Monsieur BONNE,
avez-vous fini de nous prendre pour des imbéciles, et avec mépris, de surcroît ?
Monsieur REBOUL, je vous rejoins, et irai même plus loin.
Réduire le problème de la liberté d’expression à de la curiosité indécente sur une vie privée, c’est faire peu de cas des amoureux de cette liberté.
C’est prêter aussi une image peu gratifiante au métier de journaliste...
A MOINS QUE...
ET LA, LA DEMARCHE DEVIENT ECOEURANTE : MONOPOLISER LES MEDIAS PAR TOUS LES SUJETS, A TOUS LES NIVEAUX, objectif agressif de la caste gouvernementale.
CA S’APPELLE AUSSI LE BOUCLAGE MEDIATIQUE.
ET PARTICIPER A CETTE FORME DE CENSURE N’EST PAS RENDRE HOMMAGE A BIEN DES JOURNALISTES SINCERES sur la liberté d’expression.
Un peu dégradant pour ceux qui prêtent leur vie privée à ce jeu.
Oui, il s’agit là d’une démarche consciente et volontaire, de la part des dirigeants des médias.
Ceux qui détiennent 80 % des médias ont su intervenir dans leur contenu rédactionnel lorsque Mme Sarkozy n’a pas voté au 2ème tour des présidentielles, notamment.
ALORS ?
Se mettre au niveau des ragots manque de distinction et montre du mépris pour ses concitoyens.
Et pour vous parler franchement, on en a assez de ce gavage des esprits, qui s’apparente à la direction de conscience.
Alors, s’il vous plait, un peu de fantaisie dans la prochaine SARKO-MESSE : POURREZ-VOUS NOUS LA FAIRE EN LATIN ?