Ils ont peur que le mouvement ne devienne européen. Tant que la résistance est nationale, organisée par l’extrême droite ou par les syndicats nationalistes : l’oligarchie ne s’inquiète pas.
En revanche, ils ont très peur de voir le prolétariat du Sud de l’Europe (Espagne, Portugal, Italie, Grèce, etc.) monter manifester à Paris, Bruxelles, Berlin ; c’est à dire dans les Capitales de l’Impérialisme Européen.
Pour l’instant, ce sont les syndicats nationalistes, conservateurs, se contentant de protéger les système sociaux nationaux, qui empêchent cette union internationales des prolétariats européens. C’est particulièrement vrai des syndicats nationalistes français (CGT & Co.), qui défendent bec et ongles le systèmes social national français très avantageux, car financé sur la base de l’impérialisme français en Afrique (la majorité des emplois en France, et donc des cotisations, reposent sur la transformation des matières premières africaines).
Mais peu importe : l’union du prolétariat européen est inévitable.