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Svenn

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  • Svenn 13 septembre 2007 22:49

    « Le virus de l’HIV a la taille de 100 nanomèters du diamètre. La molécule d’eau a la taille de 20 jusqu’à 60 nanomèters du diamètre, elle est beaucoup plus petite que le virus de l’HIV. »

    J’ai arrêté de lire à cette anerie. La molecule ne fait pas 20 ou 60 nanomètre, mais 0,15 nanomètre de diamètre. Vous venez de confondre une baleine bleue avec une souris grise...

    Le HIV est environ 500 fois plus grands dans toutes les dimensions que la molecule d’eau, donc c’est evident que ce qui arrete le HIV n’arrete pas forcément l’eau...



  • Svenn 13 septembre 2007 22:39

    Il y a aujourd’hui encore bien plus de chercheurs travaillant sur le sida que sur Alzheimer. La politique actuelle ne consiste pas à diminuer les moyens de la recherche sur le sida mais plutot a mettre des nouveaux moyens sur Alzheimer, maladie pour laquelle il n’y a pas vraiment de prévention ou de traitement à l’heure actuelle. Sachant qu’on ne connait quasiment rien a Alzheimer, ca ne me semble pas superflu de mettre le paquet sur cette maladie.



  • Svenn 13 septembre 2007 22:30

    Encore et toujours le complot ....

    Reflechis deux secondes si possible : si un labo privé a un vaccin contre le sida, se fera-t’il plus d’argent en vaccinant un milliard d’humains riches ou en soignant quelques millions de malades solvables ?

    Le HIV fait partie de ces maladies pour lesquelles on a du mal a mettre au point un vaccin, il ne faut pas croire qu’il suffit de mettre cent chercheurs sur un sujet pour que la reponse arrive tout de suite. Parfois ça marche tout de suite, parfois ça met plus de temps, parfois ça ne marche jamais. Pour le moment, il n’y a rien de correct dans les labos et les vaccins actuellement à l’essai n’ont pas l’air franchement mieux que les précédents. Du cote des traitements, il y a par contre pas mal de nouvelles molecules qui ont l’air plus puissantes que les molécules actuelles. A voir.

    Au sujet de l’hépatite C, le problème était qu’on ne savait pas cultiver le virus (étape quasi indispensable si on veut mettre au point un vaccin) et donc rien n’avançait. Depuis deux ans on sait faire et on peut désormais espérer qu’un vaccin dans les prochaines années.



  • Svenn 27 août 2007 14:16

    Effectivement les chercheurs sont recrutes sur leur etroitesse d’esprit et leur capacite a gober tout ce que l’industrie pharmaceutique leur dit. Bien sur, ils sont tous particulieremnt stupides etant donne qu’ils n’ont jamais eu l’idee depuis 1885 de tester scientifiquement les theses de Pasteur, ils sont encore persuades qu’il suffit d’une seule experience pour conclure, meme si elle a ete faite a une epoque ou on ne connaissait ni les virus, ni les bacteries, ni le systeme immunitaire et je ne parle pas de genetique ou de systeme HLA.

    Ca a pas mal d’avantages etant donne qu’ils ne se rendent meme pas compte que leurs vaccins ne marchent pas et sont bourres d’effets secondaires. Comme ca, les Aventis et autres Glaxo ont pu mettre sur le marche de juteux ’vaccins’ ne servant qu’a remplir les poches des actionnaires.

    Par contre, ces chercheurs debiles n’ont meme pas eu l’idee de faire la meme chose pour le sida et l’hepatite C, pourtant il suffirait juste de melanger du sucre et de l’eau et de dire que c’est un vaccin contre le sida (et en plus, il n’y a pas de risques d’effets secondaires a part peut etre pour les diabetiques). Bien entendu, comme tous les chercheurs et notamment ceux des agences de securite pharmaceutique sont a la solde du prive, la supercherie mettra bien 20 ans avant d’etre decouverte, ca laissera largement le temps de s’en mettre plein les poches. Apres, il y a toujours moyen de corrompre quelques juges, on peut bien investir quelques centaines de millions dans la justice quand on gagne quelques dizaines de milliards a cote.



  • Svenn 26 août 2007 02:34

    « il y a une autre séquence qui est non codante et dont pour l’instant on ne connaît pratiquement rien et que l’on utilise et introduit dans la construction artificielle, seulement en cas d’échec tantôt elle sert, tantôt non.... ce que l’on admet, de cette séquence, c’est qu’elle a un rôle de médiateur permettent la régulation et l’expression du gène. »

    Les sequences de regulation sont certes non codantes mais on sait parfaitement a quoi elles servent et comment elles fonctionent. Ca fait plus de 40 ans que Jacques Monod a eu son prix Nobel justement pour son explication du fonctionnement de ces séquences de régulation. Il y a 40 ans, c’était encore la préhistoire en biologie et on a énormément progressé depuis (le « big bang » de la biologie, c’est les années 1980) Les séquences non codantes et non régulatrices n’ont aucun intérêt dans les OGM et ne sont pas intégrées (ça serait idiot d’aller rajouter des transposons par exemple...)

    « Un gène va induire la fabrication d’une protéine mais en fonction de l’organisme, cette partie non codante dont on ignore pratiquement tout va donner une protéines, qui aura globalement la même formule chimique, mais avec un développement dans l’espace et un repliement qui sera différent... » Soit une protéine se replie correctement, soit elle ne le fait pas. Si elle ne se replie pas correctement, elle est non fonctionnelle et finira au choix agrégée ou dégradée. Soit ça fera une plante indistinguable de la plante d’origine (à part son génome, mais le protéome sera le même). Soit ça fera une plante qui crevera et qui ne sortira jamais de chez Monsanto(à moins qu’ils n’aient envie de se prendre un méga-procès de la part de tous les agriculteurs parce que les plants ne pousseraient pas/mourraient)

    « Avec l’expérience, on sait qu’après plusieurs génération, quand on fait des OGM il y a des recombinaisons, et beaucoup d’incertitudes sur la stabilité du gène il est impossible de prévoir comment il va évoluer... » Et la stabilité de tes 30000 gènes, tu t’en es inquiété ? Sans compter le nombre démentiel d’éléments transposables qui peuplent ton génome - et ces éléments sont intrinsèquement instables...-

    « certes les chances d’évolution vers des formes pathogènes qui ne sont pas à exlure, puisque elles ont été observés sont rares, mais pas inexistantes... » Tu peux donner des exemples histoire qu’on en discute ?

    « La partie codante du génome occupe moins de 2% du génome, le reste on en sait presque rien, alors imaginez, ce que l’on dirait du bricoleur qui veut transformer sa voiture en bolide de course, s’il ne connaissait que le rôle de 2% des pièces de son moteur, on le prendrait pour un imbécile... et pourtant quand on y regarde de près, le vivant est beaucoup plus complexe qu’un moteur de voiture. » Quand un agriculteur fait un hybride entre deux plantes, tu penses qu’il se soucie des régions non codantes de l’ADN ? (Sinon, c’est faux de dire qu’on ne conait quasiment rien à 98% du génome. Dans les 98% restants, il y a les multiples copies d’ARNr et ARNt, les régions régulatrices, les éléments transposables et autres rétrovirus endogènes... Tout ça, c’est relativement bien compris et ça doit faire une bonne moitié du génome)

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