître du club des Jacobins et de la Commune de Paris qu’il a fait épurer au profit de ses partisans.

    Le 5 février 1794, il s’était fait le défenseur de la Terreur associée à la vertu : La terreur n’est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible ; elle est donc une émanation de la vertu ; elle est moins un principe particulier, qu’une conséquence du principe général de la démocratie, appliqué aux plus pressans besoins de la patrie. Louis-Sébastien Mercier devait le qualifier de sanguinocrate.

    La Grande Terreur

    Il se montre soucieux de moraliser la Terreur en faisant rappeler les terroristes les plus féroces et en centralisant la répression à Paris par la suppression des tribunaux révolutionnaires des départements. La loi du 10 juin 1794 (22 prairial an II) aggrave la Terreur après un attentat contre Collot d’Herbois et une tentative contre Robespierre. Le rapporteur, Couthon, fidèle robespierriste, déclare : Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître. Il s’agit moins de les punir que de les anéantir. Il n’est pas question de donner quelques exemples, mais d’exterminer les implacables satellites de la tyrannie ou de périr avec la République. Les ennemis du peuple devaient être condamnés à mort  : répandre des fausses nouvelles relevait de cette catégorie. L’interrogatoire préalable et la présence d’avocats étaient supprimés, les preuves matérielles ou morales dispensaient de l’audition de témoins. L’article 16 précisait : La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes ; elle n’en accorde point aux conspirateurs. Face aux protestations de certains députés, Robespierre réplique :

    « Qu’on examine cette loi. Au premier aspect, on verra qu’elle ne renferme aucune disposition qui ne fût adoptée d’avance par tous les amis de la liberté ; qu’il n’y a pas un seul article qui ne soit fondé sur la justice et la raison ; qu’il n’est aucune de ses parties qui ne soit rédigée pour le salut des patriotes et pour la terreur des aristocrates. Citoyens, on veut vous diviser, on veut vous épouvanter ; eh bien, qu’on le sache donc, c’est nous qui avons défendu une partie de cette assemblée contre les poignards que des hommes animés d’un faux zèle voulaient aiguiser contre nous. Nous nous exposons aux assassins particuliers pour poursuivre les assassins publics ; nous voulons bien mourir, mais nous voulons que la patrie et la Convention soient sauvés. »

    Après le vote de la loi, dont Robespierre a exigé un vote immédiat et unanime, il y eut 1376 exécutions en un mois et demi contre 1251 entre avril 1793 et juin 1794.

    Les idées politiques et sociales de Robespierre

    Cet avocat méticuleux, continuant d’arborer cravate et perruque poudrée au milieu des sans-culottes, a incarné l’esprit de la Révolution. Inaccessible aux passions, il est entièrement disponible pour la vertu. Il est l’idéologie incarnée. Il lance à Brissot : « Apprenez que je ne suis pas le défenseur du peuple ; je suis du peuple, je n’ai jamais été que cela, je ne veux être que cela ; je méprise quiconque a la prétention de vouloir être quelque chose de plus ». Il n’est pas un homme d’action, il ne participe à aucun comité de la Constituante et refuse les fonctions judiciaires que les électeurs lui proposent. Il se veut le défenseur de la cause de l’humanité. Quand les autres proposent ou agissent, il examine pour déceler l’intention cachée derrière les actes : l’exercice du soupçon est général et permanent. Ces discours interminables et monotones, qui excluent le débat et la contradiction, sont acclamés aux Jacobins, le rythme de l’incantation important plus que la rigueur du raisonnement. La périphrase et l’insinuation permettent de dénoncer le complot toujours mis en échec mais toujours renaissant. La Terreur est là dans le magistère de la parole.

    Si jusqu’en septembre 1792, il défend les principes de la démocratie directe chère à Rousseau, il se fait le chantre de la représentation dès son élection à la Convention. Il entre enfin au Comité de salut public en juillet 1793, le pouvoir s’étant déplacé de la base vers le sommet. Son génie est d’épouser toujours la conjoncture : il peut être monarchiste le 9 août 1792 et républicain le 11 sans contradiction, le peuple souverain ayant tranché le 10. Le peuple est censé vouloir ce que veut la Convention et celle-ci ce que lui dictent Robespierre et le Comité de salut public. La République n’est pas faite tant que la France reste moralement monarchique : « Nous avons élevé le temple de la liberté avec des mains encore flétries des fers du despotisme ». Mais cette nécessaire régénération ne semble pas avoir de fin, chaque épuration annonce de nouvelles proscriptions.

    Politiquement démocrate, il a compris le lien entre démocratie politique et démocratie sociale : à ses yeux, de trop grandes inégalités de fortune risquent de rendre impossible la démocratie. Il déclare cependant : l’égalité absolue des biens est une chimère et il condamne la loi agraire. Il n’est à aucun moment intervenu dans le débat sur la loi Le Chapelier. Il entend cependant lutter contre l’extrême disproportion des fortunes, source de bien des maux et des crimes. Comme il l’affirme : le premier droit est celui d’exister, la première loi sociale est donc celle qui garantit à tous les membres de la société les moyens d’exister ; toutes les autres sont surbordonnées à celle-là. Sa définition très restrictive de la propriété est rousseauiste et en opposition avec le définition qu’en donne la Déclaration des droits de l’homme de 1789 : la propriété est le droit qu’à chaque citoyen de jouir et de disposer de la portion de biens qui lui est garantie par la loi. Ceci dit, le peuple a ses yeux descend dans la rue pour exiger la tête des conspirateurs et jamais pour demander du pain : il ignore tout du peuple réel.

    Apogée et chute de l’Incorruptible :

    La fête de l’Être suprême (8 juin 1794) marque son apogée. Hostile aux déchristianisateurs et aux athées, Robespierre avait déclaré le 7 mai 1794 : L’athéisme est immoral et aristocratique ; l’idée de l’être suprême et de l’immortalité de l’âme est un rappel continuel à la justice ; elle est donc sociale et républicaine. Robespierre préside la fête comme président de la Convention, les choeurs de l’Opéra entonnant l’hymne composé par Gossec, Père de l’Univers. Loin d’annoncer la fin de la Révolution comme l’espèrent les contemporains, le nouveau culte civique redonne à la Terreur un fondement moral et une légitimité mises en cause par l’amélioration de la situation intérieure et extérieure. L’Incorruptible apparaît aux yeux de beaucoup comme un dictateur en puissance.

    Une coalition se forme contre lui, rassemblant les mécontents des comités (Billaud-Varenne Collot d’Herbois, Carnot, Cambon) et les représentants en mission rappelés (Fouché, Barras, Tallien). Le 8 thermidor, de retour à la Convention après un temps d’éloignement en partie lié à des problèmes de santé, Robespierre attaque tous les corrompus qui à ses yeux discréditent la Révolution.

    « Disons qu’il existe une conspiration contre la liberté publique ; qu’elle doit sa force à une coalition criminelle qui intrigue au sein même de la Convention, que des membres du Comité entrent dans ce complot, que la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel est le remède à ce mal ? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du Comité de sûreté générale, épurer ce comité et le subordonner au comité de Salut public, épurer le comité de salut public lui-même ; constituer l’unité du gouvernement sous l’autorité suprême de la Convention ; écraser ainsi toutes les factions du poids de l’autorité nationale, pour élever sur leurs ruines la puissance de la justice et de la liberté. »

    Inquiets, les deux comités et les députés décident de réagir. Le 9 thermidor, Robespierre ne peut prendre la parole à la Convention et se trouve décrété d’accusation avec ses amis Saint-Just, Couthon et Lebas. La municipalité parisienne le libère de force, ce qui le faisait entrer dans l’illégalité, mais les troupes fidèles à la Convention investissent l’Hôtel de ville dans la nuit. Dans des circonstances obscures, suicide ou initiative d’un gendarme, Robespierre a la mâchoire fracassée par un coup de feu. Il est guillotiné le lendemain sans procès avec ses partisans, dans l’indifférence de la population. La Révolution n’est pas terminée mais elle n’ira pas plus loin.



  • Chupa chups Chupa chups 29 septembre 2012 23:14

    Vous savez medy..., pour l’auto-flagellation, il y a des clubs spécialisés.



  • Chupa chups Chupa chups 26 septembre 2012 16:21

    Madame Walter, vous voyez des libéraux là où n’y en a pas. Les libéraux sont aujourd’hui très peu représentés en France, et sûrement pas chez Yves Calvi.

    Le libéralisme, à moins de vouloir créer un URSF (union des républiques socialistes françaises.), est une des bases de toutes les reflexions modernes sur le droit, la morale, l’économie ou l’éthique. Et vous le reniez.



  • Chupa chups Chupa chups 26 septembre 2012 15:31

    @Marc Chinal.

    Vous êtes toujours là. Étonnant. Et visiblement vous n’avez toujours pas pris de cours d’économie. La monnaie n’est qu’une marchandise comme une autre. Ce n’est qu’un moyen de faire du troc, sans pour autant le « complexifier » comme vous le dites vous même.

    Je vous ai expliqué qu’avec un système d’étalon-or, la monnaie se serait pas « rare » sans pour autant être abondante, qu’elle aurait une valeur définie, et vous vous continuez dans vos explications fumeuses de « monnaie rare ». Je ne partage aucune des idéologies des personnes de ce sujet mais vous commencez à être agaçant à ressasser des conneries comme celle-ci. La quantité de monnaie varie toujours (normalement, pas dans le système d’argent-dette comme aujourd’hui toutefois.) selon le taux d’épargne ou d’investissements dans l’économie. Les prix et les salaires s’indexant spontanément entre eux.

    La monnaie n’est qu’une marchandise qui sert à échanger. Moi je ne vois pas comment vous pouvez faire en sorte qu’une civilisation fonctionne sans cette coopération essentielle qui est l’échange. Et franchement je pense que vous ne savez pas non-plus.



  • Chupa chups Chupa chups 21 septembre 2012 16:15

    @ZEN :

    Roosevelt n’épargnais pas les riches, et alors ? On voit ce que ça a donné. Il a fallut attendre le magnifique remède keynésien que fût la seconde guerre mondiale pour que l’économie américaine reparte.

    Jamais le système de Roosevelt n’a résolu de problèmes, il n’a fait que créer de l’inflation.



  • Chupa chups Chupa chups 20 septembre 2012 21:50

    Si un jour l’état une loi qui dit que le soleil doit disparaître, le soleil disparaîtra-t-il ?

    Les réglementations de ce genre sont inutiles. Je pense notamment à la (fausse) déclaration des droits de l’homme de 1948 qui dit droit au travail et au logement. Ce ne sont que des phrases. Elle ne résolvent pas du tout le problème, et même l’amplifie.



  • Chupa chups Chupa chups 20 septembre 2012 21:29

    Je suis d’accord avec le Péripate. De quel droit quiconque pourrait s’opposer à l’union de deux personnes sans leur reconnaitre un droit social pourtant essentiel ? De plus, plus que le débat sur le mariage homosexuel, c’est le débat sur le mariage qu’il faudrait entamer. De quel droit peut-on posséder quelqu’un comme on le possède dans la cas du mariage ?



  • Chupa chups Chupa chups 20 septembre 2012 21:19

    MOUHAHAHA ! Vous croyez encore à ces sornettes d’énergie libre Monsieur Cabanel ? Votre article est un élément même de contre-vérités et de théories pseudo-scientifiques. Qu’allez vous ensuite nous montrer ? De la fusion froide ? De l’énergie du vide (alors que cela fait cent ans que l’on sait que l’éther n’existe pas.) ? Des mystérieuses voitures faites par Tesla, et les monstrueux lobbies qui les ont tués ? Peut-être même des reptiliens ou des illuminatis qui sait ?

    Seule note d’argument d’autorité dans votre article : le site Jean-Pierre Petit. Et encore, c’est à prendre avec des pincettes.



  • Chupa chups Chupa chups 19 septembre 2012 19:34

    "Ainsi que le magicien qui détourne notre attention avec son regard sur une de ses mains ... pour cacher l’autre qui va chercher le pigeon dans la poche cachée, nos politiques, marionnettes du capitalo-libéralisme nous enfument en permanence."

    Tiens je ne l’avais jamais entendu celui-là. Le capitalo-libéralisme. Bon, en bref, c’est de l’interventionnisme d’état.



  • Chupa chups Chupa chups 18 septembre 2012 19:48

    J’ai très bien compris votre article Aldous. Mais que l’on parle de révélation messianiques, de la fin du monde du calendrier Maya ou d’un coup d’état mondial, rien n’est plus ridicule. Ma petite note sur les religions vous aurait-elle déplu ?

    Quant à savoir si j’invite quelqu’un CHEZ MOI car il me demande DANS LA RUE de lui donner à manger, la réponse est non. Je lui achète à manger s’il veut, il n’y a pas de problèmes. Peut-être pensez-vous que je suis immoral ? Et vous, que feriez-vous ?



  • Chupa chups Chupa chups 18 septembre 2012 16:37

    Vous pensez vraiment que ne pas croire à vos sornettes du « messie du revient » c’est dormir éveillé ... Au début, la religion, ce n’était qu’une métaphore, dieu, c’est l’inexplicable, ordo ab chaos, c’est juste l’ordre spontané décrit par des théoriciens 1500 ans avant les penseurs libéraux, etc ... Mais voilà, il fallut que des gens prennent ça au mot, se mettent à croire à « un être dans le ciel » (même avec les connaissances de l’époque, il savaient que ce n’était pas possible.) qui dirige vraiment tout, pour que tout débloque et que la religion, à l’origine seule doctrine de la morale, dérive en atrocités comme aujourd’hui. Ou en illuminés comme vous.

    De toute façon nous verrons bien. Le 21 septembre c’est dans trois jours. Si je croise Jésus et qu’il me dit qu’il a faim, je l’invite à la maison ?



  • Chupa chups Chupa chups 18 septembre 2012 12:16

    La mécanique quantique est quelque chose qui personnellement me passionne. Savez-vous qu’aujourd’hui nous arrivons à téléporter des photons ? Un jour, je pense, dans très longtemps, peut-être arriverons-nous à téléporter des gens ou des objets. Imaginez les conséquence de cette invention ! C’est l’électricité du 25éme siècle.

    Vous savez, il y a quelque chose de très intéressant dans votre article que vous ne dites pas. Depuis quand la civilisation humaine existe-t-elle ? Tout, au plus, 3000 ans. Seulement 3000 ans, nous avons des possibilités de développement immenses, titanesques, infinies. Dans deux millénaires, nous vivrons mille ans, nous aurons de l’électricité illimitée, nous pourrons voyager sur d’autres planètes du système solaire, créer des matériaux sans devoir rendre des comptes à la nature, et pleins d’autres choses qui feront de l’humanité ce qu’elle doit être : immense, belle, libre !



  • Chupa chups Chupa chups 18 septembre 2012 11:57

    Et vous dormez encore la nuit en sachant tout ça ?