@Jean Dugenêt
Donc à vous lire, vous ne prétendez
pas que notre constitution est soumise aux lois européennes. Conclusion :
on peut donc appliquer à la lettre notre Constitution en faisant un
gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
On peut donc
utiliser la force publique pour garantir les droits de l’homme de 1789 et
arrêter tous ceux qui s’y opposent parmi ceux qui nous gouvernent y compris
l’UE.
"La
garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ;
cette force est donc instituée pour
l’avantage de tous, et non pour l’utilité
particulière de ceux à qui elle est confiée." (Art. 12 Droits de
l’homme de 1789)
Le Président de la République a donc
le droit de veiller au respect de la Constitution et de prendre toutes les
dispositions contre ceux qui voudraient s’y opposer, y compris les mecs de
l’UE.
"Le
Président de la République veille au respect de la Constitution." (Art.5 Constitution de 1958)
« Cela
vient simplement du fait que la France a accepté de se lié à l’UE par les
traités successifs. »
Le fait de
dire cela vous fait collabo de l’UE car vous savez très bien que les Français
ont refusé par référendum de 2005 la Constitution de l’UE. Je vous ai démontré
que Sarko n’avait pas le droit de le faire voter par le congrès :
« Le
principe de la République est : gouvernement du peuple, par le peuple et
pour le peuple. » (Article 2 de la constitution de 1958)
« La souveraineté nationale appartient
au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. »
(Article 3 de la constitution de 1958)
Le texte suivant ne permet pas de proposer au
Parlement une loi refusée par référendum mais permet seulement de refaire un
référendum deux ans après minimum.
« Lorsque la proposition de loi n’est
pas adoptée par le peuple français, aucune nouvelle proposition de référendum
portant sur le même sujet ne peut être présentée avant l’expiration d’un délai
de deux ans suivant la date du scrutin. » (Article11 de la constitution de
1958)
Proposer
aux Français de voter en référendum sur la question migratoire musulmane, c’est
proposer un référendum sur « voulez-vous laisser vos ennemis avoir les
mêmes droits que vous »
Ne
pas considérer l’Islam comme ennemi des chrétiens, c’est abandonner 15 siècles
de notre histoire qui a formé la France et l’esprit français.
Etes-vous
d’accord avec De Gaulle sur la définition du Français et sur sa manière de
parler des étrangers islamiques ?
Et ça, c’est
l’esprit français que n’a pas Asselineau :
« Tremblez, tyrans et vous,
perfides,
L’opprobre de tous les partis !
Tremblez ! Vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix. (Bis)
Tout est soldat pour vous combattre.
S’ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre. »
(Couplet 4
de La Marseillaise qui fait partie de la Constitution)