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Commentaire de Gérard Ponthieu

sur Au Liban et ailleurs, plus ça prie plus ça meurt


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Gérard Ponthieu 3 août 2006 08:05

Vous écrivez : « Ces prétendues Lumières sont-elles exemptes de critiques ?(Voltaire, investisseur esclavagiste ; Rousseau, théoricien de l’éducation, abandonnant ses enfants à l’Assistance Publique) : Faites ce que je dis, pas ce que je fais. »

>> Vous me semblez exprimer ce désir de Pureté, source des déismes et de l’idolâtrie. Voltaire, Rousseau, en effet, n’étaient que des hommes, donc imparfaits « dieu merci ! ». Ajoutez Victor Hugo et ses maîtresses, Marx et son couple, Baudelaire-la drogue, Rimbaud-le trafic d’armes, etc. Et chacun de nous : parfait, pur ? Et alors ? La question ne serait-elle pas plutôt de demander comment chacun transforme ses névroses. Et ce que chaque système en « isme », en effet, produit de néfaste pour l’homme et l’humanité en général.

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