D’autres prennent de la hauteur, se drapent dans leur dignité outragée et affirment que la leçon essentielle est de prendre en considération la colère des laissés-pour-compte, des oubliés du progrès, des désespérés de la démocratie. Il est vrai qu’il leur a fallu ce grand coup de pied au cul pour découvrir que le peuple ne sortait pas des grandes écoles et ne comprenait rien à leurs discours alambiqués mais qu’il était en mesure de voir combien son niveau de vie souffrait durablement de leur incapacité chronique .
quand tu sais parler aux gens, qui savent qui ne seront jamais très riche, et qui on peur de devenir pauvre, tu as tous compris a la politique.
le vote des pauvres, n’a jamais eu d’importance,
ils n’est pas évident pour la majorité de ses électeurs, de comprendre qu’on ne devient pas archi-miliardaire, sans corrompre et être corrompu, et sourtous piétiner toute les valeur fondamentale.
le monde de la finance, a trouver un clowns pour divertir et diviser la population.