C’est un point de vue.
Je l’ai combattu dans un texte « Je sais que la terre est plate ».
Du point de vue du sujet nous sommes chacun le centre de monde, il s’agit d’une réalité intangible et indépassable.
Le deuxième point est celui de notre responsabilité en particulier à l’égard de nos proches.
S’ils ne valent pas plus qu’une de ces milliards de mouches, c’est qu’ils ne valent rien. Je ne souscris pas.