A Ratisbonne, comme je l’ai écrit à plusieurs reprises, Benoît XVI a été plutôt
bien dans ses propos sur la violence constitutive de l’islam, même s’il l’a
montrée indirectement et un peu trop mollement.
Mais
c’était encore trop pour les « gauchistes chrétiens », qui le lui ont reproché.
C’est
peut-être d’ailleurs ce qui, par la suite, l’a amené à être plus « diplomate »,
et conduit à « rectifier le tir », dans le "dialogue
interreligieux", en trichant comme tous les autres sur le problème de la
violence prétendument « divine ».