« En effet un trouble génétique risque d’être un facteur d’aggravation de l’autisme. »
Votre postulat de départ est donc que l’autisme n’est pas strictement et causalement d’ordre génétique ?
Il est clair qu’à l’heure actuelle les données concernant les gènes sont très limitées, et peut-être faudra-t-il quitter le cadre strict de la génétique pour appréhender ces troubles, qui doivent être abordées de manière non réductrice.