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Roland Verhille

Roland Verhille

Ancien expert-comptable puis Directeur financier, j’applique le conseil de Voltaire, je cultive mon jardin.
J’essaie aussi de cultiver l’information de mes concitoyens en continuant à mettre en oeuvre mes techniques comptables. Je le fais à propos des comptabilités commerciales rendues incompréhensibles du fait des normalisateurs. Je le fais aussi comme ici, en mettant en oeuvre ces mêmes techniques pour donner du sens à cette merveille de comptabilité nationale elle aussi rendue menteuse du fait de ceux qui en ont normalisé les méthodes.
La difficulté, c’est la faible disposition des Français à supporter les chiffres. J’en tiens compte, j’essaie d’éviter de leur infliger une migraine. 

Tableau de bord

  • Premier article le 03/12/2007
  • Modérateur depuis le 07/02/2008
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Derniers commentaires



  • Roland Verhille Roland Verhille 21 mai 2008 22:53

    La référence à la déclaration de 1789, et particulièrement à son article traitant de la séparation des pouvoirs, me semble être le point clé de cette discussion. Voir mon texte : État : un peu, beaucoup, énormément ou pas du tout ? | AgoraVox. A cet égard, la présente discussion me semble être du juridisme. Il est manifeste que, au regard de la déclaration de 1789, nous n’avons plus de constitution, tellement la confusion des pouvoirs est prononcée (au point que le pouvoir se trouve soit chez le Président de la république, soit en cas de cohabitation chez le premier ministre, et donc à l’Assemblée nationale. Discuter de la constitutionalité de la révision de la présente constitution me semble donc oiseuse. La seule discussion qui vaille porte sur le respect ou sur le rejet de la déclaration de 1789.



  • Roland Verhille Roland Verhille 15 mai 2008 12:43

    Voici enfin une conscience qui s’éveille, mais qui doit encore approfondir son observation, car l’essentiel sur lequel porte la convergence exposée n’est pas vu.

    D’abord, ce n’est pas d’un regain d’intérêt pour les débats contradictoires que les Français ont manifesté lors de la Présidentielle, mais d’un intérêt pour le changement, pour une « alternative » dit l’auteur en passant, de ce que justement l’auteur décrit. Discutailler est pour eux sans intérêt, c’est l’action pertinente qui les intéresse et qu’ils ont cru à tort pourvoir attendre, ce qu’il font depuis une trentaine d’années.

    Ensuite, la France ne « s’oriente » pas vers un parti unique, elle se trouve entre ses mains depuis plus de trente années.

    Ensuite encore, ce ne sont pas les « trous d’air économiques » qui expliquent la désapprobation de Nicolas Sarkozy par les Français débutée avant qu’ils ne soient perçus, mais leur perspicacité : Ils ont vite compris que le prétendu « changement » n’était pas dans le changement de ce que l’auteur décrit, la main mise sur le pays d’un « parti unique ».

    Ensuite encore, les antagonismes de classes qui se seraient effondrés n’ont jamais été que les entreprises des fossoyeurs des classes prétendues existantes et défendues.

    C’est seulement en dernière analyse, et après cela en ultime ressort, que la conscience de l’auteur approche du plein éveil : le constat du parti unique façonnant la société de son cru en accaparant l’état fait son cheval de Troie à l’assaut de la nature des citoyens ruant sans cesse dans les brancards de son attelage. Car droite comme gauche, il y a parti unique de l’étatisation du pays et de l’embrigadement des citoyens faits ses bêtes de somme faisant maintenant grève sur le tas.  



  • Roland Verhille Roland Verhille 3 mai 2008 07:56

    Apprenez à lire votre bulletin de paie, si vous en avez jamais eu un, et vous aurez la réponse.



  • Roland Verhille Roland Verhille 2 mai 2008 21:27

    à droite ? Où donc l’a vue l’auteur ? Même question pour la gauche. Il n’y a que des politiciens s’accoquinant avec tout ce qui est acteurs des institutions publiques et privées, y compris les syndicats et les grandes entreprises, pour gruger les travailleurs et acheter avec le produit de leur travail leurs bulletins de vote.

    Et où l’auteur a vu une baisse de la part des salaires dans la valeur ajoutée ? C’est une imposture de faire état de cette baisse depuis 1982 (à 63,3% contre 58,2% en 2006, soit une baisse de 5,1 points et non de 8 points) en omettant sa hausse depuis 1959 (alors à 52,6%), et surtout 1973 (alors à 56,8%). Depuis 1973, la part des salaires en 2006 a augmenté de 1,6 points. Et le niveau atteint artificiellement en 1982 a détruit les emplois, le pouvoir d’achat, et le pays.

    Et où l’auteur a vu que « le capital » (c’est qui ?) a accru sa part dans la valeur ajoutée ? Il n’a pas compris que l’excédent brut d’exploitation des comptabilités nationales n’est en rien le montant du profit revenant aux capitalistes. De plus, cet excédent a baissé de 35 ,4% de la VA en 1959 à 28,1% en 1973, à 20,9 % en 1982 remonté en 2006 à 23,7%. Pas étonnant que les entreprises et les emplois fuient la France !

    Et qu’est-ce que l’équité et la justice pour l’auteur ? Les siennes sans doute.

    L’auteur berne son monde en cachant que ce qu’il vise en parlant des salaires n’est que chiffres sur papier (probablement le coût du travail, brut plus charges patronales). Ce n’est pas ce qui fait le pouvoir d’achat des salariés, les euros qui entrent dans leur porte monnaie sans devoir les en ressortir pour les remettre à l’état qui décide lui-même à qui les attribuer.

    Il n’y a ni équité ni justice en piétinant la déclaration de 1789 (voir État : un peu, beaucoup, énormément ou pas du tout ? | AgoraVox).

    Il y a leurre en accusant des « capitalistes » de piller les travailleurs quand c’est l’état qui le fait (voir AgoraVox le média citoyen : Le pouvoir d’acheter ).

    Que l’auteur laisse donc les travailleurs s’occuper eux-mêmes de leur rémunération au lieu de prétendre le faire à leur place en les trompant.

     



  • Roland Verhille Roland Verhille 29 avril 2008 16:42

    Non, rien de neuf, seulement travailler plus pour mieux remplir les paniers parçés de l’Etat.

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