1. « Je suis en désaccord total avec certains dirigeants socialistes qui se complaisent dans une attitude politicienne. Je ne comprends pas l’attitude de ceux aujourd’hui qui font la fine bouche. » : Certes, le PS fait souvent la "fine bouche" (un peu normal quand on est dans l’opposition) mais Jack Lang ne fait-il pas trop souvent la bouche en cul-de-poule ?
2. « Je suis peut-être le seul vrai opposant à Nicolas Sarkozy » : no comment.
Citons aussi le "courage" de tous les umpistes qui se targuent d’avoir bien voté c’est-à-dire malgré une analyse minitieuse de la réforme institutionnelle, à titre d’exemple, Alain Lambert, le 21/07 : « Et voici enfin Jean-François Copé qui attendait avec impatience le résultat du vote. Il m’a félicité d’avoir voté "pour" malgré mes réticences. A cet instant, nous n’étions pas encore conscients que cela aurait pu être la voix fatidique. Autant dire que je ne regrette rien, ni mes colères, mes hésitations, car elles étaient justifiées, ni mon vote car je n’aurai pas aimé donner raison à Madame Royal. »
Dans Le Figaro de ce jour (deux articles différents) :
1.- À la fin 2007, Jack Lang s’était dit prêt à « rendre service » à Nicolas Sarkozy.
2. - Source : AFP - 23/07/2008 | Mise à jour : 15:48 |
« Le sénateur Alain Lambert (UMP) a été nommé à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts (CDC). "La commission des Finances a fait connaître qu’elle propose la candidature d’Alain Lambert pour siéger au sein de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations", a annoncé Adrien Gouteyron (UMP), vice-président du Sénat, à l’ouverture de la séance.
Opposant à la réforme des institutions, M. Lambert s’était ravisé, à la dernière minute, pour l’approuver lors du Congrès de Versailles.
L’ancien ministre délégué au budget remplace à ce poste le rapporteur du budget Philippe Marini (UMP) "avec l’accord de ce dernier". »
http://info.france3.fr/france/44974863-fr.php Jack Lang, l’ancien ministre de François Mitterrand, membre de la commission Balladur qui a élaboré la réforme constitutionnelle, avait écrit une lettre ouverte au président mardi dans Le Monde. Il réclamait l’élaboration d’"un véritable statut de l’opposition" et lui demandait notamment de prendre "des engagements fermes" sur "la comptabilisation des expressions politiques du président de la République dans les médias", l’une des principales revendications socialistes.
Le président de la République ne peut être l’homme d’un parti ou d’un clan. Cet engagement sera donc tenu dès le lendemain des élections législatives. Mais j’irai plus loin. QUESTION - Comment ? LE PRESIDENT - Je pense aux méthodes de travail du Parlement. Je pense aux droits de l’opposition qui doit enfin avoir un statut.
Enfin (plus le temps de chercher à la place de ceux qui "écrivent des articles") :
si Jack Lang devait voter obligatoirement pour cette réforme supposée issue de la commission à laquelle il n’était pas le seul à participer et sans savoir ce qui serait retenu, il devait refuser cette "mission".
1. « Je suis en désaccord total avec certains dirigeants socialistes qui se complaisent dans une attitude politicienne. Je ne comprends pas l’attitude de ceux aujourd’hui qui font la fine bouche. » : Certes, le PS fait souvent la "fine bouche" (un peu normal quand on est dans l’opposition) mais Jack Lang ne fait-il pas trop souvent la bouche en cul-de-poule ?
2. « Je suis peut-être le seul vrai opposant à Nicolas Sarkozy » : no comment.
Citons aussi le "courage" de tous les umpistes qui se targuent d’avoir bien voté c’est-à-dire malgré une analyse minitieuse de la réforme institutionnelle, à titre d’exemple, Alain Lambert, le 21/07 : « Et voici enfin Jean-François Copé qui attendait avec impatience le résultat du vote. Il m’a félicité d’avoir voté "pour" malgré mes réticences. A cet instant, nous n’étions pas encore conscients que cela aurait pu être la voix fatidique. Autant dire que je ne regrette rien, ni mes colères, mes hésitations, car elles étaient justifiées, ni mon vote car je n’aurai pas aimé donner raison à Madame Royal. »
Dans Le Figaro de ce jour (deux articles différents) :
1.- À la fin 2007, Jack Lang s’était dit prêt à « rendre service » à Nicolas Sarkozy.
2. - Source : AFP - 23/07/2008 | Mise à jour : 15:48 |
« Le sénateur Alain Lambert (UMP) a été nommé à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts (CDC). "La commission des Finances a fait connaître qu’elle propose la candidature d’Alain Lambert pour siéger au sein de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations", a annoncé Adrien Gouteyron (UMP), vice-président du Sénat, à l’ouverture de la séance.
Opposant à la réforme des institutions, M. Lambert s’était ravisé, à la dernière minute, pour l’approuver lors du Congrès de Versailles.
L’ancien ministre délégué au budget remplace à ce poste le rapporteur du budget Philippe Marini (UMP) "avec l’accord de ce dernier". »
http://info.france3.fr/france/44974863-fr.php Jack Lang, l’ancien ministre de François Mitterrand, membre de la commission Balladur qui a élaboré la réforme constitutionnelle, avait écrit une lettre ouverte au président mardi dans Le Monde. Il réclamait l’élaboration d’"un véritable statut de l’opposition" et lui demandait notamment de prendre "des engagements fermes" sur "la comptabilisation des expressions politiques du président de la République dans les médias", l’une des principales revendications socialistes.
Le président de la République ne peut être l’homme d’un parti ou d’un clan. Cet engagement sera donc tenu dès le lendemain des élections législatives. Mais j’irai plus loin. QUESTION - Comment ? LE PRESIDENT - Je pense aux méthodes de travail du Parlement. Je pense aux droits de l’opposition qui doit enfin avoir un statut.
Enfin (plus le temps de chercher à la place de ceux qui "écrivent des articles") :
si Jack Lang devait voter obligatoirement pour cette réforme supposée issue de la commission à laquelle il n’était pas le seul à participer et sans savoir ce qui serait retenu, il devait refuser cette "mission".
Auriez-vous des difficultés à "tourner les pages" du siteEurope2020 et à les lire ?
Je lis Europe2020 depuis début 2007, site découvert par hasard, avant l’élection du P’tit promettant monts et merveilles. Il semble que Bayrou (un parmi d’autres) était plus enclin aux analyses qu’aux promesses électorales (je devrais dire d’entubages) à la harry potter et sa baguette magique devant aller chercher la croissance avec les dents de loup du p’tit manipulateur se rabattant sur les réformettes institutionnelles qui lui permettront d’encore mieux vanter sa marchandise.
Ce site analayse longuement, mois après mois, depuis septembre 2006, les catastrophes que nos zélites ne voyaient pas, n’entendaient pas, certainement pas Mâme Lagarde -hyper diplômée- toujours à ses fourchettes dépareillées sur la croissance française "excessivement pessimistes" de l’Insee selon elle, il y a à peine trois mois, mais il n’y a plus à force de revoir ses fourchettes, parties de 2-2,5% actuellement "proche" de 1,7%, autant dire le 1,6% de l’Insee ; outre ses déclarations de l’été 2007 : "la crise est derrière nous". Idem les néo-cons euphoriques de l’immobilier et bien d’autres domaines.
Bref, rendormez-vous, il arrivera bien un moment où la crise sera derrière vous et que vous pourrez vous réjouir en proclamant tout ce que vous voulez dans l’oubli que c’est maintenant que cela se passe comme le p’tit qui vous pompe l’argent du contribuable en posts, pardons spots de scout-toujours "tout va bien mâme la marquise". Après tout ce n’est qu’un mauvais moment à passer... pour mieux faire passer les régressions sociales ou comment mutualiser les pertes et niveler les masses laborieuses par le bas. En fait, il ne se passe que ce qui s’est toujours passé, la fausse Secret Story, que les masses endormies (dont je ne fais heureusement pas partie) s’appliqueront à reproduire n’ayant pris aucune disposition pour amortir le choc.
Je ne comprends pas le titre "intelligence émotionnelle".
Not’ pwésident use de toutes les ficelles de propagande élémentaire (appel aux réflexes les plus discutables), jouant entre moyens du même niveau sur le compassionnel de bazar. Lui-même instinctif primaire = dans la survie constante = en guerre continuelle, menaçant de faire compter triple chaque vote "de la majorité" contre ses décrets de chef d’état classé démocrat(iqu)e.
L’intelligence du manipulateur, peut-être ?
Qui voudrait de pwésident comme voisin de palier excepté pour l’utilité de son carnet d’adresses, individuellement ou en clan (soumettez-vous), faisant appel là aussi à nos instincts les plus discutables ? Tout en pourrissant la vie des autres voisins grâce à son carnet d’adresses ?
Démagogue
Populiste
Népotiste, claniste
Binaire = bien/mal, noir/blanc, "si tu n’es pas de mon avis, tu es contre moi" ; incapable d’élaborer un concept (cf Piaget et Wallon qui situent le début du dépassement du binaire vers 7-9 ans)
Larmaloeil circonstanciel, voire profanateur des cimetières
Rancunier
Macho, se servant de ses femmes (successives), cf la dernière New Jackie retirant sa veste devant le par-terre à Londres, Sarkozy vantant la marchandise acquise grâce à son feu nucléaire, l’épouse-madonne extatique entre deux interviews pour parler de ses intentions de faire de l’humanitaire ; tous les vieux-beaux à fort cv se lovant dans les bras de New Jackie, ou pour d’autres dames dans leurs décolletés à fort potentiel ; ou les Mystères du bistouri permettant aux dames de faire le pied de grues dans les gros carnets d’adresses ;
Manipulateur
Humour de beauf
Retourneur de veste par excellence dans ses discours et dans les faits : double discours selon qu’il est dans sa tribune ou circule à Rungis, à l’usine ; idem entre ses discours et les faits : réception en grandes pompes de l’immonde, le Dalaï Lama devant attendre une prochaine rallonge du budget ’com et que pwésident ait réussi à remettre les pieds en Chine ; pour rappel, Delanoë conspué par la clique car pratiquant une politique contraire à celle du gouvernement (sic, Raffarin) pour avoir fait le Dalaï Lama citoyen d’honneur de la Ville de Paris (plutôt que le président syrien ?)
Incapable de se maîtriser un minimum
Bourdeur de première
Jouisseur sur ses rancoeurs de mai ’68
Rétrograde
Dé-réformiste
Grossier voire vulgaire
Inculte notoire sauf en karaoké de has-been
Pique-assiette-stylo-etc
Grand dépensier des deniers publics
Bref, l’âge ni a rien fait et ne fera rien, c’est trop tard.
Ce que l’auteur dans son addendum 16/07, 17h24, appelle "politiquement incorrect", je l’appelle (y a pas que pwésident qui peut décréter le "langage vrai") Politic Academy, du même niveau que Secret Story sauf que dans le premier cas "ça" s’hyperagite, dans le second "ça" s’hyperaffale pour un même résultat : le nivellement par le bas, du remplissage de cerveau rendu disponible. Dans les deux cas, Casting par la direction (la grosse machine du carnet d’adresses) sur base de ses propres critères et "visions d’avenir".
Toujours dans l’addendum de l’auteur :
Si l’émotion dans ses expressions positives nous aide à nous construire et à développer notre conscience de manière agréable, l’émotion dans ses expressions négatives (colère, insultes, emportements, victimisation) ne sont pas de nature à construire cette part de bonheur que recherche tout individu et qui peut lui permettre de passer de la survie à la vie.
Une émotion n’est ni positive ni négative. Il y a deux façons de juger une émotion : par le préjugé et par la réflexion. Une colère n’est pas obligatoirement négative ; on se rappellera le jugement fort à propos de Sarkozy ayant quand même mis plusieurs minutes pour chercher la parade dans les yeux de PPDA, sur la colère de Royal : la question n’est pas de savoir si celle de Royal fut saine (classique moyen de troller le débat) mais de CONSTATER que Sarkozy s’octroie très régulièrement (ça frise la compulsion) des envolées lyriques et viriles, dans son cas auto-proclamées saines et dignes d’un chef d’état. Nous sommes donc toujours bien dans le binaire ce qui n’est pas digne d’un chef d’état (disait-il à Royal) qui doit être capable de dépasser les pulsions d’un(e) gamin(e) de 7-9 ans.
En soi, une émotion devient malsaine quand, par exemple, elle est utilisée pour manipuler, à chacun de faire une analyse digne du ce terme ; quand elle est disproportionnée au-delà du raisonnable etc. Jje n’entre pas dans le détail.
En quoi "développer sa conscience de manière agréable" est-elle positive ? Le doute au sens philosophique du terme est très dérangeant pour l’ego.
Accessoirement, pour ceux qui ne seraient pas au courant :
- les émotions ne siègent pas dans le coeur,
- les pulsions ont leur raison que la raison ne connaît pas...
Je décerne le premier prix de la Politic Academy à pwésident.