L’autre jour, j’ai été invité à une conférence privée par des policiers. Le premier a dit : du temps de mon arrière grand’père, c’était simple. Si un bijoutier était cambriolé, le butin était pour les voleurs. Le second a dit : mon grand père se méfiait ; un jour, les cambrioleurs ont profité d’un esclandre sur le trottoir d’en face pour braquer le bijoutier ; le chef des bandits faisait partie des émeutiers. Le troisième a dit : mon père a eu le même cas, sauf que le bijoutier est sorti voir ce qui se passait, ce qui simplifiait le braquage ; c’était une escroquerie à l’assurance. Le quatrième a dit : moi pareil, sauf que les voleurs étaient commandités par l’assurance ; qui a gardé le butin et la prime, vu que dans le contrat le gars ne devait pas quitter la boutique.
Sur ce, l’alarme incendie a sonné. Ils se sont précipités dehors où des terrorrrrristes les ont flingués. C’est qui qu’a eu la médaille ?
Sur la partie visible de la guerre d’Ukraine, les duettistes d’Avox se fient, à la suite de Tytelmann, aux informations du réseau citoyen Oryx. Selon eux, les Russes sont à la rue depuis longtemps.
Je ne me suis pas intéressé au fonctionnement de cet Oryx. Je vois juste qu’il peut être infiltré par la CIA et consorts (fausses infos, images trafiquées). Alors, bien informés ? J’en doute
Permettez-moi un salut amical (et aux autres veuillez excuser l’aparté). J’aime bien votre phrase. Elle me rappelle des discussion récentes entre un qui cherche l’intention dans la matière, et un autre pour qui la réalité est la manifestation du balancement entre abraction et instanciation.