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Voltaire

Voltaire

Humaniste de ce siècle. La science a longtemps été ma passion, avant de devenir mon métier. Celui-ci a évolué depuis, mais je lui dois quelques enseignements fort utiles : curiosité, raison, un peu de sens commun et point trop de crédulité aveugle. A cela se rajoutent quelques passions sans doute déraisonnables, pour la justice, la bonté, les gens d’esprit, le bon vin et autres égarements, mais nul n’est parfait. Si je n’ai le talent de mon illustre pseudonyme, je tâcherai du moins de ne lui point faire honte, en demeurant aussi honnête que possible.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/09/2006
  • Modérateur depuis le 06/10/2006
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Derniers commentaires



  • Voltaire Voltaire 3 avril 2013 12:13

    L’article me parait très réducteur.
    Certes, l’aspect volontariste, souvent héroïque, des personages principaux des romans de Jules Verne est une constante. Le capitaine Hatteras, ou Kéraban le Tétu par exemple, illustrent bien cet élément caractérisque de ses héros. Mais au delà de ces personnages animés de volonté farouche (souvent par idéal, que ce soit d’aventure ou de patriotisme, voire d’idéal humaniste), que d’autres héros infiniment plus complexes. Que dire d’Hector Servadac, ou des anti-héros de la chasse au météor, ou des naufragés du Chancellor... ?
    Nombres de romans de Jules Verne contiennent aussi de vigoureuses critiques envers la société industrielle qui émerge ou le capitalisme sauvage (Les indes noires, famille sans nom, P’tit Bonhomme, les naufragés du Jonathan...).
    Si l’héroïsme est effectivement très souvent glorifié, les romans de Jules Verne, et la société, le monde qu’il dépeint, n’ont rien d’ennuyeux ou d’ordonné. Certes, on y retrouvera aussi nombre de clichés typiques de la fin du 19ème siècle (sur les juifs ou les noirs par exemple), mais ce que décrit Jules Verne, c’est aussi la possibilité de changement par la volonté de quelques uns, que ce soit pour se tirer d’affaire (l’ile mystérieuse, deux ans de vacances...) mais aussi pour défendre des causes nobles, voire éthiques (Mathias Sandorf, la Jangada...).



  • Voltaire Voltaire 15 janvier 2013 17:00

    @ffi : c’était de l’ironie, du second degré... après tout, n’est-ce pas Dieu tout puissant qui serait responsables de ces fausses couches ? (de l’ironie je vous rappelle)

    et non, les avortement spontanés ne sont pas, sauf exception des « accidents », mais c’est un autre sujet



  • Voltaire Voltaire 15 janvier 2013 16:48

    Ce texte est une parodie, pas une analyse historique ! Et l’on n’est pas obligé de suivre votre interprétation personnelle de la vie au premier siècle en palestine et des premiers textes liés au christianisme... Faites un effort de modestie et d’humour, si les neurones de votre cerveau vous le permettent encore.



  • Voltaire Voltaire 15 janvier 2013 14:43

    L’avortement n’a rien de banal pour les femmes, encore moins pour celle qui ont dû y recourir. Il s’agit presque toujours d’un geste traumatique et pas d’une partie de plaisir, et celles qui y ont recours le font que parce qu’elles ne voient pas d’autre solution, soit pour des raisons sociales/familiales, soit parce qu’elles ne se sentent pas capables d’élever un enfant à ce moment de leur vie. L’autorisation de l’IVG a sauvé des millers de vies de femmes qui autrement subissaient les affres des avortements clandestins.



  • Voltaire Voltaire 15 janvier 2013 14:14

    Sémantique en effet smiley plus sérieusement, le nombre d’IVG par an n’a pas changé depuis de très nombreuses années. Comme l’indique l’auteur, il n’y a donc pas eu « d’explosion » des IVG (il faut se souvenir aussi du nombre important de décès de femmes avant l’autorisation légale de l’IVG), même si ce nombre demeure trop élevé et demanderait une meilleure pédagogie sur la contraception auprès de certaines catégories.

    En matière de moeurs, les prédictions catastrophistes s’avèrent fort rarement exactes, et les lois suivent généralement plutôt qu’elles ne précèdent l’évolution de la société.

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