@ Ffi
Merci pour ces explications
C’est vraiment généreux
Autrement dit, mon prof (dix fois mort depuis le temps) dessine toute la chose d’un photon dans un rai cylindrique afin d’y dessiner les différents plans d’action mais en réalité, la chose n’est pas du tout contenue dans une enveloppe cylindrique finie
Le rai a des propriétés contenues dans une enveloppe à gradient cylindriquement décroissant et de diamètre infini
Pour autant, si l’ensemble des effets de la chose photonique pouvaient se traduire frontalement et à plat sur une feuille par des grisés, voyez-vous, à très grande distance imaginaire, une raison quelconque de dessiner des zones un peu plus claires, d’autres un peu plus sombre, se raccordant en dégradés ou pas du tout ( pas du tout donc strictement une même intensité partout, comme si c’était un champ magnétique, de pesanteur ou une onde radio)
Autre question liée :
Je suis dans le vide noir et sans poussières.
Un rai de lumière de 2 cm de diamètre passe devant moi de G à D
J’ai des oeillères qui m’empêchent de voir sa source et son impact.
Il passe à 50 cm de moi mais je ne peux le voir, même si c’est un laser
C’est bien ce qui se passe n’est-ce pas ?
Quel serait alors l’appareil qui, depuis l’endroit de mon oeil, sans toucher ce rayon (laser ou pas), le « regardant » perpendiculairement, pourrait détecter sa présence ?
Et si cet appareil existe, ce qu’il « verra » sera alors croissant en intensité en s’en rapprochant, probablement en 1/d², n’est-ce pas ?
Si aucun appareil n’y parvient, est-ce que le fait de placer quelque chose de l’autre côté du rai offrirait enfin cette possibilité de détection transversale (sans jamais le pénétrer de quelque matière) ?