Cette mesure sanitaire élémentaire curieusement oubliée (ou censurée)
Depuis décembre 2019, le Monde entier est concentré sur une épidémie causée par un nouveau virus, dont l’alerte a été donnée par un médecin chinois de 34 ans. D’abord arrêté par les autorités chinoises cherchant à censurer le problème, il a ensuite été relâché pour mourir lui-même de cette maladie. Le nom de ce héros à retenir : Li Wenliang. Trois mois ont passé avec diverses mesures draconiennes (voire militaro-policières) en Chine puis ailleurs. Certains pays occidentaux ont d’abord préféré commencer par des mesures démagogiques (parfois quasi cosmétiques, voire contradictoires) affirmant même que seuls les +de 65 ans étaient en danger. Vous pourrez énumérer vous-mêmes chacune de celles-ci en bas de cet article. Ces mesures européennes désordonnées ont néanmoins été entourées d’un gigantesque débat démocratique bienvenu. Même si l’on a semblé être un peu noyés par un flot de caquetages politiques et médiatiques jusqu’à étouffer complètement la campagne électorale en cours ! L’objet de cet article est d’ouvrir un urgent débat sur les « barrières » proposées (généralement de bon sens) en rajoutant une cause oubliée de cette fulgurante contagion internationale.
La semaine dernière, j'ai arrêté de distribuer des journaux électoraux en faveur d’une alliance électorale Villani-Buzin. (NB/ De nombreux cartons restent néanmoins à votre disposition pour l’entre deux tours au local métro Parmentier). Pourquoi ? D’abord parce que j’ai pensé qu’il y avait une bien plus grande urgence que l’électoralisme politicien. Et aussi un peu parce que j’estime que cette campagne a été médiatiquement biaisée par l’omniprésence médiatique du coronavirus. Les petits candidats devenaient inaudibles et le résultat du scrutin, de facto faussé, perdait donc en légitimité. On pouvait très bien voter deux mois plus tard, calmement, sans subir ce 49,3 médico-électoral précipité après le 49,3 parlementaire sur la réforme des retraites (également non urgente). Pourquoi une telle précipitation suspecte ?
Revenons au sujet principal de l’article : Comment le virus a-t-il pu passer et se développer aussi vite en Italie, malgré l’éloignement géographique de la Chine . et surtout malgré les nombreuses mesures prises tenant compte du trimestre d’expérience chinoise ? Nous avons assisté en direct à un débordement spectaculaire des autorités sanitaires italiennes, au point que toutes les institutions, les écoles, les entreprises et les commerces du pays se sont retrouvés fermés pendant plus d’un mois ?
Comme le virus avait également passé la totalité de nos frontières terrestres et aériennes françaises, j’ai donc bien plus réfléchi à cela qu’aux arguments complémentaires en faveur de l’indispensable alliance Villani-Buzin (NB / Alliance indispensable pour générer une vague de « sang neuf » afin de soigneusement ausculter les déficits cachés de la pagailleuse gestion de certains services de la Mairie de Paris).
J’ai réfléchi pour tenter de comprendre pourquoi les élites politiques et médicales avaient perdu la bataille antivirale en Italie et pourquoi il semblait en être de même en France. N’étant pas médecin, en simple citoyen père de 4 enfants, j’ai intensément lu et écouté. Comme vous tous probablement. J’ai bien compris que l’inconsciente indiscipline était une cause de failles dans la défense de chaque pays. J’ai compris aussi que la deuxième grande faille venait des porteurs sans symptômes (dont beaucoup d’enfants).
Un matin, une cliente attendait à côté de moi que son amie termine un tirage sur un de nos ordinateurs (NB / Clavier et souris nettoyés régulièrement malgré onze pharmacies parisiennes sans gel. Annonce importante : Les bouteilles du précieux produit tant recherché par nombre de citoyens inquiets ont été trouvées dans… des magasins de bricolage !).
J’aperçois de mignonnes toutes petites mains derrière cette élégante dame. Des doigts minuscules jouent sur la table avec un objet : une pièce jaune. Mon cerveau de papa a immédiatement réagi. J’ai gentiment dit à la dame : « Heureusement que tous les enfants d’Italie, de France et du Monde entier ne jouent pas comme elle avec la petite monnaie. M’autorisez-vous à asperger cette pièce de gel ? ». M’abaissant doucement vers cette charmante enfant, je lui ai dit en chuchotant, mais assez fort pour que les deux femmes entendent : « Je te préviens, jolie fleur, cette pièce n’aura plus le même goût ». La dame a, bien entendu, immédiatement retiré l’objet suspect des doigts de sa précieuse descendance en me remerciant.
Depuis ce jour mémorable, je nettoie les pièces que l’on me donne. Et, sur une petite soucoupe, j’asperge de gel les pièces que je rends devant mes clients surpris, amusés, consentant et reconnaissant. (Sans séchage, car le gel résiduel poursuit ensuite partiellement son œuvre lorsque les pièces rejoignent leurs consœurs dans le porte monnaie). Après 15 jours d'expérimentation de cette discipline sanitaire ostentatoire et systématique dans mon cyber copy shop, malgré un contact direct fréquent avec nombre de clients successifs, je constate ne pas avoir chopé le coronavirus...
N'ayant jamais entendu parler de la dangerosité des pièces de monnaie dans les médias et n’ayant jamais vu ce geste salvateur ailleurs, j’ai compris que la France commettait probablement la même erreur que l’Italie. Une des grandes failles ayant percé notre « ligne Maginot antivirale » était sous nos nez à tous, dans nos mains, dans nos sacs et nos poches. J’ai donc délaissé les cartons de beaux documents quadri pro Villani-Buzin et décidé d’imprimer des tracts d’alerte sur ce grave problème sanitaire. Des milliers de tracts (papier « neutre » ou recyclé sur pare-brises, comme d’habitude). Sur ce document, édité et distribué gratuitement, j’incite à le faire reproduire et diffuser en cascade. J’ai même rajouté l’offre de lots de tracts d’alerte gratuits pour vos boites aux lettres d’immeuble.
Pourquoi cette mobilisation précipitée avec nos maigres moyens matériels ? Parce que je ne veux pas que la France perde bêtement cette bataille médicale et voit bientôt (comme la Chine, l’Italie et d’autres pays) tous ses magasins et entreprises fermés pendant un ou deux mois.
Le débat citoyen est ouvert. Pour le démarrer sereinement, calmement, je vous donne un extrait de la page d’accueil d’aujourd’hui du site de l’institut Pasteur. Comme il est maintenant certain que le coronavirus va revenir chaque année à la même période, j’espère sincèrement qu’un médicament sera enfin trouvé et qu’un vaccin verra le jour avant le délai annoncé de… 18 mois.
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Une épidémie de pneumonies d'allure virale d'étiolo-gie inconnue a émergé dans la ville de Wuhan (pro-vince de Hubei, Chine) en décembre 2019. Le 9 jan-vier 2020, la découverte d’un nouveau coronavirus (d’abord appelé 2019-nCoV puis officiellement SARS-Cov2, différent des virus SARS-CoV, respon-sable de l'épidémie de SRAS en 2003 et MERS-CoV, responsable d’une épidémie évoluant depuis 2012 au Moyen-Orient) a été annoncée officiellement par les autorités sanitaires chinoises et l’Organisation mon-diale de la santé (OMS). Ce nouveau virus est l'agent responsable de cette nouvelle maladie infectieuse respiratoire appelée COVID-19 (pour Corona- VIrus Disease).
Le virus peut-il persister dans l’environnement ? Et le cas échant, pendant combien de temps ?
Au vu des données disponibles, la survie des corona-virus dans le milieu extérieur n’est que quelques heu-res sur des surfaces inertes sèches. Compte tenu des temps et conditions de transport entre la France et la Chine, le risque d’être infecté par le SARS-CoV2 en touchant un objet importé de Chine est considéré comme extrêmement faible. Les mesures d’hygiène standard (lavage des mains, nettoyage de surfaces) sont efficaces.
Quelle est la durée de l'incubation ?
La durée de l’incubation est en moyenne de 5 à 6 jours, avec des extrêmes de 2 à 12 jours, ce qui justifie la période de quarantaine de 14 jours.
Quelle est la période de contagiosité ?
La contagiosité semble débuter avec l’apparition des symptômes, voire quelques jours avant pour certains sujets. Elle serait plus importante chez les personnes symptomatiques, notamment quand elles toussent.
Un effort de recherche international se poursuit, in-cluant l’Institut Pasteur à Paris et le Réseau Interna-tional des Instituts Pasteur, pour affiner les réponses à ces questions.
Le débat est donc ouvert sur Agoravox.fr, sans polémiques agressives inutiles S.V.P. Car ce p***** de coronavirus est en train de mettre toute l’économie mondiale par terre. La catastrophe n’est pas uniquement pour le tourisme, l’hôtellerie, la restauration et les transports, mais aussi pour la Bourse (avec vos très chères retraites complémentaires), la haute finance spéculative insouciante gavée de pro-duits « dérivés » à très fort levier d’incidence, les précieuses compagnies d’assurances et… la totalité des Banques sans aucune exception.
Exemple : la plus grande banque d’Europe (la puis-sante Deutsche Bank, 4eme banque mondiale en taille) était cotée 116 € en 2007. Seulement 7,5 € la semaine dernière. Et 4,84 € hier, 13 Mars 2020).
NB / La fragilité des banques est réelle. J’ai bien peur de ne pas pouvoir arriver moi-même à récupérer un simple chèque (n°3094351 de 1098 € débité sur mon compte et non crédité à XEROX Docline) « égaré ou bloqué » par le Crédit agricole depuis le… 24 mai 2019 !!! (NB / les personnes se trouvant exactement dans ce cas et ne pouvant, comme moi, assumer les frais judiciaires, sont priées de me contacter ou de se mettre en liaison avec l’une des associations de défense des usagers des banques).
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