Francis, agnotologue

@Jean Keim
 
’’Je pense que vous n’avez pas compris le commentaire qui a précédé le vôtre’’
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 Je dirai que c’est vous qui croyez (votre pensée qui vous fait croire) que je n’ai pas compris, alors que je vous explique la chose depuis longtemps. Un jour j’ai dit : l’intention précède la pensée. Et vous avez contesté, disant la pensée précède l’action. Vous avez joué sur les mots, et vous continuez. Je vais en rester là.

@Krokodilo
 
oui, un traducteur automatique, à l’instar d’un IA, ne comprend pas ce qu’il dit. Il ne peut donc l’exprimer correctement.
 
cf. « ce qui se conçoit bien ... »

@LVOLC
 
 ’’L’heure est grave, il faut voter pour les vrais souverainistes qui soutiennent le FREXIT, la sortie de l’OTAN, la sortie de la CEDH et la sortie de l’OMS.’’
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 Sauf qu’aux Européennes on ne vote pas pour des objectifs nationaux mais européens et par conséquent pour des parti européens. Il n’y a pas de parti frexiteur en Europe : les autres députés, au mieux, s’en foutent de nos soucis personnels s’ils ne vont pas dans le sens des leurs.
 
 Mais en revanche, on peut trouver des partis favorables à une confédération plutôt qu’une fédération autoritaire et illégitime qui nous est imposée.
 
Dans une confédération, la souveraineté appartient exclusivement (ou principalement) aux entités qui composent l’ensemble. Dans une fédération, le « pouvoir national » est partagé entre l’État fédéral et les États fédérés ; la souveraineté est alors uniquement détenue par le gouvernement fédéral.

@Jean Keim
 
 Ne seriez vous pas en train de m’expliquer ici ce que j’ai tenté de vous faire comprendre si souvent lors de nos discussions précédentes, à savoir que la pensée, et plus précisément le raisonnement, est au service de nos intentions et pas l’inverse, comme vous me le souteniez avec ces mots : ’’la pensée précède l’intention’’ ?

@Enki
 
je plussoie.
je ferais la nuance suivante au sujet de ça : ’’ les scientifiques sculptent trop souvent des données pour s’adapter à leur théorie préférée du monde.’’
 
Je dirai que les scientifiques sculptent trop souvent des données pour les adapter à aux théories préférées des commissions d’attribution des budgets d’études et de recherches. Autrement, à ceux qui ont l’argent pour les financer, les oublier en utiliser les résultats.
Ils sont d’ailleurs confondus avec les experts, dont on sait que leurs diagnostics sont toujours conforme à l’intérêt de leurs mandataires. Une statistique qui ne convient pas à son commanditaire donneur d’ordre n’est jamais publiée.