Il n’y a pas un déviationniste qui peut accéder au Parlement européen, quel que soit le parti au nom duquel il y est.
Mais le chef n’est pas, ô combien pas, celui du parti : dans le cas présent, c’est celui de Goldman Sachs.
Il existe bien des méthodes pour faire chanter les ambitieux, et la plus basique et la menace de détruire sa réputation.
DSK, lorsqu’il affirma au FMI vouloir que le dollars ne soit plus l’unique monnaie de réserve pour l’économie mondiale, en sait quelque chose.