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Commentaire de ARTEMIS

sur Y a-t-il quelque chose après la mort ?


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ARTEMIS ARTEMIS 12 juillet 2008 21:41

vous avez aussi les travaux des pionniers de la transcommunication instrumentale.

je vous donne ces références

Le 17 septembre 1952, deux physiciens du laboratoire de physique expérimentale de l’Université Catholique de Milan, le père Gemelti et le père Pellegrino Ernetti, travaillent à l’aide d’un oscillographe sur des enregistrements de chants grégoriens : il s’agit d’obtenir un son plus pur. Les bandes magnétiques sont d’une fragilité extrême. Le Père Gemelli grommelle « Aide-moi papa », invoquant son père décédé, chaque fois que la bande se casse. Lorsque Gemelli réécoute la bande pour vérifier sa réparation, il entend à sa grande surprise la voix de son père prononcer très clairement : « Mais bien sûr que je t’aide, je suis toujours avec toi ! ». « II eut un choc et transpira beaucoup » racontera plus tard Ernetti. Les deux hommes interrogent à nouveau le mystérieux intrus : « Mais oui, gros benêt, bien sûr que c’est bien moi ! ». En italien, « gros benêt » se dit « xuccone »... le surnom qu’utilisait le père de Gemelli pour appeler son fils !
Les deux physiciens vont au Vatican pour entretenir le pape Pie XII sur ce phénomène. Le Saint Père leur dit alors : « Rassurez-vous, ceci semble relever du scientifique et non du spiritisme. L’enregistreur est un appareil objectif incapable d’être suggestionné : il ne peut capter que les vibrations sonores, quelles que soient leurs sources. Cette expérience pourra peut-être marquer le début de nouvelles études scientifiques pour confirmer la foi dans l’au-delà ».

Le phénomène se reproduit spontanément pour deux pionniers de la transcommunication instrumentale : le Suédois Friedrich Jurgenson (1959) et le Letton Constantin Raudive (1964), épaulés par des techniciens comme Hans Bender ou des experts de l’Institut Max Planck de Munich. La recherche scientifique prophétisée par Pie XII pouvait commencer...


Friedrich Jùrgenson, peintre et chanteur d’opéra, qui enregistrait des cris d’oiseaux dans les environs de Stockholm en réécoutant la bande entendit la voix d’un homme lui parlant en norvégien. Il pense évidemment que son magnétophone a pu capter une émission de radio extérieure. Mais le phénomène se reproduit. Et quand il réécoute les bandes, il perçoit des voix l’interpellant en allemand, des messages étranges et incohérents jusqu’à l’appel insistant : « S’il te plaît, attends, écoute-nous. » II entre en relation avec un autre chercheur, Letton, Constantin Raudive (1909-1974), qui aurait déjà découvert la même possibilité de communiquer avec des trépassés et capté sur son magnétophone plus de 70 000 voix. Les techniques se perfectionnent dans les années suivantes, même si les messages recueillis sont plutôt décevants, jusqu’à obtenir des images en direct des défunts, bien floues toutefois, qui pourraient être reprises en vidéo. Les médias, dans un sentiment général d’intérêt pour le paranormal et l’étrange confondus avec le mystique et le spirituel, offrent une tribune et une caisse de résonance à ces phénomènes.

 



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