bah, en v’la une... ... qui pense qu’il faut être franchement crétine pour supporter l’idée de vivre avec l’un des « clichés » de votre article tant il est vrai qu’il existe autour de nous autres, les femmes, des êtres de sexe masculin, qui se trouvent être aussi des êtres intelligents et sensibles.
La solution à votre problème me semble pourtant simple... Il suffit que les femmes (et là, j’utilise le raccourci « les femmes » comme vous utilisez celui des « hommes » : par pure simplification du propos), je disais donc.... que les péronnelles arrêtent de préférer les beaux gros mâles bien machos (les princes charmants-gluants des temps modernes !) aux hommes de la vraie vie réelle !
Car le jour où aucun de ces erzats d’ hommes ne trouvera plus de femme à mégériser (je le copyrighte celui-là !), leur modèle tombera en désuétude et vous serez étonnée du nombre de ceux qui seront enclins à écouter vos Jérémiades...
Sans rancune aucune, je l’espère, car jusque là, j’ai aimé tous vos articles !
La cagnotte utile ne serait-elle pas plutôt dans l’idée d’un revenu d’existence ? C’est exactement la réflexion que je me suis faite en entendant cette nouvelle.
Mais du coup, le principe de la carotte et du bâton risquerait peut-être d’être trop facile à utiliser. Pas assez d’assiduité ? Retrait sur salaire ! Mauvaises notes ? idem !
Le revenu d’existence devrait être sans condition ; aucune.
A moins que la méritocratie soit déjà trop ancrée dans nos moeurs...
La réforme de l’enseignement primaire... On vole aux élèves une demi journée de cours par semaine, on alourdit les programmes, on retire des profs, on multiplie les injonctions pédagogiques contradictoires... bref on crée du malaise dans l’école ! Les nouveaux bastions à prendre sont les sorties scolaires et les intervenants « extérieurs ».
Quoi ? Permettre aux enfants de prendre plaisir à apprendre ? De découvrir le monde réel avec leurs vrais yeux... Pouvoir parler avec des « Vrais Gens » (quand il ne s’agit pas d’experts !) qui sauraient, mieux que la télévision, donner l’envie de comprendre et connaître le monde ? Mais vous n’y pensez pas ! Quelle perte de temps ! Quel gâchis de l’argent du con-tribuable ! A quand l’interdiction de la littérature qui mange sur le temps de la grammaire ! A quand l’interdiction des pratiques artistiques qui mangent sur le temps des mathématiques.
En tant qu’ex-élève, j’ai le souvenir d’un court séjour en Angleterre qui m’a fait passer du jour au lendemain du statut de médiocre élève en anglais à celui d’excellente élève !
En tant que prof, j’use (mais n’abuse pas, en général un fois par an) d’intervenants quand je le juge nécessaire. Projet littérature et théâtre : lien avec une troupe d’acteurs. Je peux vous assurer que, là, des textes, les élèves en ont lus et appris par coeur avec plaisir (oh le vilain mot !) et un paquet !! Sciences : Séquence sur l’astronomie : l’association astronomique du coin avec ses maquettes, photos etc... du vivant ! du-qui-reste-dans-la-mémoire-sans-effort ! EPS et pratiques artistiques : Projet sur les arts du cirque : petite troupe, grand chapiteau et apprentissages corporels hors-normes par rapport à ce que pourrait faire un prof tout seul !! Ces moments sont des moments cruciaux ! Ils ne sont pas en trop !
Ils ne se font jamais au détriment des matières « nobles ». Faire croire cela est un mensonge !
cl, Je tente une explication (justification ?) pour posthume. Cela peut paraître capilotracté, et je m’en excuse, mais c’est transposable à centaines d’autres mots « compliqués ». Post , après Hume, humus... la terre. Après la mise en terre (la mort). Cette orthographe a du sens puisqu’elle permet de relier un mot à d’autres, et plus on fait du lien de sens entre les mots, plus les termes« nouveaux » sont simples à retenir. En l’occurence, « simplifier » posthume en postume pourrait créer une difficulté de mémorisation et de compréhension... postume se rapporterait-il à la Poste ?