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  • pidgin 18 avril 2013 13:23

    @ Mmarvinbear
    Vous dîtes «  3 milliards de francs, je crois ». Pourquoi ne pas vérifier ? 
    Il y a des débats sans fin sur l’incidence de la loi de 1973 et sur celles qui ont suivi, qui ont renforcé le dispositif.
    Indéniablement, elle a amorcé le processus d’abandon du pouvoir monétaire par l’Etat et l’obligation d’une « intermédiation », c’est à dire, pour parler clair, d’un recours au marché.
    L’Etat, désormais, « achète » l’argent sur le marché, avec un double effet : renchérissement du financement public et mise sous tutelle.
    On peut faire les calculs comme on veut, cela coûte cher à l’Etat et donc, in fine, à nous.
    L’argument qui sous-tend cette façon de faire est que la puissance publique pourrait abuser de son pouvoir et céder au laxisme.
    Quand on voit les résultats du règne de la finance privée ces dernières années, on est en droit de considérer qu’elle pourrait s’abstenir de donner des leçons !
    D’autant plus que les petites facéties des acrobates de la finance ont coûté cher aux budgets publics, en frais directs (renflouement) et en frais indirects (incidence budgétaire de la crise, tant sur les recettes que sur les dépenses).



  • pidgin 11 avril 2013 23:18

    Il faut vraiment toucher juste pour déclencher autant de commentaires hargneux !



  • pidgin 28 mars 2013 14:47

    Eh oui, la compétitivité comme Graal, on nous enfonce cela dans le crâne à tout bout de media ...
    A chacun de se demander comment il peut aller à contre-courant, à sa place, avec les moyens dont il dispose.
    Et plus que les mots, l’exemple : ce peut être l’inlassable pédagogue Pierre Rabhi.
    Ce peut être aussi ne serait-ce que sous la forme d’un documentaire comme « Planète à vendre » sur la délocalisation de la production agricole, vu sur Arte le 26 mars, qui nous fait prendre conscience de l’aliénation imposée aux victimes (avec la complicité des autorités locales). On y voit les « dommages collatéraux » d’une compétitivité adorée comme un veau d’or : la destruction accélérée d’une diversité des modes de vies, la perte de dignité des populations touchées.
    Ce que ne disent pas, ou ne voient pas ceux qui veulent nous faire avaler que la compétitivité est la solution à tous nos maux, c’est qu’il s’agit d’un retour de l’esclavage, sous une autre forme.
    Ce sont ou bien des inconscients, ou bien des cyniques.



  • pidgin 25 mars 2013 12:04

    Jusqu’à présent, la fibre européenne du Président Hollande s’est fait entendre mezzo voce après s’être vue confrontée à l’intransigeance du gouvernement allemand.
    Il est en effet difficile de faire bouger les choses dans ces conditions.

    Nous sommes suspendus aux prochaines élections allemandes. De deux choses l’une :

    - ou bien Angela Merkel les perd et l’alliance de la gauche et des verts allemands pourra augmenter la dose politique et sociale dans la construction européenne, au détriment des partisans d’une simple zone de libre-échange.
    - ou bien elle les gagne et elle aura une fenêtre dégagée de soucis électoraux immédiats, qui permettrait ne serait-ce qu’une politique des petits pas, impossible actuellement à une droite rendue sourde et aveugle par sa phobie historique de l’inflation.

    Nous verrons si le nouveau gouvernement allemand, quel qu’il soit, saisira la chance d’avoir au Parlement européen, comme nous venons de le voir, non pas un frein, mais un soutien pour l’approfondissement de la construction européenne.



  • pidgin 21 mars 2013 20:12

    @ scripta manent

    Certes, du fait de la mondialisation, l’État n’est plus maître des enjeux économiques et sociaux sur son territoire.
     Si l’Europe y a contribué, c’est en trahissant les valeurs qui l’ont fondée. Quand je dis l’Europe, ce sont les idées néo-libérales qui lui ont imposé leur tempo en faisant prévaloir la méthode de décision intergouvernementale aux dépens du Parlement et de la Commission.
    Il « suffit » (nyaka) de remettre l’Europe sur ses rails et les efforts du Parlement européen sont encourageants.
    D’accord pour restaurer le contrôle aux frontières de l’Europe, et pour restaurer le pouvoir monétaire de façon coordonnée en Europe, loin de l’illusion souverainiste créatrice de concurrence mortifère entre les États et de conflits destructeurs entre les citoyens.

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