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Fabrice

Fabrice

Médecin spécialiste en  maladie respiratoire et cancérologie avec un tropisme marqué pour les maladies environnementales.
Défenseur acharné de notre environnement de vie, je crois qu’un milieu de vie sain est une condition incontournable d’un bon état de santé tel que défini par l’OMS.
 
 
 

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  • Premier article le 09/02/2006
  • Modérateur depuis le 27/04/2006
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Derniers commentaires



  • Fabrice Fabrice Duplaquet 9 novembre 2006 17:15

    Je pense aussi que dans certains cas la distinction est très subjective mais il ne s’agit qe dune minorité de dossier. Dans ce cas c’est la justice qui doit trancher sur avis d’experts et jurisprudence.

    Par contre dans les deux exemples ci-dessus la problématique est claire pour le deuxième : il s’agit d’une faute par méconnaissance du dossier et non un aléa. Le risque pouvait être pris mais avec le consentement du patient et si la vie du patient est en danger. Mais avouer ne pas avoir connu les résultats avant c’est impensable.

    Dans le premier cas, idem, avec l’avec l’accord éclairé du patient mais il s’agit d’un aléa avec ou sans l’accord. Le juge donnera souvent raison au patient s’il n’a pas été informé des complications possibles. Donc aléas thérapeutiques mais condamnation si patient non informé dans ce deuxième cas.

    Il ne faut pas mélanger erreur et aléa et encore moins information et non information... 4 combinaisons possibles.

    En cas d’aléa si le patient a été informé il n’y pas de faute mais le patient est quand même meurtri et donc il pourrait bénéficier d’une indemnisation sans que le médecin ne soit reconnu fautif.



  • Fabrice Fabrice Duplaquet 7 novembre 2006 16:31

    Je ne pense pas que le vivant puisse être expliqué facilement. La complexité des mécanismes qui concourent à maintenir le vivant contre les forces de dérégulation est prouvées par les milliers d’articles publiés par décénnie dans les plus grandes revues internationnales. Sans oublier la somme collosale de mécanismes encore inexpliquées en 2006. Mais j’avoue que cette tentative de vulgarisation est bien faite bien que très partielle.



  • Fabrice Fabrice Duplaquet 2 novembre 2006 12:13

    L’effort est à saluer mais un peu compliqué. Je suis néanmoins d’accord de tester cela quelques semaines et d’ensuite réévaluer.



  • Fabrice Fabrice Duplaquet 23 octobre 2006 15:11

    C’est vrai que la DHEA n’est probablement pas une hormone efficace mais les autres substances sont en cours d’évaluation.

    Etonnant, si vous tapez DHEA dans Google : 4 500 000 matchs. Dingue, non ?



  • Fabrice Fabrice Duplaquet 21 octobre 2006 15:04

    Je n’ai jamais compris le mécanisme psychologique qui pousse les fumeurs à se déculpabiliser de fumer en cherchant de fausses excuses dans les rares cas de cancer chez le non fumeur (- de 5% de l’ensemble). Alors venir dire que parceque quelque chose d’autre est plus nocif alors il faut continuer de fumer c’est assez surprenant. Le tabac est le typre de pollution qui entraîne et de loin le plus de mortalité et de morbidité, suivi du cholestérol et loin derrière de la pollution athmosphérique. Le tabac + la pollution = plus de cancer que le tabac seul ou la pollution seule. Donc supprimons le tabac et la pollution et si cela est difficile dans l’immédiat alors supprimons celui qui est le plus facile à interdire, le tabac. Jusqu’à preuve du contraire, le tabac est une assuétude, pas la pollution.

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