@Cambacéres :« »Quelques autres « ficelles » : la diversion d’un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes ; (...) s’adresser au public comme à des enfants en bas âge ; faire appel à l’émotion pour court-circuiter l’analyse rationnelle« ».
Comme par exemple, lui demander d’éteindre les lumières entre 19H55 et 20H00 ?
On va ainsi savoir si ça « marche ». Le public comme miroir de la société du spectacle. Ce n’est plus le spectacle qui est regardé, mais le public.