La liberté de penser n’est pas celle d’imposer ses modes de vie et susceptibilités à la société qui vous accueille. Et ce n’est certainement pas du fascisme que de s’attendre à ce que des populations accueillies se conforment, au moins dans son comportement extérieur, aux normes de la société en question. Le problème, je l’admets, c’est que la France est de plus en plus divisée en tribus, vivant dans l’entre-soi, et que le lien social, et « sentiment de groupe » (je trouve indépassable cette formule d’Ibn Battouta) s’effrite. L’assimilation peut aussi se traduire par la simple politesse envers les usages du pays d’accueil. Plus qu’un combat économique,c’est d’un combat culturel qu’il s’agit.