@ L’Auteur
"Si je désapprouve certains modes d’expression comme la satire, le
sarcasme ou la violence, j’estime, au contraire, qu’il ne devrait JAMAIS
y avoir de limite à la critique qui ne cherche pas à provoquer, mais à
exprimer ses convictions profondes au risque de tout ce qui peut
arriver, c’est-à-dire une critique franche, honnête qui vise à
contribuer au débat d’idée et peut-être à faire changer les choses."
Ce seul paragraphe aurait suffit. Il fait la synthèse de votre texte qui plébiscite une gestion de la liberté d’expression globalement anglo-saxonne. Il met sur un pied d’égalité satyre, sarcasme et violence. Cela me semble à la fois peu cohérent et dangereux comme amalgame.
La satyre ne blessent que ceux qui ne supporterait de toute façon pas la critique.