« une culture biologique intense » un oxymore !
Le blé dans la Beauce , un rendement multiplié par quatre depuis les années 1960.
Du ble« dit bio » , ce ne sont pas les mêmes variétés . Des variétés plus rustiques .
Du bio avec ces variétés avec un haut rendement n a aucun sens , Il en va de toutes les especes cultivées .
Dans un autre domaine , le camembert de Normandie AOP doit etre fait avec des vaches de races normandes et non pas avec des vaches prim’holstein qui « pissent » du lait .
« la capacité de rétention de l’eau (lorsqu’elle diminue, le sol devient sensible à la sècheresse, il est moins efficace pour le cycle de la nutrition des plantes, il y a perte d’éléments nutritifs et donc pollution des eaux) ; »
Et pourquoi la perte de rétention de l eau des sols .
L agronome M Claude Bourguignon l a démontré .
il a étudié de pres la microbiologie des sols . Un pionnier dans ce domaine .
Une culture intensive , ce sont des plantes a croissance rapide , des engrais azotés ( emploi massif ) et des produits phytosanitaire .
Et évidemment cela un impact direct sur cette « faune » des sols .
A l instar de notre « microbiote » qui détermine aussi l etat de notre santé
un des indicateurs se sont les vers , Agriculture intensive presqu aucun vers !
Ce qui abouti a l artificialisation des terres , ce sol est un sol mort .
Et notamment amplifié par l arrachage des haies .
Un article dont j ai du mal à comprendre l etude ! Et une conclusion de technocrate et contradictoire .
Si l on pratique une culture conventionnelle donc intensive , on retombe dans le schéma engrais azotés et intrants ! et on a une « pratique culturale intense qui n est pas favorable »
L art d enfoncer une porte ouverte .