en Camargue, le vent est ivre
il trépigne
il perd le tête
nul obstacleaux dévastations
une terre nue, des eaux pâles
et à l’horizon, toute moutonnante,
la mer arrive du large
en se hérissant.
tout se plie à la loi du vent, les eaux, le végétal ;
"homme, les bêtes ;
Et la plus puissante de toutes prend à la brise
son impétueuse fureur :
Là règne le taureau, bête du vent