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Commentaire de ARMELLE

sur Adieu à l'ami inconnu


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Armelle ARMELLE 4 avril 2014 09:47

Bonjour Alinéa,

Je souhaitais juste « réagir à votre réaction’

 »la provocation ne se trouve pas là où on le croit"

La provocation à mon sens se présente sous 2 formes, la première, ne ciblant que l’auteur d’un propos et la deuxième ciblant le propos d’un auteur, laquelle est nécessaire dans cette idée de contracdiction générant la richesse d’un dialogue. 
Ne pas être d’accord avec son interlocuteur c’est lui apporter une autre vision du sujet en question et qui fait la richesse des échanges. 
La provocation dans ce cas, n’induit pas forcément (de la part du provocateur) une volonté absolue d’imposer son avis mais de stimuler la capacité à argumenter, il me semblait, jusqu’ici, être dans cet esprit de provocation, si ce n’est à qqes reprises où je l’avoue j’ai pu ’’jouer’’, Agoravox à ceci d’iiréel qu’il met en scène des personnages fictfs, des marionettes que chacun se fabrique, et pour enseigner en entreprise dans le cadre de process organisationnels, basés sur l’approche relationnelle des individus, je n’ai nul part et a quiconque besoin de pouver que la nature de mes relations avec les gens est tout autre dans le ’’vrai’’ monde. Agoravox est un jeu, certes à travers lequel on peut parfois apprendre, c’est le cas de qqes articles car la plupart relate des infos qu’on a déjà lu dans la presse ou entendu à la radio, ce qui n’a donc que peu d’intérêt. 
Et puis parfois certains artcles ont cette capacité à ’’toucher’’ le lecteur, parce qu’ils sont au delà de l’information, Ou plutôt cette dernière suscite une pensée qui fait du texte un moment de lecture super agréable.
Et c’est ce que j’ai ressenti en lisant votre article. Mes émotions y ont été plus qu’intenses dans la mesure où j’y ai perçu un personnage qui compte et qui a démesurément compté dans ma vie. J’ai sous les yeux, tous les jours des peintures et des textes rattachés qu’il m’a confiés, à travers lesquels il a laissé une présence subtilement effacée, et me rappelant amèrement chaque jour la souffrance que provoque le regret de ne pas dire aux gens ce que l’on pense d’eux de leur vivant.

Au plaisic de vous relire dans ce registre 
Bonne journée





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