J’aime bien car la phrase dit ce que je
pense depuis toujours. Mais je constate que, comme Robert Gil, vous ne pouvez
admettre la réalité de l’inversion de sens dans la politique française
contemporaine.
quelle réalité, quelle inversion de sens ?
il n’y a aucune inversion, juste un coté qui a disparu... ou plutôt qui a montré qu’il n’avait jamais vraiment existé.
si c’est pour me faire dire que le FN est le parti des pauvres et des travailleurs, vous perdez votre temps.
tant que l’espèce n’évoluera pas, on restera des teubé qui ne vois pas plus loin que le bout de leur pif, et la mentalité de droite (chacun pour soi, loi du plus fort, après moi le déluge, etc, etc.) perdurera.