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Les commentaires de Philippe VERGNES



  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 17:45

    @ JL,


    Votre connerie n’a d’égale que votre folie.

    Vous à Kalachnikov 16 mars 20:41 : « La psychologie des profondeurs n’a pas sa place sur un site citoyen, il y a trop de trolls et de cinglés. »

    Vous ci-dessus et comme déjà signifié par ailleurs (et dénié par vous) : « Liaison-déliaison Psychan... blablabla. » (Ce qui est une définition du concept de liaison-déliaison de la psychologie des profondeurs freudiennes.)

    Vous pouvez ainsi soutenir avec force et conviction tout et le contraire de tout dans un même fil de discussion et parfois même dans un même message sans jamais être en mesure de vous fatiguer.

    Chapeau !

    Je n’ai jamais pu observer in-vivo un tel acharnement à nier les évidences.

    Ben... vous savez quoi ? C’est exactement ça affabuler, autre notion que vous pervertissez puisque vous affligez du terme d’affabulateur celui qui retranscrit précisément les paroles d’autrui sans avoir à les pervertir.



  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 17:33

    @ kalachnikov,


    C’est en ce point d’incertitude que l’on ne peut malheureusement que spéculer sur les raisons inconscientes de ce drame. Mais il est clair que tant du côté (hypothétique ou pas) de Cantat que de celui de MT, la clef réside dans cette problématique incestuelle.

    Ce qu’apporte (j’ai toujours dit que Racamier corrigeait les apories de Freud... à un point dont on n’a même pas idée) la notion d’incestuel de Racamier, c’est qu’elle « déplace » (pas absolument toutefois) la notion d’inceste à la relation. A ce titre, ce n’est pas tant l’inceste que la relation qui est pathogène. Tout dépendrait en fait de la figure d’autorité et de la place qu’elle incarne dans la psyché pour qu’un inceste soit pathologique. Cela remet en cause beaucoup de nos conceptions toutes faites. Pour ne citer qu’un exemple, un enfant adopté abusé sexuellement par un de ses parents adoptifs, cela aura le même effet pathogène que s’il avait été victime d’un inceste au sens où nous l’entendons actuellement. Ce qui importe, c’est la relation de séduction qui se joue au travers de cet inceste ou de l’équivalent d’inceste comme c’est le cas en climat incestuel. A tel point que l’incestuel est considéré (mais cela a du mal a être admis) comme plus pathogène encore que l’inceste en lui-même.

    Nous ne sommes qu’au tout début de cette prise de conscience, poussés que nous sommes par la mutation d’une conscience individuelle en une conscience écologique ou systémique (système complexe, cf. Edgar Morin, Henir Laborit, etc.). J’aime beaucoup le fait que Jean-Claude Maes, spécialistes des sectes, systémicien de formation et donc quelque part un peu réfractaire à la psychanalyse, ait pu écrire que s’il n’y avait qu’un seul concept à conserver dans toute la psychanalyse, ce serait celui d’incestuel. (Bon... à mon sens il n’y a pas que ça, mais il est sûr qu’il y a beaucoup à revoir chez les psychanalystes orthodoxes ou traditionnels. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur cette « guerre » qui se joue en interne, je vous conseille la lecture du livre Le mystère Freud : psychanalyse et violence familiale de M. Hurni et G. Stoll dignes successeur de Racamier. C’est très riche d’enseignement. Vous y lirez comment l’incestuel a infiltré toute la psychanalyse. Mais cela est encore un autre débat !)


  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 16:54

    @ JL,


    Mékiléconkiléconkilécon... c’est pas dieu possible d’être aussi con et borné !

    JL... où la toute-puissance de ses dénis dans ses œuvres : « Je vous mets au défi de démontrer que Racamier a utilisé ce mot [déliaison] quelque part. »

    Vous JL, citant Racamier sous votre propre article le 25 janvier 9:52 :

    Extraits de Paul Claude Racamier :
    « La pensée perverse est une pensée créativement nulle et socialement dangereuse ; elle peut être considérée comme le modèle de l’anti-pensée.
    Le véritable secret de cette pensée : une pensée pour ne pas penser !
    Alors que la pensée est toute faite de liaison, la pensée perverse n’opère que dans la disjonction et dans la déliaison. Tel est bien le piège : les instruments (contacts et pensées) utilisés d’ordinaire pour le lien sont, par le pervers, employés systématiquement pour la déliaison.
     »

    Alors de deux choses l’une, soit Racamier n’a jamais utilisé ce mot quelque part... et vous êtes un incorrigible menteur pathologique, soit Racamier a bien utilisé ce mot tel que vous le citer vous-mêmes dans l’extrait ci-dessus reproduit avec le lien vers votre commentaire et dans ce cas... ben, vous êtes un imposteur qui cherche par tous les moyens à avoir le dernier mot, car sa faille narcissique l’empêche de prendre conscience de la réalité des faits tels qu’ils sont ici rapportés.

    Dans les deux cas, il n’y a aucune issue à vos mensonges pathologiques ou à votre imposture. La seule possible serait celle d’avoir la dignité de reconnaître ses torts, mais c’est une option impossible pour les menteurs pathologiques (les mythomanes) et les imposteurs.

    Aussi cruel que ce soit, vous vous enfoncez à chacune de vos interventions !



  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 16:09

    @ Bonjour Mélusine ou la Robe de Saphir,


    On veut des noms ! smiley smiley smiley

    (Je plaisante, vous n’êtes surtout pas obligée... garder cela bien au chaud pour vous !)

    « Le rôle des pervers est aussi celui de remettre de l’ordre dans le chaos... Paradoxalement. Ils sont un appel au père et son représentant : LA LOI. »

    Paradoxalement... c’est bien vrai. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que l’histoire des perversions est concomitantes à celles des totalitarismes (cf. Janine Chasseguet-Smirgel). Mais cela est-il audible ?



  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 15:57

    @ kalachnikov,


    « Cette affaire est justement un cas d’école, comment un fait divers devenant national empoisonne durablement une société. Rien que ça devrait interpeller : qu’on ne puisse parler de la chose sans finir par s’écharper. C’est qu’il y a inconsciemment quelque chose qui est en travail dans le collectif. »

    Je suis absolument d’accord avec cela, c’est très exactement ce que je cherche à mettre en lumière dans mon prochain article sur un sujet pour le moins similaire. (Je précise que j’ai déjà rédigé ce futur article depuis six mois et que je ne le proposerais que le mois prochain à la modération pour, d’une part espacer mes publications, et d’autre part me laisser du temps pour prendre de l’avance sur mes futures publications à paraître.)

    D’accord aussi sur le fait que MT était considérée comme une poupée de chiffon par son entourage et n’a jamais été perçue comme une « personne » à part entière. C’est malheureusement le drame de toutes ces familles incestuelles et c’est bien la raison pour laquelle je dénonce ces meurtres d’âmes (et leur processus extrêmement complexe à décoder et à retranscrire) dans mes articles.

    Sur le nœud de ce drame que vous évoquez je ne peux qu’abonder dans votre sens également. Ce point de vue me semble correct d’autant que j’ai lu de la part de la sœur de B. Cantat que Marie Trintignant était excessivement pudique. Ce qui quelque part peut-être lu comme une défense face à ce climat incestuel envahissant (et pervers). Autre fait qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est le lire que B. Cantat avait « fuit » (?) l’emprise de sa mère à 17 ans. Si tel était effectivement le cas, une défaillance de MT dans le but de se libérer de l’emprise de sa propre mère pourrait expliquer le passage à l’acte de BC qui lui, a su trouver la force de « rompre » avec sa mère (mais pas avec ses « démons »).

    Ces hypothèses seraient à affiner avec plus d’information. Mais pour cela, il faudrait avoir un quelconque accès aux résumés du procès. Pas simple à juger au regard des informations communiquées par les médias.

    Ps :
    Nous avons assez fait les « coucous » sous l’article de siatom que je salue au passage pour son calme Olympien. Respect !
    Je ne reviendrais y répondre qu’en rapport à des messages relatifs au sujet de son article. Pour les autres sujets, en rapport au thème que vous évoquez dans le message auquel je réponds, je vous ai débloqué de mes articles. Vous pourrez y commenter à votre guise, y compris même pour y exprimer vos désaccord si vous savez argumenter vos positions sans tomber dans les jeux de pouvoir.
    Pour ce qui est de l’imposteur en chef de ce site, j’ai mis les points sur les I dans mes précédents messages et le dernier de 15:22. Je n’ai donc plus rien à lui dire même si comme d’accoutumé, il ne manquera pas d’exercer la toute-puissance de son déni par une nouvelle pirouette.



  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 15:22

    @ JL,


    « ... ah votre post est encore un post de diversion, pour avoir le dernier mot. »

    Dixit l’enfumeur professionnel !

    Car c’est bien cela qui vous anime : « avoir le dernier mot » sans aucun souci de vérité. Vous vous trahissez vous-même au travers de chacune de vos interprétations qui, soit dit en passant, en disent bien plus long sur vous que n’importe laquelle de mes accusations.

    Avoir le dernier mot et sauver la face est le jeu de pouvoir par excellence des imposteurs pour qui il faut surtout pas que la vérité soit dite, car trop blessante pour leur narcissisme défaillant.

    Vous avez écrit à un intervenant sous un de mes articles le 23 mai 2013 20:56 : « Je rends ici hommage à votre honnêteté intellectuelle et j’y joins ma gratitude : je ne me voyais pas relire tout Racamier pour retrouver la citation originale (*). »

    Et ce à une époque où vous n’aviez même pas encore ouvert un seul livre de Racamier. Parvenir à rendre hommage à l’honnêteté intellectuelle d’un intervenant en y joignant sa gratitude tout en énonçant un mensonge aussi grotesque tel que celui d’insinuer avoir pu lire tout Racamier sans jamais avoir ouvert un seul de ses ouvrages est vraiment une « prouesse » digne des plus grands imposteurs.

    Et vous inondez mes articles de tels messages d’enfumage à l’attention des commentateurs de mes articles de depuis mes premières apparitions sur ce site.

    Cela fait de vous un imposteur affabulateur menteur pathologique prêt a absolument toutes les compromissions pour... simplement « avoir le dernier mot » u compris même « avoir le dernier mot » sur vos propres mensonges. Et cela sans aucun souci de vérité comme en atteste les fraudes incessantes que vous commettez sur les citations des auteurs que vous reprenez à votre compte pour leur faire dire l’inverse de ce qu’elles disent véritablement.

    Allez... exercer maintenant la toute-puissance de votre pensée perverse pour nous montrer la parfaite réussite de vos dénis (déni réussi = perversion). Niez donc avec force et virulence comme vous m’y avez habitué ce fait évident de flagrant délit d’imposture. Exactement comme vous êtes en train de le faire ci-dessus à 14:45 : je n’ai strictement jamais dit que Racamier n’avait jamais utilisé le mot déliaison. Une fois de plus, il y a un divorce total entre ce qui est écrit et ce que vous CROYEZ en comprendre.

    Vous êtes fou mon brave !

     smiley

    Ps :
    Il n’y a strictement aucune diffamation, calomnie, injures, etc. à désigner quelqu’un d’imposteur dès lors que l’on est en mesure de prouver la véracité de l’imposture. Vos accusations sur mes soit-disant mensonges que vous ne pouvez prouver qu’en pervertissant tous mes propos en leur réassignant un sens différent comme vous avez si bien su le faire pour la définition de la pensée perverse de Racamier sont, elles, bel et bien des attaques ad personam, des sophismes, des calomnies, des injures et de la diffamation... et ça dure depuis 6 ans. Ce qui fait de vous un imposteur harceleur. Pervers donc !


  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 14:34

    @ kalachnikov,


    Cette explication me suffit,

    Je plussoie et adhère totalement à votre commentaire ci-dessus.

    « Ce qui m’intéresse, en fait, c’est l’organisation d’une société, quelle qu’elle soit, et l’interaction entre culture et nature chez l’individu. »

    C’est très exactement le domaine de recherche pour lequel j’ai intégré dernièrement un groupe « théorico-clinique » animé par le Dr J.-P Caillot (successeur de P.-C. Racamier et co-fondateur avec lui du CPGF) autour de cette problématique. Je l’aborderais également dans mon prochain article qui sera proposé à la modération début avril.

    Si cela vous intéresse d’en débattre dans le respect des opinions de chacun, je ne vois strictement aucun inconvénient à ce que vous y interveniez si le cœur vous en dit.

    Les jeux de pouvoir ne m’intéressent que pour mieux les comprendre et les dénoncer. Et c’est la seule raison pour laquelle je m’y exerce parfois. Autrement, si ce n’était cela, il y a bien longtemps que j’aurais fermé mon compte sur ce site où ces jeux de pouvoir sont légion (parfois « rigolos », mais le plus souvent chiant en fait).

    Pour le reste, je n’en ai cure, seule m’intéresse la richesse de la pensée, fut-elle d’apporter la contradiction, à la condition expresse de rester dans le respect des opinions de chacun, aux idées proposées, etc. Une richesse que ceux qui se permettent de décocher des jugements à l’emporte-pièce en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (ou l’écrire) sont incapables de comprendre (ou d’apporter). De tels contradicteurs qui pour convaincre utilisent tous les stratagèmes des jeux de pouvoir m’ennuient plus qu’autre chose (d’où le fait que je me montre « odieux » avec eux). Quelqu’un qui sait argumenter ses positions sans chercher à faire changer d’avis son interlocuteur et sans réduire son argumentation à des jeux de pouvoir m’intéresse au plus haut point. C’est très simple à comprendre.

    Des arguments, pour le peu que j’ai pu lire de vous, il me semble que vous n’en manquez pas, il est donc inutile d’y inclure des jeux de pouvoir puérils et stupides qui de toute manière porteront préjudice à vos démonstrations.

    Voilà ma conception du débat et si vous y adhérez, ça ne me gène absolument pas que vous me fassiez part de vos opinions fussent-elles en contradiction avec les miennes.

    Ps 1 :
    Je ne me suis jamais présenté comme spécialiste d’un quelconque sujet, dans la mesure où la seule prétention que j’ai toujours affichée, c’est celle d’écrire des articles de vulgarisation sur les théories de Racamier qui ont le mérite d’être connues, au delà de la « vulgarisation » outrancière qu’en font actuellement les journaux « mainstreams ». Ne faites pas la même confusion que les imposteurs pervers qui ont besoin d’idéaliser quelqu’un, y compris même leur « ennemi » pour mieux le critiquer par la suite afin de rehausser l’image défaillante qu’ils ont d’eux-mêmes. C’est le principe de base des individus « pleins de vide » (qu’il faut donc continuellement remplir, d’où les histoires qui n’en finissent jamais avec eux). Je n’y peux strictement rien si mes articles de vulgarisation passent pour être « expert » aux yeux de certains. Mon seul souci, c’est d’être précis et de ne surtout pas dévoyer les concepts que j’emploie en ne sortant pas les propos de leur contexte, en ne dissociant surtout pas la forme du fond, . Soit très exactement l’inverse, de l’attitude d’un imposteur.

    Ps 2 :
    Il y a des indices probants d’incestuel (incestualité) chez les deux familles du couple Cantat-Trintignant qui peuvent « expliquer » ce qui s’est joué sur le théâtre de l’inconscient dans le passage à l’acte de B. Cantat à Vilnius.


  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 12:38

    @ kalachnikov,


    Bon, vu que ne m’as pas fait de chinoiserie et que tu abordes le sujet sérieusement, je consens à ne plus t’appeler « kakachinois », mais tu ne m’as pas dit d’où tu tires cette définition de l’incestuel et quelles sont les lectures qui t’y ont conduit ?

    Je reviendrais plus tard pour te répondre franchement (ce qui est une de mes qualités premières dans la vie et qui peut être un sérieux inconvénient face à de véritables pervers, au sens clinique et non péjoratif du terme).

    Pour l’heure, plutôt d’accord avec tes deux premiers paragraphes, mais il faudra encore quelques échanges pour accorder nos violents sur ces notions d’inceste et d’incestuel. C’est important pour ne pas dire n’importe quoi.

    Ps 1 :
    Si tu souhaites parler sérieusement... tu seras toujours le bienvenu chez moi... à la condition expresse que tu ne cherches pas à m’imposer un quelconque avis ou une quelconque opinion sur un quelconque sujet. Je conçois parfaitement que l’on puisse avoir des désaccords sur une multitude de thèmes, mais je conchie tous les doctrinaires qui cherchent à s’imposer par n’importe quel moyen... en les mettant face à leur propre excrets, ce qu’ils ne supportent jamais, cela va s’en dire.


  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 12:19

    @ JL,


    JL ou le délire d’interprétation (que l’on pourrait aussi appeler délire d’imposture ou d’imposteur) dans toute sa puissance d’évocation.

    Je ne fais que vous mettre le nez dans vos propres excrets et je ne me comporte ici envers vous cas l’EXACT IMAGE des comportements que vous vous êtes permis ici même d’adopter envers moi. Et l’expérience est plus que concluante.

    Un seul fait, un seul qui prouve à lui seul toute votre manie-hystérico-perverse : ce n’est jamais moi qui viens pondre mon œuf dans votre nid, ce n’est jamais moi qui vous harcèle sans cesse en vous relançant à chacune de vos apparitions.

    Ainsi, je ne vous traite uniquement qu’eu égard au traitement que vous me réservez et il est assez facile de constater à quel point cela vous est intolérable, d’où l’adage pervers qui a force de loi chez vous : « faite du mal à autrui avant qu’il ne t’en fasse ».
    « Vous affabulez : contrairement à vous, je ne me suis jamais vanté d’avoir des compétences que je n’avais pas... »

    C’est très simple : pouvez-vous jurer ici même n’avoir jamais écrit ou insinué (car chez vous tout n’est qu’insinuation) que vous aviez lu tout Racamier alors même que vous n’aviez jamais ouvert un seul de ces livres ?

    On vous écoute, ma réponse sera cinglante. Confusionniste un jour, confusionniste toujours !

    Affabuler, cela veut dire « arranger la réalité à sa manière », donc, si j’affabule : où est-ce que je contesterais la définition du concept de déliaison ? Donner des liens qui attestent de faits et non pas de vos élucubrations de délirant pervers qui travestissent la réalité des faits et des actes de paroles ? Ce que je dis et que j’ai toujours maintenu, preuve à l’appui de la définition que donne Racamier de la pensée perverse, c’est que le concept de déliaison de Freud que vous citez n’a quasiment rien à voir avec l’emploi du terme « déliaison » qu’en fait Racamier lorsqu’il parle de pensée perverse dans son oeuvre. La déliaison dans le concept de pensée perverse de Racamier concerne, je cite texto sa définition : « la rupture des liens entre les personnes et les pensées ». C’est pourtant simple à comprendre, mais pas pour vous, manifestement. Et c’est très exactement cela que vous avez combattu en réassignant à cette réalité clinique (rupture des liens entre personnes et pensées = déliaison) selon un sens de votre propre crue qui MYSTIFIE totalement le concept de pensée perverse.

    En foi de quoi et sur la base de cette mystification digne des plus grands imposteurs, vous pouvez ensuite écrire : « C’est une définition que j’ai pu vérifier maintes fois en observant vos agirs. »

    Mais ce que vous observez de mes agirs sur la base de VOTRE définition PERVERTIE (inverse) de la pensée perverse n’est en fait que le reflet de vos PROPRES agirs. Un truc qu’il vous est impossible de comprendre tant vous avez l’esprit tordu. Les enfants normalement constitués comprennent cela très tôt : vous NON !

    Je répète donc, pour les sourds et les malentendants : il n’y a de VRAIE définition de la déliaison que dans le contexte de son énonciation étant entendu que la plupart des mots sont polysémiques et que cette polysémie doit être éludée au regard du contexte. Or, le contexte de la définition psychanalytique du terme de déliaison, n’est pas celui de ce terme tel qu’il est utilisé par Racamier dans sa définition de la pensée perverse. C’est aussi simple que ça, mais encore une fois trop complexe pour celui qui mélange tout, baigne dans le confusionnisme le plus total et projette ensuite cette confusion chez autrui en étant incapable de la gérer lui-même. C’est là la définition exacte de la perversion narcissique (la définition de la pensée perverse que vous mystifiez ne vous sert qu’à justifier vos délires d’interprétation et vos persécutions).


  • Philippe VERGNES 18 mars 2018 00:41

    @ kalachnikov,


    Tu ne me donnes plus du « Philippe ». J’aimais pourtant bien, ça me donnait l’impression que nous étions intime toi et moi. smiley

    Tu peux me parler de ce que tu veux... à la seule condition que tu ne cherches pas m’imposer ton opinion comme tu as su si bien le faire dans nos précédents échanges. Mais comme tu m’as pris la tête grave sur le sujet de la psychanalyse et de l’inceste, précise-moi clairement, d’une, ce que toi, tu entends et comprends de « l’incestuel », et de deux, où as-tu pu en apprendre la définition ?

    C’est le minimum vital pour n’importe quel échange : s’entendre sur la définition des mots et des concepts mis en discussion.


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 20:53

    @ JL,


    Je ne mélange strictement rien... par contre vous, vous vous complaisez en permanence dans le confusionnisme le plus total.

    Votre développement n’est pas factuel, il est purement théorique... et théorie sauce JL qui pastiche toutes les toiles de maîtres avec ses crayons de couleurs.

    La pensée perverse est un concept de Racamier. Ce n’est pas mon concept et encore moins le votre vue que vous trouvez la définition qu’en donne Racamier absurde. Idem pour la notion de perversion narcissique et de pervers narcissique pour laquelle vous n’y comprenez strictement rien à un point si affligent que vous inversez le sens des mots des définitions de Racamier en faisant passer les victimes de p.n. pour perverses et les pervers pour des victimes... et sur la foi de cette inversion (perversion), vous projetez ensuite ce retournement sur autrui. Telle est votre principale technique pour semer la confusion depuis 6 ans que nous échangeons sur ce sujet.
    Les faits, ce n’est pas la théorie. Les faits vous concernant se résume en une seule phrase : vous vous vantez d’avoir des compétences que vous n’avez jamais eues sur des œuvres que vous n’avez jamais lues. Faits qui attestent de votre imposture.

    Je vous ai répété cette phrase des dizaines et des dizaines de fois, pas une seule vous ne m’avez traité de menteur à ce propos. Forcément, vous savez fort bien que les écrits restent et que j’ai les preuves formelles et factuelles de vos vantardises... et donc de votre imposture. Imposture que vous n’avez de cesse de dénier en manipulant des citations de Racamier, en inventant des citations que vous imputer à Freud pour asseoir par des arguments d’autorité vos manipulations, en prétendant que Freud à étudier la perversion narcissique alors que ce concept est né en 1978 sous la plume de Racamier, etc. j’en passe des vertes et des pas mûres.

    Bref, vous n’avez reculé devant aucune forfaiture, aucune malversation, aucune manipulation pour dissimuler ce fait évident : vous êtes un imposteur qui prend ce site et ses intervenants pour une décharge de ses propres excrets et qui en attend le bénéfice narcissique que tout bon manipulateur pervers attend normalement de ses proies (qui sur Internet sont nombreuses).

    Très honnêtement, il vaut mieux ça que de s’en prendre à vos proches si vous avez encore de la famille autour de vous qui peut encore supporter votre paranoïa, car dans cette affaire, ce sont finalement eux les plus à plaindre. Une telle paranoïa de combat laisse des marques indéfectibles chez ses victimes. Quant à vous, c’est bien dommage, mais votre cas est inamendable.

    Ps :
    La pensée perverse se caractérise par :
    • la manipulation d’autrui (exactement ce que vous faites avec vos fraudes sur les citations d’auteurs et la réassignassions du sens des mots à votre propre sauce à l’encontre des auteurs de ces citations )
    • l’emprise narcissique (difficile à définir pour le profane, mais c’est bien l’objet de l’utilisation que vous faites de ce forum)
    • la prédation (l’exemple que donne Racamier est celui du coucou qui va pondre ses œufs dans le nid des autres : là encore, tout à fait ce que vous faites en critiquant des œuvres que vous n’avez jamais lues, et donc encore moins comprise)
    • prompte à la persécution (il suffit que j’apparaisse sous un article pour que vous vous précipitiez pour venir régler vos comptes, normal, un pervers ne supporte pas la castration)
    • foncièrement disqualifiante (ça, c’est tout vous, il n’y a pas un seul des milliers de messages que vous avez postés sous mes articles qui ne soit pas disqualifiant)
    • elle ne vise qu’à rompre les liens entre les personnes et les pensées (le sens de la déliaison dans la définition de la pensée perverse qui n’est surtout pas celui que vous lui assignez : votre spécialité d’Humpty Dumpty patenté)
    Voilà qu’elles sont très précisément les caractéristiques de la pensée perverse telles que Racamier a pu les définir. A leur lecture, on comprendra très bien que vous combattiez cette définition de Racamier qui stygmatise tous les vices dont vous faîtes preuve sur ce site étant dans l’incapacité d’un échange collaboratif avec une personne qui dévoile vos impostures.

    Dernier point, la pensée pervers n’a aucun souci de vérité, seul le résultat compte. Là encore, cela caractérise parfaitement votre attitude lorsque vous citez des auteurs en pervertissant leur citation ou bien lorsque vous utilisez vos arguments circulaires qui s’auto-valident par des affirmations péremptoires redondantes.


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 13:44

    @ JL,


    Ben oui... toute la force de vos dénis est illustré dans ce commentaire que je donne en lien. Dans cette intervention, vous pouvez dire, je cite : « Mensonge : je n’ai jamais contesté la définition par Racamier de la pensée perverse,... »

    ... et sur la définition de la pensée perverse communiquée par Racamier lui-même que je donne ICI (PV 1er mars 14:36), écrire ensuite... dans le même commentaire : « Dire de la pensée perverse que, je cite :  »elle ne vise qu’à rompre les liens entre les personnes et les pensée«  est une absurdité dont j’ignore si elle est de Racamier lui-même ou de votre fait, étant donné que cette définition figurerait dans un ouvrage introuvableet je ne veux même pas le savoir tant je la trouve absurde. Définition absurde en effet, voyons de plus près ce que pourrait signifier cette expression : « rupture des liens entre les personnes et les pensées » :... »

    Ainsi vous pouvez dire tout et le contraire de tout dans le même message tout en niant farouchement ne pas l’avoir dit... et cette attitude toute en paradoxe est une constante chez vous. D’où la réussite de vos dénis et... de votre perversion langagière (critère caractéristique essentiel d’identification de la perversité - perversion - narcissique).

    En conséquence de quoi, sur la foi de vos propres délires d’interprétations, autre constante chez vous, vous projetez chez autrui vos propres lacunes et vices que vous ne pouvez supporter voir chez vous.

    Ce ne sont là que des éléments FACTUELS. Domaine inaccessible à un imposteur illusionniste qui peut se vanter d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres qu’il n’a jamais lues.

    CQFD ! smiley


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 12:10

    @ kakachinois,


    Je ne suis du genre à avoir foi que dans les faits. Tout bonnement !

    Qui s’est JCR ? Vos initiales ? Un joueur de foot ou autre ?

    Après, si ce n’est que je ne vois pas où vous voulez en venir tant vos interprétations sont alambiquées, ce qui est une source majeure d’illusion pour un esprit imaginatif, je vous ferais simplement remarqué que le coucou de l’histoire, c’est toujours celui qui va pondre ses œufs dans le nids des autres. C’est ainsi que je ne me suis jamais permis de commenter vos interventions et encore moins de vous imposer mon opinion... par contre, je vous ai mis le nez dans vos excrets, et ça devait sentir mauvais, en refusant que vous m’imposiez les vôtres. A la vue de vos réactions, j’ai sûrement touché une corde sensible, la castration, les pervers n’ont jamais apprécié (enfin, c’est du moins ce qu’en dit la psychanalyse, mais cela semble être bel et bien confirmé).

    Voilà les faits !


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 11:28

    @ Bonjour Self con troll,


    Si je puis me permettre de rebondir sur votre post sans toutefois répondre à la place d’alinea à la question que vous luis posez : « En préambule, je revendique mon hostilité à la psychanalyse quand elle se veut cartographie des personnalités, selon le principe que notre individualité, que nous devons explorer et construire, n’est pas un point sur une carte. »

    C’est, en d’autres termes, le sens de mon propos lorsque j’ai répondu à alinea et à Kent ci-dessus en parlant de processus plutôt que de diagnostic « catégoriel ». Sauf que je n’ai pour ma part aucune « hostilité » sachant pertinemment que les progrès, quel que soit le domaine abordé, sont toujours lents et parfois douloureux à « accoucher ». Concernant la psychanalyse orthodoxe, ils sont plus que douloureux puisque qu’une frange « dure » de ses représentants sont totalement sectaires. Mais la psychanalyse orthodoxe ou traditionnelle, n’est pas l’Alpha et l’Oméga des sciences humaines. Loin s’en faut. Et pour bien comprendre les différences entre psychanalyse orthodoxe et psychanalyse moderne, il faut en connaître l’histoire intime. Ce qui sera le thème de mon prochain article.


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 11:11

    @ JL,


    Délire d’interprétation et injection projective dans toute leur puissance.

    « Le concept de « déliaison » n’est pas relatif à la seule psychologie des profondeurs : Je l’ai appris en cherchant à comprendre la définition que Racamier donne de la pensée perverse ; chose que vous n’avez pas faite : faut-il vous rappeler que vous avez toujours soutenu que ce mot désignait le fait de vouloir rompre des liens interpersonnels ? Ce faisant, vous étiez encore dans la déliaison, puisque dans le déni du principe de réalité : je parle du vrai sens de ce mot. »

    La définition que Racamier donne de la pensée perverse, ben... c’est celle que Racamier donne dans son livre qui reprend tous les concepts qu’il a établi autour de sa théorie, ET NULLE AUTRE. J’ai recopié cette définition avec exactitude sous de précédents échanges. Définition que vous avez combattu, car elle allait à l’encontre de votre interprétation. Interprétation d’autant plus délirante qu’elle pervertit le sens que vous donnez à la pensée perverse et en inverse totalement les valeurs. Ainsi, votre définition parle pour vous : en inversant les valeurs de cette définition vous pouvez faire passer les pervers pour des victimes et les victimes pour des pervers : soit très précisément ce que vous me reprochez projectivement.

    La définition de la pensée perverse est ICI !

    Votre avez « glosé » cette définition à diverses reprises en la qualifiant d’absurde... vos divers commentaires (pervers = inverse) sur cette définition sont ICI !

    Ce qui est totalement absurde, c’est de pouvoir soutenir que Racamier ait pu donner une définition de la pensée perverse relative à la perversion narcissique dans sa propre théorie, tout en reprenant le concept, en le pervertissant pour enfin lui attribuer un sens dont vous seul avait la maîtrise à l’encontre même de Racamier, l’auteur de la théorie de la perversion narcissique et du concept de pensée perverse que l’on ne retrouve que chez lui.

    Seul un « fou » peut se croire capable d’une telle prouesse. On en comprend l’utilité qui est celle de réassigner les victimes en pervers et les pervers en victimes.

    Moralité : vous ne comprenez strictement rien de la pensée de Racamier, de son oeuvre et de ses concepts, mais vous pouvez déclarez en vous victimisant, comme vous avez l’habitude de le faire lorsque l’on vous mets le nez dans vos excréments, que, je cite : « ... je peux dire sans modestie, que je lui [Philippe VERGNES] ai appris à lire Racamier et bien d’autres choses encore... »

    Pauvre « fou » ! Et tout ça sans jamais avoir ouvert un livre de Racamier. (Le « petit » Racamier, comme vous le nommez n’est pas un de ses livres, mais seulement la réédition de deux chapitres de l’un de ses livres.)

    J’ai vraiment peine pour vous.


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 10:40

    @ alinea,


    « ... en réponse à Philippe Vergnes, que je ne crois pas du tout qu’il faille y voir le mal absolu pour s’en sortir. »

    Lorsque je dis cela, j’énonce des généralités pour lesquelles il y a toujours des exceptions. Cela va de soi.

    Je que j’ai énoncé sur les victimes de p.n. concernant « la figure du mal absolu » n’entre pas en contradiction avec ce que vous précisez : pour s’en sortir, il faut bien sûr se connaître mieux, et comprendre pourquoi on a tenu la bagarre si longtemps, etc. Mais il faut également en avoir la force et ce que j’ai observé, c’est que cette force là provenait de la prise de conscience chez la victime d’être face à un problème monumental pour lequel il va tout de même falloir s’atteler à la tâche.

    En disant cela, je me situe à la place d’une victime qui se trouve dans l’état totalement décervelé d’une personne ayant subit un meurtre d’âme, parfois durant des années, et qui cherche l’énergie nécessaire à se sortir de ce merdier. C’est à ce moment-là que la « figure du mal absolu » a une certaine utilité. CE QUI NE SIGNIFIE PAS QUE CETTE PHASE DOIT PERDURER !

    Tout au contraire. Le but étant d’amener une telle victime a s’interroger sur elle-même, mais seulement après avoir passé le cap de la sortie d’emprise. Cela est très précisément expliqué en psychotraumatologie par exemple. Or, cette phase préalable est éludée la plupart du temps, alors que c’est elle qui va conditionner la réussite du processus de résilience.

    Ici encore, il est question de processus, de phases et d’étapes à ne pas brûler sous peine d’échec. C’est très précisément la question pour laquelle la psychanalyse (orthodoxe), qui saute cette étape, connait beaucoup d’échecs et est totalement inefficace pour les victimes encore sous emprise. (Mais le problème est de plus en plus pris en compte par cette discipline de par l’impact médiatique qu’on certaines affaires comme celle de Cantat par exemple).

    Toutefois, il est à noter que bien souvent, cette première phase perdure. C’est là où justement il est important d’analyser cette problématique en tant que processus, car c’est bien lorsque il y a une « fixation » à cette figure du mal absolu qu’il y a également de possibles dérives perverses que l’on observe même chez certaines victimes qui ne réussissent pas à franchir ce cap.



  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 09:44
    @ Kakachinois,

    « Bonne journée, Philippe. »

    Merci ! A toi aussi.

    Pour le reste, j’ai pas compris... j’ai toujours cru que tu ne faisais que parler de toi. Tu m’expliqueras ça lorsque nous nous verrons autour d’un bon café. Par contre, j’aimerais bien te rendre toute l’attention pleine de délicatesse que tu as eu à mon encontre en m’appelant par mon prénom, mais j’ignore le tien. (Kakachinois, ça fait un peu éculé comme concept, même si cela répond bien au style de tes interventions à mon encontre.) smiley


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 09:34

    @ JL,


    Passons sur l’inessentiel de votre message qui n’est que du bruit et simple projection délirante d’un imposteur en manque de perfusion narcissique (c’est à ça que sert aussi Internet) qui peut se vanter sans vergogne d’avoir des compétences qu’il n’a jamais eues sur des œuvres (et des sujets) qu’il n’a jamais lues : ce qui est la plus parfaite définition de l’imposture.
    « ... au lieu de cela, vous avez repéré une faute de frappe et en avez fait une montagne, démontrant une fois de plus le vide abyssal de votre réflexion. »

    Heu... non !

    Celui qui fait des chinoiseries pour les fautes d’orthographes, faute de frappe, etc., en privilégiant constamment la forme sur le fond (critère de l’imposteur), c’est VOUS ! Et avec une constance affligeante.

    La faute de frappe repérée, n’a été relevée QUE parce que dans le même message vous pouviez écrire, je cite : « La différence entre un scientifique et un charlot, c’est que, en cas de doute, le scientifique se relit et s’il y a lieu, précise sa pensée. Le charlot monte tout de suite sur ses grands chevaux. »

    Puis dans la phrase d’après, je cite encore tel quel : « L’imposteur, en ^mus,... »

    Diantre ! Vous ne vous relisez donc pas ? C’est donc que selon vos propres critères : VOUS ÊTES UN CHARLOT !

    Ainsi, vous auriez voulu nous avouez votre vice que vous ne vous y seriez pas mieux pris. Ce qu’il y a de marrant avec les gens tels que vous, c’est que votre inconscient parle pour vous. Et c’est cela qui est véritablement sans fin tant de telles contradictions sont présentes dans une multitude de vos interventions sur ce site. S’il fallait les relever toutes, un livre entier n’y suffirait pas !

    Ps 1 :
    La citation mensongère de Socrate... mouarfff ! J’en peux plus... vos sabots sont si gros qu’on peut voir la « merde » que vous soulevez avant même que vous ne leviez le pied pour commencer à marcher. Le pire, c’est que ça fonctionne bien : on peut pas dire que vous n’avez pas de clientèle... comme quoi, votre business a encore de belles heures à vivre. Il n’y a donc pas lieu de vous stresser pour si peu.

    Ps 2 :
    Allez, comme on est entre amis et que vous n’êtes pas à une contradiction près, une petite dernière pour la forme.
    JL 16 mars 20:41 : « La psychologie des profondeurs n’a pas sa place sur un site citoyen, il y a trop de trolls et de cinglés. » Ainsi parla celui qui peut afficher dans son profil d’auteur Agoravox la définition de la psychologie des profondeurs du concept de Liaison/déliason. (Encore faudrait-il préciser de quelle psychologie des profondeurs nous parlons, parce qu’avec la vôtre... inutile d’essayer d’en sonder le fond : il est abyssal. Totalement à l’image du vide qui vous habite.) smiley !

    Si ça c’est pas dire une chose tout en faisant le contraire... je veux bien être pendu en place publique, mais en attendant... qu’est-ce qu’on se marre avec vous !


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 01:44

    @ kakachinois,


    En tant que cas, il te serait plus profitable de te trouver un miroir et de t’y observer attentivement... cependant c’est ballot... tu ne peux pas t’y voir. Comme tu le dis si bien avec beaucoup de mépris (ou de haine ?), « ce benêt de gros public n’y voit que dalle », mais rassure-toi, il apprend... lentement, mais sûrement... il apprend. Et viendra bien le jour où toutes les petites manigances auxquelles s’adonnent les gamins frustrés ne feront plus illusion, c’est inéluctable... autrement cela signerait la fin de l’humanité, mais si tel doit être son destin... ma foi. Qu’il en soit ainsi, cependant, ce ne sont pas des petits haineux encore boutonneux qui réussiront à me faire prendre des vessies pour des lanternes. smiley

    Ps 1 :
    Heu... je n’accorde pas plus d’importance aux cons que je ne t’en accorde à toi, mais si ton narcissisme se plait à le croire... moi, ça me fait une belle jambe, alors... il peut bien faire ce qu’il veut.

    Ps 2 :
    J’t’ai jamais dit que t’étais con ni même que les cons étaient « castrés » (symboliquement parlant). Par contre, j’ai bien dis que les pervers ne supportaient pas l’expérience de la castration (tu sais bien, le fameux « ciseaux »). smiley smiley


  • Philippe VERGNES 17 mars 2018 01:01

    @ velosolex,


    Merci pour le lien... je vais y jeter un œil de plus près tant il est clair pour moi, et ce depuis longtemps, que « La manipulation et le plaisir du pervers narcissique sont grandement facilités actuellement pas les nouveaux moyens informatiques, qui garantissent une certain pouvoir sur un anonymat, ou les doubles peuvent se développer en réseau, potentialisant sans doute le sentiment de toute puissance. »

    C’est même l’une des raisons de ma présence ici, sur un site non modéré où les trolls (et les pervers) peuvent s’adonner en toute liberté et sans crainte d’être « castré », à leur plus « basses » pulsions. C’est un matériel d’une immense richesse tant la jungle Internet est disparate. L’usurpation d’identité est un problème que je souhaite aborder dans un de mes prochains articles. Peut-être trouverais-je avec votre lien de quoi l’étayer, car c’est un aspect méconnu et quelque peu éludé de la perversion narcissique que j’ai déjà commencé à traiter en parlant du meurtre d’âme dans mon dernier article et du décervelage dans mon avant dernier article (en lien justement avec la problématique de l’identité).

    Par ailleurs, et comme l’ont souligné plusieurs auteurs, la mythomanie est encore trop mal comprise et peu étudiée. Ce manque ou cette absence peut être comblé par les apports de la théorie de la perversion narcissique qui, selon Racamier, recouvre et chapeaute l’imposture et la mythomanie. Sur l’imposture, Roland Gori a développé des conceptions remarquable autour d’un livre que j’ai déjà eu l’occasion de présenter : La fabrique des imposteurs. un ouvrage sur lequel je reviendrais tantôt tant les imposteurs sont comme des poissons dans l’eau dans notre société actuelle et sur les réseaux sociaux.