Alors, les grecs, contrairement à l’UPR, ne sont pas des sociaux-nationalistes. Ce sont des progressistes, qui votent pour ce qu’il y a de plus à gauche pour l’instant, Syriza : qui est pro-européen (et pour une autre europe)
Syriza & co va permettre à Hollande d’imposer à Merkel un QE (c’est grossomodo ce qu’explique Asselineau lui-même), et Merkel tente de limiter ce QE en faisant les gros yeux. Elle veut bien le QE, mais à condition de ne pas trop dévaluer l’euro. Voilà tout.
Bref : buvez du lait, et n’oubliez pas les BN au chocolat qui vont avec vos analyses infantiles.