« Il n’y a pas de choix démocratique contre les traités européens ». En tenant ces propos, le président de la Commission européenne Jean-‐Claude Juncker a lui-‐même fixé le cadre de la tyrannie qu’il exerce. Notre programme n’est pas compatible avec les règles des traités européens qui imposent l’austérité budgétaire, le libre-‐échange et la destruction des services publics. Pour appliquer notre programme, il nous faudra donc désobéir aux traités dès notre arrivée au pouvoir, par des mesures de sauvegarde de la souveraineté du peuple français.
Quant aux amendes, c’est simple, on ne les paiera pas. La désobéissance aux traités permet la mise en marche et l’application immédiate du projet de l ’Avenir en Commun. C’est aussi un des moyens de pression sur l’UE .
Bonjour alinea et à tous. Vous pouvez acheter « L’Avenir en Commun » en format Kindle sur Amazone pour 2,49 euros. Pour le lire , télécharger d’abord l’appli gratuite sur ce même site. Dans 10 minutes vous l’avez , le temps de quelques clics !
Juste une précision en ce qui concerne la libération de prisonniers politiques à Cuba qu’aurait facilitée l’écrivain.
Je ne suis pas sûr que Gabriel Garcia Marquez , même s’il est intervenu pour une clémence envers eux, aurait qualifié ces opposants de simples prisonniers pour délit d’opinion, aussi il est toujours préférable de ne pas faire parler les morts, par respect pour eux.
La liberté d’opinion, d’expression et d’association est garantie par l’article 54 de la constitution Cubaine.
Des opposants politiques Cubains existent à Cuba, sont libres, se déplacent sans entrave et vivent à Cuba , ils ne sont nullement menacés d’emprisonnement dans la mesure où ils ne font pas preuve d’intelligence avec une puissance étrangère dans le but de renverser le gouvernement par des moyens non démocratiques.
Yoani Sanchez, la « dissidente » la plus célèbre de la « communauté internationale », pourtant supportée financièrement par certains pays étrangers , vit à Cuba d’où elle anime son blog , accessible depuis Cuba comme ailleurs.
Les condamnations des dits « dissidents politiques » l’ont été sur des lois qui existent dans TOUS les états dits démocratiques.
Dans la loi Cubaine, la raison invoquée est « travail de concert avec une puissance étrangère dans l’objectif de déstabiliser et de renverser le Gouvernement cubain »
Pratiques d’ingérences bien connues , ici même aussi sur Agoravox, fréquemment utilisées par les Etats-Unis, dont la NED ( national endowment for democracy) est souvent le principal « organisateur ».
Pas besoin de faire un dessin aux lecteurs d’Agoravox quand on vient d’en avoir encore une fois la preuve , si nécessaire, avec l’Ukraine !!