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ka 17 août 2007 20:21

@ Deneb

Vous savez niveau culture je ne suis pas non plus une sommité. En fait je faisais référence aux films je n’ai pas lu le livre, eh oui je ne suis pas une grande lectrice.

Vous dites :

« Je pense tout de même que, quand »plus rien d’autre n’existe en dehors de leur vie virtuelle« , ces personnes ne se sont pas vu proposer une activité plus motivante. »

Peut-être aussi qu’elles ne trouvent rien de plus motivant que cette activité. Sinon vous proposez quoi comme activité susceptible d’être plus motivante aux yeux d’un « nolife » ? Vous pensez pas que pour ceux qui sont entourés de proches ça a déjà été tenté le coup d’une autre activité considérée comme plus motivante par ce même entourage. Sans parler du sentiment d’être incompris qui renforce encore plus l’addiction.

« Je n’ai pas non plus compris en quoi ces personnes fragiles sont-elles »détruites« . »

Tous les « nolife » ne finissent pas forcément détruits par leur dépendance, mais pour les plus fragiles psychologiquement ceux qui se réfugient dans cette vie pour fuir complètement la réalité, l’entourage, ou même ce qu’ils sont dans la réalité cette dépendance est une forme de destruction puisque ça renforce un mal-être déjà présent, et puis quand la santé mentale (repli sur soi-même, absence ou carrence de lien social réel, dégradation des relations avec l’entourage proche) et physique ( hygiène négligée et problèmes d’alimentation : sous-nutrition et mal-nutrition), est mise en danger on est en droit de parler de destruction vous ne croyez pas ?



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