jaja
« Les révolutions repartent
toujours du point où les derniers processus se sont enrayés »
Quand les anarcho-trotsistes
théorisent sur les révolutions, ce n’est jamais bon signe pour les
travailleurs, les masses laborieuses. Il y a forcément un loup dans la
bergerie.
« En URSS nul doute que ce
point d’enrayement commença dès 1919 avec la liquidation des Soviets et partant
la suppression de fait des derniers vestiges de la démocratie ouvrière
originelle »
Les ennemis de l’émancipation des
travailleurs ont une méthode de propagande. Cette méthode consiste à affabuler
froidement, sans aucun état d’âme. L’anarcho-trotskiste jaja ne dit pas de
quelle manière et par qui la liquidation des soviets commença en 1919. En fait,
jaja qui est faux comme un trotskiste, ne fait que vomir ici la bouillabaisse infecte
concoctée avec de la bouillasse du trotskisme.
Voici en fait la situation réelle
dans les années 1920 de la révolution prolétarienne en Russie, situation sur
laquelle les politiciens fourbes, les capitalistes et leurs idéologues les
anarchistes-trotskistes-khrouchtcheviens comme jaja, affabulent :
« Le grand problème qui se posait devant les révolutionnaires russes
après la défaite des armées blanches et de l’intervention était « Que faire du pouvoir soviétique ? » Trotski, Boukharine et Zinoviev
prétendaient qu’il était impossible d’édifier le socialisme dans la « Russie arriérée ». L’opposition de gauche voulait convertir la Révolution russe en un réservoir
de la « Révolution mondiale, un centre mondial à partir duquel on susciterait
des révolutions dans d’autres pays. Dépouillée de son « verbiage ultra-révolutionnaire »
comme Lénine et Staline le soulignaient constamment, l’opposition de gauche en
réalité luttait farouchement pour le pouvoir, un « anarchisme bohème » et, en
Russie, pour l’instauration d’une dictature militaire par Trotski et ses
associés.
Le problème se posa au Congrès des Soviets de décembre 1920. C’était
l’année de la Révolution la plus froide, la plus grave au point de vue du
ravitaillement, la plus décisive. Le Congrès se tenait dans la salle des
Colonnes, à Moscou. La ville était enfouie sous la neige, gelée, affamée et
malade. Dans La grande salle, qui n était pas chauffée à cause de la crise du
combustible, les délégués étaient emmitouflés dans des peaux de moutons, des
couvertures et des fourrures, grelottant sous l’intense froid de décembre.
Lénine encore pâle et sous le coup des suites des balles empoisonnées
de Fanya Kaplan, qui avaient été à deux doigts de lui faire perdre la vie en
1918, monta à la tribune pour répondre à l’opposition de gauche. Il fit un
tableau des terribles conditions lesquelles se trouvait la Russie. Il fit,
appel à l’unité nationale pour vaincre les « incroyables difficultés » de la réorganisation de l’économie et de la
vie sociale. Il annonça la nouvelle politique économique qui, abolissait le
rigide « communisme de guerre »,
restaurait dans une certaine mesure le commerce privé et le capitalisme en
Russie, et ouvrait la voie à la reconstruction. « Nous faisons un pas en
arrière, dit Lénine, afin de pouvoir plus tard faire deux pas en avant ! ».
Lorsque Lénine annonça la « retraite
temporaire » de le nouvelle politique économique, Trotski s’exclama : « Le
coucou a annoncé la fin du pouvoir soviétique ! ».
Mais Lénine pensait que l’œuvre du pouvoir soviétique ne faisait que
commencer. Il déclara au Congrès « C’est seulement lorsque le pays sera
électrifié, lorsque l’industrie, l’agriculture, et les transports seront placés
sur une base technique de production à grande échelle, c’est seulement que
notre victoire sera complète ». (Michel Sayers et Albert E. Khan : « La Grande Conspiration contre
la Russie - traduction française 1947)
Le 11 septembre 2012, sur Agoravox, jaja jurait
avec véhémence qu’il n’était pas trotskiste en écrivant : « Je ne suis ni n’ai jamais été
trotskiste : mais pouvez-vous le comprendre vous pour qui il est plus
pratique de simplifier à outrance pour pouvoir m’envoyer au goulag en toute
bonne conscience... ». Mais, c’est une fourberie.
La « démocratie ouvrière originelle », « la démocratie directe », de jaja, ce n’est que du verbiage
ultra-révolutionnaire gauchiste, de la bouillasse, de la fumisterie, en ce qui
concerne le mouvement ouvrier. De l’anarchisme, du trotskisme en particulier, des pseudos théoriciens du
mouvement ouvrier, des gens comme jaja, ces politiciens véreux, les masses
laborieuses, les travailleurs, ne peuvent s’attendre à autre chose que des
fourberies !