Cet article renvoit au sempiternel débat : l’homme ou la nature ?
Sachant que le mouton est une des principales ressources des habitants de l’atlas, faut-il l’éradiquer pour que les botanistes puissent continuer à s’émerveiller de la végétation spéacialisée des montagnes de l’atlas ? Malheureusement, nous sommes des hommes, et l’homme a besoin de vivre, comme les autres animaux.
Si on suit votre raisonnement, il faudrait qu’on tue les différentes parties de population qui tirent profit de la nature pour vivre. Il faudrait même exporter les populations, contrôler les naissances, pour protégér ce sacro-saint atlas et ces jolis rhopalocères.
C’est même plus de l’écologisme, ça devient du fascisme.