Juste une précision...
Je rentre d’afrique, où j’ai séjournée plusieurs mois dans une ville « sans touriste » (soit 20 blancs pour 100 000 habitants). J’y ai croisé des Massai, et j’ai été fascinée, non pas par le mythe européen, mais par leur manière de vivre leur culture. Au milieu des africains ayant perdu en partie leur manière traditionnelle de s’habiller, les massai restent fidèles à eux-mêmes : en pleine ville, ils conservaient leurs tissus si particuliers rouge et violet, leurs sandales en pneu, leur machette et leur baton, leurs parures... Ils ne faisaient pas cela pour les touristes et j’ai été attirée par ce respect de leur culture et manière de vivre...
Le mythe ne me semble donc pas si faux...