Vous avez peut-être entendu parler de tolérance réduite à l’effort après une vaccination Covid, de thromboses, de myocardites, d’arrêts cardiaques…
Tous ces symptômes pourraient être liés au même mécanisme d’action du vaccin (ici Moderna), entrainant des dommages irréversible et une réduction de l’espérance de vie à quelques années maximum.
Après avoir administré environ 900 doses du vaccin expérimental COVID-19 à ARNm de Moderna, le Dr Charles Hoffe, un médecin courageux qui pratique la médecine depuis 28 ans dans la petite ville rurale de Lytton, en Colombie-Britannique (Canada), a tiré la sonnette d’alarme sur les réactions graves qu’il observait chez ses patients qui avaient choisi de se faire vacciner (il avait choisi de ne PAS le faire lui-même), y compris la mort.
Après avoir tiré la sonnette d’alarme, les autorités médicales de sa communauté lui ont imposé le silence (gag order). Il a bravé ce silence et a été interviewé par Laura-Lynn Tyler Thompson dans son émission où il a tiré la sonnette d’alarme.
Pour avoir pris l’initiative d’avertir les autres des dangers de ces injections expérimentales, il a été relevé de ses fonctions à l’hôpital et a perdu la moitié de ses revenus.
La semaine dernière, le Dr Hoffe a de nouveau été interviewé par Laura-Lynn Tyler Thompson, et il continue de partager avec le public ses conclusions concernant les injections expérimentales COVID-19.
Le Dr Hoffe est un véritable héros aujourd’hui, risquant non seulement sa réputation, mais probablement sa vie même pour apporter des informations importantes concernant les injections COVID-19 que les mondialistes qui contrôlent les médias professionnels et les réseaux sociaux essaient de censurer.
Dans cette dernière interview, le Dr Hoffe affirme que les caillots sanguins que les médias présentent comme “rares” sont tout sauf rares, d’après les tests qu’il a effectués sur ses propres patients qui ont récemment reçu l’une de ces injections.
Les caillots sanguins dont on entend parler et qui, selon les médias, sont très rares, sont les gros caillots qui provoquent des accidents vasculaires cérébraux et apparaissent sur les tomodensitogrammes, les IRM, etc.
Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour être détectés par un scanner. Ils ne peuvent donc être détectés qu’à l’aide du test D-dimer.
En utilisant ce test avec ses propres patients, le Dr Hoffe affirme qu’il a trouvé des preuves de la présence de petits caillots sanguins chez 62 % de ses patients qui ont reçu une injectiond’ARNm.
Il affirme que ces personnes sont désormais handicapées à vie et qu’elles ne pourront plus “faire ce qu’elles faisaient auparavant”.
Ces personnes n’ont aucune idée de la présence de ces caillots sanguins microscopiques. Le plus inquiétant dans tout cela, c’est que certaines parties du corps, comme le cerveau, la moelle épinière, le cœur et les poumons, ne peuvent pas se régénérer. Lorsque ces tissus sont endommagés par des caillots sanguins, ils sont définitivement endommagés.
Son avertissement est très sévère : “Ces injections causent d’énormes dégâts et le pire est encore à venir.”
Attention, vous confondez la signature rythmique et le nombre de temps d’une progression. Par exemple, le blues a habituellement 12 temps par cycle mais est une musique dont la signature rythmique est de deux temps (divisés chacuns en 3).
le teen taal indien est bien conçu en 16 temps mais si on « traduit » le rythme en écriture occidentale, on aura 4 groupes de 4 temps et donc une progression de 16 temps. Si vous écoutez ce rythme, il est très naturel et facile à retenir car il s’apparente à 4 phrases d’une comptine pour enfants. Le cerveau lui se focalise sur les 4 temps de la cadence. Aucune difficulté donc, même avec le grand nombre de temps car il s’agit d’une progression. À part le teen taal, autres rythmes indiens traditionnels les plus connus ont 6, 7, 8, 10, 12 ou 14 temps. Les rythmes les plus complexes et longs se trouvent en fait dans les Balkans. Les rythmes à 5, 7, 9 et 11 temps sont habituels et sont créés à partir de mesures différentes (par exemple 4+3, 6+3 ou 4+5...)À partir de 9 temps, il faut être familiarisé avec le système de recombinaison des rythmes décrits avant : par exemple un rythme se 9 temps (6+3) combiné avec un rythme à 8 temps donne un rythme à 17 temps un peux déroutant au début mais pour celui qui connaît le système, il suffit de bien l’analyser.
Est-ce que ces malades de pfizer et compagnie pourraient créer un immunisant, cette fois-ci stimulant l’autre anticorps, de façon à rectifier le tir ? Les « vaccinés » auraient donc la mémoire biologique plus complète, rectifiant ce gros déséquilibre immunitaire. Si c’est possible, il appelleraient ce nouveau immunisant ARNm de « rappel ».. comme si de rien n’était, en empochant de nouvelles grosses sommes d’argent au lieux de répondre pour leurs crimes !!
2000 ans, c’est un peu beaucoup. L’église de Rome est devenue officiellement hérétique en 1054, mais c’est depuis les inventions d’Augustin d’Hippone qu’elle est fourvoyée dans la scolastique et l’interprétation erronée du libre arbitre, du légalisme, de la grâce de Dieu, de la prédestination et d’autres élucubrations que n’ont jamais dû subir les chrétiens orthodoxes car, de culture grecque, ils ont compilé l’enseignement des pères de l’église, véritables exposés de l’enseignement de Jésus Christ : la philocalie des pères neptiques.
Le légalisme d’Augustin a remplacé la doctrine du péché « blessure » que Jésus « le médecin divin » soigne. À la place, la culpabilisation et le châtiment, la peur et la névrose ont été instaurées dans l’église romaine et par extension chez les protestants qui ont hérité de ce qui est notoirement appelé aujourd’hui « la théologie occidentale ».
D’aucuns disent que la vision d’un Dieu tout puissant punissant et châtiant a tout va est une vision païenne. Le chrétien oriental demande la miséricorde de Dieu à chaque instant au lieu de sa pitié...
Encore une vision eurocentrique de la chrétienté. Que ce soit pour la défendre ou pour la critiquer, les européens de l’ouest manquent cruellement de culture !
— En moyen orient, il n’existe pas cette réserve qu’il existe quand qu’on est chrétien à appeler Dieu « Allah ». C’est une simple traduction. Les coptes d’Égypte sont tous arabophones (même si le copte est leur langue liturgique) et utilisent tous les jours ce nom pour désigner Dieu. — L’église romaine n’est pas la fondatrice de la chrétienté, loin s’en faut. Elle s’est séparée en 1054 du reste de la chrétienté et avait déjà au par avant présenté de gros problèmes de déviation par rapport à la foi commune. C’est à Jérusalem qu’il faut aller pour trouver cette origine. Il y a toujours à Jérusalem d’ailleurs les représentants de l’église ancienne dite orthodoxe pré-calcédonienne ou byzantine. Il faut rappeler qu’il n’y a pas que Saint Pierre qui a fondé une communauté en dehors de Jérusalem, mais également Saint Thomas dans le sud de l’Inde, Saint Marc en Égypte et par extension en Éthiopie (ces derniers ont été isolés pendant des siècles), Saint André en Ukraine, Jude Thaddée et Barthélemy en Arménie... parfois les rites étaient un peu différents mais se sont plus ou moins rapprochés par la suite.
Pour le reste de ce papier, je demanderais juste de respecter la foi des autres, qui est bien moins stupide, futile et niaise que vous semblez le penser.