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Luc Paul ROCHE

Luc Paul ROCHE

Professeur de philosophie de l’enseignement secondaire
Militant syndical
*
Auteur de SYNDICALOPHOBIES, L’horreur syndicalophobe ou les nouveaux visages de la servitude volontaire
*
Revue des ressources
*
Idée favorite : « un auteur-citoyen n’est ni amateur ni professionnel ; il écrit par devoir » (citation de R. Patrosso)

Tableau de bord

  • Premier article le 27/01/2010
  • Modérateur depuis le 10/03/2010
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Derniers commentaires



  • Luc Paul ROCHE Luc Paul ROCHE 29 avril 2010 21:23

    Article assez ahurissant.

    D’une part il y a le flou sur l’idée même de ce qui est toxique et anxiogène.

    D’autre part, à ce compte-là, on va tuer dans l’œuf toute possibilité de militantisme, militer pour une cause, c’est, la plupart du temps, regarder l’horreur en face (demandez à ceux qui militent contre l’exploitation, ou contre les exactions institutionnelles, ou contre les mafias, ou contre l’oppression, ou contre la torture, etc... L’idée même qu’un info sur telle ou telle horreur soit toxique sous-entend qu’on n’a plus vraiment le droit de parler de cette horreur.

    Et puis il y a une sorte de courage qu’il faut valoriser aussi. Les militants sont bombardés d’infos et d’images anxiogènes, cela ne signifie pas qu’ils vivent plus dans la peur que le beauf moyen qui se voile la face sur les réalités du monde. Parfois regarder l’horreur en face, c’est aussi une manière de s’endurcir.

    Mais enfin je vais cliquer un vote positif sur cet article ; il me fait un peu rigoler !

     smiley



  • Luc Paul ROCHE Luc Paul ROCHE 29 avril 2010 21:12

    pardon pour les s que j’oublie a « il » et à « terminale »

     smiley



  • Luc Paul ROCHE Luc Paul ROCHE 29 avril 2010 21:10

    Je suis d’accord avec l’intervention de tfyrys.

    L’économie, on le sait depuis Marx, et même Keynes pour ceux que Marx effraye (lorsqu’il le confondent avec Staline), n’est pas forcément un instrument du capitalisme ; elle peut en constituer au contraire la critique la plus virulente, en se fondant sur une analyse minutieuse des mécanismes d’extorsion de la plus-value.

    Les Terminale L n’ont pas de SES dans leurs matières (mais le prof de philo peut leur enseigner la théorie marxiste qui est encore au programme de philosophie).

    Les Terminale ES ont de l’économie et de la sociologie ; tout dépend après du niveau de ces classes ; que voulez-vous qu’on vous dise ?

    L’appel fraternitaire et gauchiste de la fin de l’article est ridicule : ce n’est pas parce qu’on est faignant, crasseux, etc. qu’on est forcément moins con que les économistes libéraux officiels. On peut être faignant, crasseux, etc (la liste est longue dans l’article) et être aussi con que n’importe qui. La beaufitude, par exemple, ne préserve pas de la bêtise.

     smiley



  • Luc Paul ROCHE Luc Paul ROCHE 29 avril 2010 18:25

    Il s’agit d’une petite ville du sud de la France.

    Si vous avez un certain esprit de déduction, vous saurez laquelle dans peu de temps.

    J’attends avec impatience les résultats de votre enquête.

     smiley



  • Luc Paul ROCHE Luc Paul ROCHE 29 avril 2010 13:08

    Je ne dirai rien de Desproges que je connais assez mal.

    En ce qui concerne Coluche, il faut éviter d’idéaliser cet artiste. Ses spectacles ont largement contribué à diffuser un « tous pourris » assez nocif jetant un discrédit généralisant, et donc forcément inexact parce que généralisant, sur les politiques, les syndicalistes, les fonctionnaires répressifs et non-répressifs ; on aurait attendu une vision bien plus fine de la société, et en fait il a servi à un public souvent composé de bobos une sorte de gaucho-poujadisme tout à fait impropre à faire avancer le respect des valeurs républicaines. Par ailleurs, l’auto-proclamé « enfoiré », jouant à merveille la personne du « gros beauf », l’incarnant à tel point qu’on se demande encore s’il la dénigrait ou s’il l’exaltait (à mon avis les deux), a largement contribué à populariser une beaufitude décomplexée qui, là aussi, est tout a fait impropre à élever le niveau culturel et le niveau de vertu des peuples.

    Bref : je n’ai jamais vraiment cru dans les capacités de catharsis du coluchisme. Le grossier Dieudo est plus un avatar du coluchisme, qu’une forme d’humour en opposition au coluchisme ; il en est sensiblement de même de toute cette pléthore de comiques de pacotille actuels dont le discours se réduit à un poujadisme anti-service public indigne, comme la Roumanoff dont les propos ne m’ont jamais fait rire.

    Fernand Raynaud était bien plus fin et plus intelligent, beaucoup plus républicain aussi.

    Les comiques actuels sont à peu près tous des représentant de la médiacratie (médiocratie ?) libéral-gauchiste.

     smiley

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