Un peu « bénie » cette époque où l’on avait du boulot presqu’au coin de la rue. J’ai fait plusieurs dizaines d’employeurs dans ma vie — je suis vieux — et c’était le temps où l’on pouvait se permettre de faire un bras d’honneur et de quitter la place — j’étais un bosseur de première mais l’injustice patronale, basta —
Aujourd’hui, où le mot ARGENT nous écœure jusqu’à n’en plus pouvoir, je ne voudrais pas être jeune. Ce monde s’envase dans le fric et le profit, et cela va s’accélérant. Je ne suis pas pour la peine capitale, mais j’avoue que cela me démange de trucider les nuisibles du profit qui détruisent la vie du citoyen lambda. Il faut se lever, cela ne peut plus durer.
PS : Papy, j’ai apprécié votre article mais là, comme au pock, je demande à voir :« Pour la politique, j’ai l’impression que c’était plus propre ». C’est vrai que vous avez écrit « l’impression », donc vous êtes absous (sourire). Cordialement.