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En réponse à :


gnozd gnozd 18 avril 19:49

Aya Nakamura n’est pas la première chanteuse de variétés à se faire plein de pognon en vendant de la daube.

On connait ça depuis les yé-yé, et même avant.

Tout ça procède juste d’une intention politique qui par pur électoralisme projette sur le devant de la scène la culture des cités, cela faisant écho à la volonté de jack Lang, dans les années 80, de « promouvoir la culture rap ».

On voit le résultat.

L’extrême-droite se fait taxer de « bas-du-front ».

Certes.

Moi je dis que là, sur le plan artistique, on est bas de plafond. Nivellement par le bas. Comme l’Educ Nat, il y a une logique...

Maintenant parlons racisme, puisque quand on n’est pas d’accord su Aya Nakamura, on se fait taxer de racisme.

En 89, pour le bicentenaire, ça m’a pas choqué d’entendre Jessie Norman chanter la Marseillaise. A l’époque j’écoutais beaucoup de funk, après avoir écouté pendant des années du rythm’n’blues, qui n’a rien à voir avec le r’n’b.

Mon premier gros flash musical (dans le domaine variétés), ce fut pendant l’été 66 Percy Sledge, avec « When A Man Loves A Woman » et James Brown avec « A Man’s Man’s World ».

Et quelques années plus tard les premières boums avec toute la collection des « Rythm’n’Blues Formidable » de chez Atlantic.

Et puis Stevie Wonder, et Marvin Gaye, et Sly & the Family Stone, et j’en passe...et puis Bob Marley, the big Bob.

Ben ouais, la musique black américaine, c’est quelque chose, et bien avant tout ça le jazz, le blues...

Merde, les ricains ils ont eu Kid Creole, Michael Jackson et Prince, et nous on a Soprano et Nakamura...

Vous n’avez pas l’impression qu’on joue pas tout à fait dans la même cour là ?


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