« (...) Lorsqu’un peuple est maltraité et dépouillé de la sorte ; lorsqu’il a l’espoir de voter et de décider du changement qu’il espère le soulager mais se retrouve devant des urnes pleines de bulletins pré-remplis ; lorsqu’il manifeste son mécontentement mais se fait tirer dessus comme du gibier… il rumine sa colère et sa frustration. Peu importe le temps que ça prendra, mais il se produit toujours l’irréparable.(...) »
Ce que ressent le peuple ? Petit cocktail : mélange de colère, de honte, de révolte, d’anxiété, de dégoût, d’impuissance...