« Pourquoi devrions-nous continuer à accepter cet état de fait ? »
Mais nous sommes d’accord, Attis : c’est état de fait est inacceptable. Alors on fait quoi ? On les gaze, comme le voudraient certains ? Ou on les aide comme nous aimerions être aidés si nous étions dans une situation similaire (ce qui peut très bien arriver un jour) et on demande une solution raisonnable - en l’occurrence les laisser passer en Angleterre ?