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Formule4

La liberté n’est pas un simple mot. La liberté est difficile, elle est couteuse.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/06/2007
  • Modérateur depuis le 03/03/2008
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Derniers commentaires



  • Formule4 11 février 2008 14:33

    Il est possible que l’affaire soit bloquée mais, connaissant le caractère tranquille de l’énervé pathologique, ce n’est pas si sûr.

    Rappelons qu’un juge a admis qu’il y avait consentement mutuel lors du divorce récent des Sarkozy (celui de 2007, pas encore celui de 2008), ce qui est un "jugement" affectant le chef de l’exécutif.

    Un autre juge a admis que NS était victime de Ryanair, une autre forme de jugement du judiciaire sur l’exécutif. En effet, c’est bien l’image de NS en tant que Président qui était la source de la plainte. Une décision judiciaire pleinement politique en quelque sorte.

    Rappelons que ces jugements sont rendus en mon nom, en votre nom, au nom du peuple français.

    Il est donc bien dans la visée dangereuse de Napoléeon IV de mixer allègrement les pouvoirs judiciaires et exécutifs, les parlementaires s’étant déjà transformés en godillots pour des raisons aussi politiques qu’un siège, un bureau, une secrétaire et une voiture de fonction.

    NS n’a-t-il pas déjà, à plusieurs reprises, au nom d’un populisme de bazar, "commenté" des décisions de justice pour mettre en garde les juges des conséquences de leurs décisions ?

    Ce mélange des genres (des 4 pouvoirs) est la porte d’accès direct au régime parlementaire dictatorial, prochaine étape du Sarkozysme.

     



  • Formule4 11 février 2008 14:01

    En effet.

    Ajoutons que c’est un psychopathe de la "sanction" et de la "punition", mots qui se retrouvent à foison dans son discours pseudo-sécuritaire.

    Pourtant, il a toujours été ainsi durant sa campagne, et même avant. Il n’a aucun respect pour quoi que ce soit, même pour lui-même. C’était clair, évident et même annoncé.

    Il a quand même été élu.

    Et berlusconi, son sosie pathologique, n’est-il pas le favori pour diriger l’Italie très bientôt ?



  • Formule4 11 février 2008 13:52

    En principe (constitutionnel et républicain), l’autorité judiciaire est "incompétente" pour juger le Président de la République. Seule la "Présidence de la République" pourrait engager une poursuite pénale si l’"image" de la fonction était mise en cause par exemple.



  • Formule4 11 février 2008 13:49

    Que Carla ait gagné quelques euros, cela fait toujours une pub interationale pour Ryanair pour un prix sacrément Low Cost. Bien joué de la part de leur publicitaire.

    Qu’un juge ait "jugé" le Président de la République, même en sa faveur, est ahurissant. Ryanair portera-t-il l’affaire en cassation ?

    Question : la vie "privée" du Chef de l’Etat est -elle justifiable de la procédure judiciaire normale ? Et dans ce cas, faut-il convoquer le Congrès à Versailles pour inscrire dans la Constitution les domaines "privés" et les domaines "politiques" du Chef de l’Etat ?

    Enfin, en quoi la relation Sarkobruni a-t-elle un caractère privé plutôt qu’un évident caractère politique dit "Ecran de Fumée" ?

    Enfin enfin, et récemment, le juge peut-il condamner Sarkozy, Président, pour atteinte à l’indépendance de la presse ? Et lui appliquer la peine plancher, car il récidive le bougre...

     Enfin enfin enfin, quand y aura-t-il un pilote dans l’avion ?



  • Formule4 11 février 2008 10:35

    Votre réaction est compréhensible mais ouvre la porte à tous les abus. Admettons que le juge, anti sarkoziste primaire (c’est son droit) administre une baffe judiciaire à Nicolas S. et le condamne pour atteinte à la liberté de la presse ?

    Nous sortirions immédiatement de la séparation des pouvoirs, puiqu’une telle décision serait éminemment politique. Le pouvoir judiciaire pourrait ainsi déstabiliser le président, élu du peuple, et prendre part à la politique de l’exécutif, voire imposer le vote de lois qu’il appliquerait. Un gouvernement des juges en quelque sorte.

    Nicolas nous avait habitué à ce que l’exécutif marche à gros sabots sur le territoire judiciaire, et voilà que la giffle en retour pourrait bien arriver par un éventuel renvoi dans les 22 mètres de l’hyper actif.

     

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