"Troisième cas d’école, la Syrie. A partir du printemps 2011, une
contestation minoritaire et encouragée de l’extérieur, sur le modèle
préfabriqué des « révolutions arabes », réclame la destitution du
président syrien.«
des affirmations d’autorité qui vous servent d’hypothèse :
»minoritaire« : que savons-nous de la représentativité de tels mouvements dans des pays où le président est élu à 99% ?
[ qu’elle soit »encouragée de l’extérieur« ne la prive pas forcément de toute légitimité : c’est étrange pour un supporter français de Vladimir de critiquer les »encouragements de l’extérieur« ]
»modèle préfabriqué des révolutions arabes" : ce n’est pas parce différents pays ont connus la même chose dans la même période que le scénario a été convenu d’avance à Hollywood. Ca s’est vu à de nombreuses reprises dans l’histoire (révolutions du 18e siècle, contestations des années 60-70...).
Pour la blagounette, je vous rappelle que la première vague de contestation, ce n’est pas la Tunisie en 2011 mais l’Iran en 2009, contestation qui a échoué, entre parenthèses. Mais comme ça ne rentre pas dans votre boîte à camembert, vous n’en dites rien