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nihalem

Jeune étudiant en quête de repères dans un monde qui n’en finit pas de muter...

Tableau de bord

  • Premier article le 04/07/2012
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Derniers commentaires



  • nihalem 21 novembre 2008 16:13

    Sauf que si tu utilises « groupe éthnique » pour l’ancienne « race », « race » ne sera plus utilisée qu’au sens donné par les racistes (et les anti-racistes, qui se donnent ici la main), et quiconque voudra replonger dans la culture lentement accumulée par nos ancêtres et rencontrant le mot « race » au sens ancien supposera un raciste. À être trop habile, à être une cible trop mouvante pour ses adversaires, il ne faut pas non plus se faire réduire et encercler dans un résidu intenable.
    Comment comprendra-t-on tous les enseignements de nos anciens si on les abandonne à la lecture de leurs adversaires, comment nous défendrons-nous, si, non seulement nous sommes minoritaires, mais qu’en plus, nos anciens ne sont qu’encore plus inaccessibles quant nous les invoquons pour ramener nos interlocuteurs à la raison.

    Les races/types/groupes éthniques existent autant que les nations et toutes autres adaptations que la nature et les événements font émerger pour trouver des solutions particulières aux problèmes particuliers rencontrés dans différents endroits particuliers.
    Bien sûr, il y a la pigmentation de la peau pour s’adapter à l’ensoleillement. C’est un cas très concret qui va créer des différences. Mais aujourd’hui, on a des crèmes solaires écran total et des fruits riches en vitamines qui permettent à ces différences de se mélanger facilement et en bonne santé.

    Prenons un exemple d’éléments abstraits qui ne soit pas connoté : dire oui ou non en hochant la tête. En France, hocher verticalement signifie oui, horizontalement signifie non. Au Japon, c’est l’inverse. L’un est-il mieux que l’autre ? Absolument pas ! Faut-il les mélanger et ainsi s’enrichir culturellement (poncif des fanatiques du métissage) ? Pas du tout ! Sinon, comment saura-t-on ce qui signifie oui et ce qui signifie non ? À l’occasion, se renseigner sur cet état de fait permet de mieux apprécier la nature de ces conventions culturelles. Mais ce n’est pas parce qu’elles sont arbitraires qu’il faille renoncer à une relative homogénéité !

    Dans les déserts, les populations ne cultivent pas et développent ou gardent un mode de vie nomade. D’autres ont à cœur de protéger et de développer leurs nids. Cela fait que certaines cultures poussent à voir son environnement comme un dépotoir qui se recycle tout seul. D’autres à donner plus de soin. D’autres facteurs, nombreux, interviennent. Prenons le crachat. Dans un désert, tout le monde s’en fout, ça rentre dans le sable et y disparait. Dans le métro, cela fait un nid bactériologique qui contamine ceux qui y passe. C’est pour ça que suite aux recherches de Pasteur, les crachoirs furent supprimés et cracher fut considéré comme un manque criant d’éducation. Aujourd’hui, beaucoup se croient très malins de cracher partout comme un guerrier nomade traçant sa route dans un monde hostile ou qu’il dédaigne. C’est consternant.

    Or, la culture est omniprésente, pas seulement pour savoir comment hocher la tête. Ne serait-ce que passer de la France à l’Angleterre, deux pays frontaliers, européens avec une longue histoire commune (c’est même la France qui a fondé le Royaume-Uni), ce peut être extrêmement déroutant. La langue, les mentalités, les civilités, le système ppolitique, conduire à gauche, les unités de mesures. Essayez et vous réaliserez. Donc, il faut faire les migrations avec précautions, et opérer l’acculturation (l’ajout d’une culture) avec soin et patience. Sinon, c’est la bazar. Personne ne sait plus où il en est ni où en sont les autres. Pire, par ce même besoin d’homogénéité, l’immigrant est poussé à fréquenter d’abord ceux de son origine. C’est humain, mais ça ghettoïse, ça retarde l’assimilation tout en grossissant la masse de ceux à assimiler. In fine, ça crée des tensions, comme on le constate au Royaume-Uni, au Londonistan notammant. Un monde arc-en-ciel où tous se mélangeraient sans friction et seraient citoyens du monde et de rien d’autres, c’est une utopie d’intellectuels. Si ça devait arriver, ce ne serait pas avant longtemps. Les mécanismes à actionner sont trop lourds et délicats à la fois.

    Si les mêmes personnes qui vilipendent notre culture n’empêchaient pas qu’on l’apprennent à ces immigrés qui ne demandent que ça pour la plupart, il n’y aurait pas toutes ces incompréhensions. Car, a discriminaion à l’embauche, c’est bie souvent la crainte d’avoir un employé au français approximatif, aux manières rugueuses et à l’esprit pauvrement doté d’une sous-culture tant encensé par les Jack Lang et apparentés, le fameux underground. Une icône de cette culture, Kurt Cobain, s’est d’ailleurs suicidé d’avoir été reconnu pour son mal-être, la compassion morbide et la compréhension ne suffisent pas...



  • nihalem 15 novembre 2008 13:50

    Tel est pris qui croyait prendre. J’ai commis un lapsus dans mon précédent billet : ne pas lire « propos » mais « quiproquo », bien sûr smiley ...



  • nihalem 15 novembre 2008 13:46

    @ sisyphe,
    "Ridicule !
    D’abord, pour quelles raisons peut-on être "contre l’homosexualité" ?
    Est-ce qu’on est contre l’hétérosexualité ?
    Contre le vaginisme ?
    Contre le clitoridisme ? "


    Je pense aussi qu’il faut respecter les idées et d’abord chercher à comprendre l’autre et ce qu’il dit sinon, c’est l’avalanche de conneries et de violences assurée. Donc laissez la liberté d’expression débattre des concepts, dont l’homosexualité.

    Ainsi, je suis contre le vaginisme, ces contractions violentes et incontrôlées qui handicapent des femmes. Ce qui ne signifie nullement que je sois contre ces femmes, au contraire, et elles pensent sûrement comme moi.

    Quant au clitoridisme, je ne sais pas ce que c’est et cherche en vain une définition. Éclairez-moi et je vous dirai si je suis pour ou contre. Le clitoridisme, pas vous qui pouvez m’enrichir, même par vos erreurs. D’ailleurs il me semble qu’on s’enrichit bien plus par ses erreurs que par ses réussites...

    Ps : si vous avez omis de vous renseigner sur le sens des mots à travers lesquels vous débattez et que tout ceci n’était qu’un vaste propos, j’ai une réponse alternative qui commence par « Cher Tocard, » je vous laisse compléter...



  • nihalem 15 novembre 2008 12:00

    Il n’empêche : l’employeur et son avocat ont peut-être mieux à fiare que de nourrir une hypocrisie politique. Sûrement même...



  • nihalem 15 novembre 2008 11:56

    "En effet, ce qui semble avoir desservi la plaignante, aux yeux de l’employeur, est le fait qu’elle ait enchaîné une série de trois congés parentaux d’éducation, quasiment sans interruption, entre 1999 et 2003, congés immédiatement suivis d’un départ en Congé Individuel de Formation pour 9 mois, soit une absence de près de 4 ans de l’entreprise.

    Constat qui autoriserait bon nombre d’employeurs à relativiser l’expérience de l’intéressée et, comme il est aisé de le deviner, de suspecter de futures difficultés d’implication sur le terrain."

    Oui, presque quatre ans d’interruption, cela influe sur ses capacités au travail. Même les neufs mois de formations, sachant qu’être sur le terrain est toujours différent d’une dissertation ou d’un quiz quelconque, c’est aussi une baisse de performance. Un employeur a à gérer plus que des dossiers : il doit gérer des compétences réelles. Une loi décrète que la compétence de directrice adjointe ça s’acquiert aussi bien en bossant dans l’équipe qu’en pouponnant ou en effectuant une formation ? On s’en fout. C’est une loi débile de plus avec laquelle il faudra s’embêter. S’il suffit de légiférer une chose pour qu’elle soit vraie alors édictons une loi qui dit que le monde doit être parfait et tout est réglé ! Alléluïa ! Ah zut, la Constitution avec toutes les libertés égalités et fraternités dont on peut rêver, c’est celle de l’URSS et on se souvient de la machinerie en coulisse pour faire fonctionner le paradis rouge...

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