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Le bateleur

Le bateleur

Né le 11 Octobre 1955 près du Rup de Mad (ruisseau Lorrain)
un peu de sang noir, teuton, saxon
premier de classe en cp, second en spé
le plus souvent cancre entre les deux
Très impressionné par le conflit du Biafra (? ... tant pis)
(ce doit être pour cette raison à maturation lente, que j’ai quitté Saint Cyr après un an)
Animateur de colo, directeur, manche dans la rue, pion, responsable d’un centre permanent informatique, développeur didacticiels, praticien de diverses méthodes de re-médiation cognitives,membre d’un groupe du ministère de l’EN concernant les nouvellles technologies, prof de maths, conseiller en formation d’adulte, dépot de quelques traces de pensées mortes dans divers recueils de poésie, lecteur de Daumal, Gurdjief, Dhotel et Jacotot
...
n’achève jamais rien, la preuve ... je suis encore vivant.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/03/2006
  • Modérateur depuis le 18/04/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Le bateleur Le bateleur 24 avril 2008 18:54

    Merci de me donner l’occasion de préciser.

    J’ai développé des séquences d’apprentissage pour lesquelles j’ai utilisé le QCM. Et je suis bien d’accord avec vous sur deux points

    - c’est un système d’évaluation qui donne de bon résultats statistiques

    - il est très sous utilisé en France, pays où les élèves (notamment jusqu’au lycée) n’osent pas répondre tant qu’ils n’ont pas la certitude de "ne pas avoir faux", même s’ils savent que la règle du jeu n’est pas le zéro faute mais la bonne performance (et que dans ce cas, si l’on est parvenu à éliminer deux choix IL FAUT REPONDRE comme on fait une impasse à la belote lorsqu’il ne reste plus qu’un joueur derrière soi)
    Il y a en France un vrai travail à faire à ce niveau.

    Ce que je voulais dire en citant l’outil c’était évoquer cette descente dans les prétentions à l’interactivité, due à deux facteurs

    - les difficultés croissantes (rendement décroissant des technologies de l’intelligence) de ceux qui prétendaient à

    - le peu d’enjeu réel, dès lors que les buts de l’enseignement eux-même se réduisent à l’acquisition de savoirs en brique facilement évaluable à peu de frais (la croix dans la case de l’élève de maternelle "sait quitter ses parents sans pleurer" ou "aligne cinq gommettes d’une même couleur en faisant au plus une faute"...

    Sinon, oui il y a de nombreux développements à faire à propos du numérique
    (notamment autour des notions d’information chaude - Deep Purple "Made in Japan" en live - et froide - les même enregistrés et écoutés ... trop souvent)
    mais peu de public pour l’entendre,
    l’heure est à l’émerveillement et au faux effroi racoleur

    (Ca sent la trouille monsieur Dyens - (La condition inhumaine) )



  • Le bateleur Le bateleur 24 avril 2008 18:35

    Vous avez raison mais il me semble que c’est ce que je dis dans l’article ("En fait, à cela, l’homme travaille depuis assez longtemps, et l’on en trouve des ébauches dans l’orgue de barbarie, puis dans la musique midi, où chaque note est définie par ses paramètres puis reproduite par un synthétiseur supposé contenir le modèle de production du son par l’instrument.")

    Il se trouve que je pratique cette musique depuis 25 ans,
    l’Atari 520 puis 1024 - l’en ai encore deux au grenier - était tout à fait révolutionnaire avec son interface midi intégrée (du jamais vu depuis ... hors mis l’amiga) qui se combinait parfaitement avec une série d’expandeurs (modules synthétiseurs possédant des sons - DW800 de Korg et ses belles napes, le petit FB01 de Yamaha et ses sons d’orgues, le MT32 de roland avec une palette assez complête) et un clavier maitre.

    Précisément, c’est cette tentative qui a échoué pour les raisons évoquées que l’on perçoit lorsqu’on écoute le morceau.

    Même une excellente Carte son (elles préfèrent à présent ne pas embarquer les sons, mais, à la manière d’un échantillonneur, être capable de les charger en mémoire) ne peut synthétiser que très localement dans un registre précis (on comprend le choix ici d’une clarinette jouée un peu comme un clavecin, avec assez peu de dynamique).

    Sinon, le but de cet article est précisément de montrer la numérisation à l’oeuvre un peu partout, et l’exemple choisi, pour peu qu’on le parcourt et l’illustre d’un peu de quotidient piqué dans l’environnement proche (le votre) me sembe pertinent.

    Une petite recherche sur "industrialisation de l’enseignement" donne d’autres illustrations de ce qui est devenu un des enjeux majeurs des pays développés : stocker et (re)produire le savoir comme on le fait pour un objet technique.

    Le résultat est assez catastrophique ... pour la même raison que dans le cas de la musique,
    ce qui est sacrifié est précisément ce qui donnait vie.

     



  • Le bateleur Le bateleur 16 avril 2008 00:38

    Oui, les socialistes jouent aussi de la réponse fontionnelle

    Dans laquelle la proposition n’est rien de plus que l’empreinte du problème (le CPE était de la même nature, la police des mers contre le piratage idem)

    Sinon, même s’ils n’ont pas cherché consciemment à perdre, ils n’ont pas mis toutes leurs forces dans la bataille, au point que (d’autres l’ont constaté depuis) Bayrou a pu les grignoter à droite.

    Une erreur serait tout de même de tomber dans cette fausse réponse à tout

    La droite est mauvaise ... que proposent les socialistes.

    C’est à ce type de réaction que l’on voit les dégats de la numérisation des cerveaux
    la réponse bipolaire étant la seule envisageable.

    Rappelons que les municipales ont vu une défaite de la droite non imputable à la gauche socialiste
    mais plutôt à une très bonne prestation des communistes et consort

    D’où l’humilité ... nécessaire de Holland qui ne pouvait pas revendiquer grand chose.

    Quant aux électeurs
    au contraire j’en ai rencontré de nombreux qui ne savaient plus que faire
    revenus de tout après avoir cru que tout allait vraiment changer ...



  • Le bateleur Le bateleur 15 avril 2008 14:50

    Oui, bien sur, source, validité, et éventuellement une certification ISO 9001 (Service) de l’AFAQ

    Dans un monde de défiance et de paresse (quand on me donne des chiffres je les vérifie (sourire)² n’en feriez vous de même ?))

     

    Sinon, la famine dont je parle est celle qui court à travers le monde
    et notamment dans les pays à peau foncée telle que cette belle première république noire d’Haïti.

    Pour vendre davantage d’objets techniques inoutils il va falloir bien maîtriser l’eau, le pétrole et les populations.

    Je veux bien accepter le terme de promotion pour cet article

    Le choix est simple,
    soit nous nous mettons du côté des oppresseurs de Nombreux au service dela production coûteuse ... pour tous. Et la Chine est alors un exemple d’efficacité tant au niveau de la fabrication que de la maîtrise des populations (efficacité de la police chinoise, même en sol étranger)

    soit nous réorientons le projet vers ce dont l’homme a majoritairement besoin
    ce qui suppose de cesser les dépenses pharaoniques (la Chine sait faire) et de confort, pour à nouveau se préoccuper de ce qui fait vivre et épanouir l’homme.

    Luc Comeau-Montasse

    du fagot des Nombreux

     



  • Le bateleur Le bateleur 7 mars 2008 01:13

    L’intéressé le dit lui-même

    il ne s’inscrit pas dans la durée

    "NS : Mais tu sais, le pouvoir, c’est quelque chose qui m’a toujours intéressé. J’aime faire ! Je dirais que j’aime plus faire, réaliser, changer, bousculer, réformer, que durer. La phrase que j’aime le moins c’est : « J’ai le temps ». Parce que je pense que le temps est une denrée si rare que c’est très prétentieux de dire : « j’ai le temps ». Tu n’en sais rien, ça peut s’arrêter demain.
    Donc moi, je crois que chaque minute doit être utilisée, et on doit faire quelque chose. J’aime faire !

     LLM : Mais vers ce rêve ?

     NS : J’aime faire ! Alors après, cela s’exprime dans la politique, je veux transformer la France... mais j’aime faire ! Au fond, il y a des gens qui font, qui sont faits pour « faire », et moi, c’est ce que je veux faire.

     LLM : Donc, à la fin de ta carrière, c’est d’avoir « fait » qui sera probablement le plus important ?

     NS : Ma carrière, je ne sais pas, moi. Ce qu’il me plaît, c’est, tous les jours, de devoir prendre des décisions, de réaliser des choses. ....

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