ça
@Spartacus Lequidam
Bonjour,
Ah les « Fonctionnaires » !
Qui n’a pas rencontré un jour un pur produit, de cette catégorie professionnelle particulière représentant tout de même 20% de la population active, censée être au service de la Nation, donc du citoyen. Faut-il pour cela généraliser à l’ensemble ? Il vrai que parfois l’on peut raisonnablement se poser la question sur cette notion qui semble désuète au vue de la transformation sociétale favorisant l’individualisme.
Bref Il y a la fonction publique et ses agents.
La première est une hydre, qui a grossie au fil des décennies, ont ne sait trop pourquoi et dans quel but, peu de « politiciens » avouent bien connaître non seulement ses arcanes mais les règles qui la régissent, encore moins l’efficacité ou l’efficience de cette dernière.
Elle fut créée, institutionalisée, elle à prospérée, elle est là. Pour tout « politicien » professionnel c’est à dire la majorité, elle est indispensable au fonctionnement de la Nation, il ont appris ça dans leur « école », ce qui en un sens n’est pas faux non plus. Si l’on exclu « l’armée » au sens large, il reste trois « monde », dont le fonctionnement, les règles, n’ont cessées d’être complexifiées au fur et à mesure, par les mêmes « politiciens ».
Nous mourrons d’administration, de règles nouvelles établies, incessantes, alors que n’est pas mesuré les effets des anciennes et j’en passe. J’irais à dire qu’il y a plus d’agents dans la part « administrative » que sur le terrain. Les premiers freinant l’action des seconds, non pas par volonté, mais complexité. Sans compter non plus les ramifications fort nombreuses, de diverses agences et assimilées aux interconnexions complexes.
Le fameux « fonctionnaire » appelé désormais « agent », en effet il fallait tuer l’image, donc ont change de nom, ont diversifie les « statuts », pour tenter de faire ressortir une transformation, une pseudo « réduction », alors que les principes restent, etc.. Mais à la finale ils/elles sont toujours là. Fonction évolutive au fil des décennies, rappelons nous pour certains l’époque ou entrer dans ce système avait pour but la garantie de l’emploi (ça perdure toujours), Si hier cette « protection », ce statut générait une « différence » de salaire par rapport à son équivalent dans le privé (exclus, un certain nombre d’avantages compensatoires assez cachés) ; le delta s’est très fortement réduit, pour ne pas dire devenu inexistant.
Toutefois règne toujours le même état d’esprit, fort différent du privé, je vous invite à consulter la première page du statut, sur le portail de la fonction publique, vous trouverez un récapitulatif des « droits », mais rien sur les devoir. Heureusement nous sommes tout aussi nombreux je pense à avoir eu à faire avec des « Agents » consciencieux, responsables, aimant leur métier, au service du citoyen. Mais pour certains croulants sous une hiérarchie impensable, sans compter les règles.
A l’heure ou l’ont cherche des sous de partout, il est clair que le réflexe primaire du « politicien » est de faire payer les actifs par quelques moyens que ce soit. La question de l’économie interne (hors dépenses « électoralo-sociale » qu’il faut préserver à tout prix, ses effets étant quinquénaux) , indispensable étant pour eux génétiquement impossible.
Ils/Elles sont tous dans le déni que la complexité administrative est non seulement un frein au développement, mais qu’elle coûte fort chère. Il est clair aussi que le « statut » protectionniste avec tous les avantages associés des « agents » n’a plus de raison d’être depuis pas mal d’années.
Prenons un exemple, Pourquoi les « agents » de la sncf peuvent encore bénéficier de « voyages » aux frais de la princesse, alors qu’ils sont loin d’être sous-payés par rapport au privé ? L’accumulation de petits « privilèges ancestraux », l’accumulation de ces derniers (pas qu’à la sncf bien sûr) de ci delà fini par coûter. Je pense que l’ont serait horrifié si ces derniers étaient dressés avec exactitude sur une liste publique.
Pour ma part, je ne jette pas la pierre aux « agents », ou alors un gravillon parfois, mais jetterais un rocher aux « politiques » de tous bords, qui maintiennent à tout pris ce système sans vouloir vraiment le réformer en profondeur, pour être moins coûteux, plus juste et égalitaire et surtout moins mégalo...